Bag om La poésie enfin publiable
Des textes courts, peut-être l'essentiel... et des observations sur la poésie... Sauf naturellement si vous "avez un nom"... Salut monsieur Houellebecq... les éditeurs traditionnels sont formels: la poésie ne se vend pas. En fait, elle n'est pas rentable dans leur système aux frais généraux et salaires des patrons élevés... mais elle se vend... Les éditeurs les plus organisés peuvent ajouter que malgré l'immense qualité de vos vers, il vous faudra, pour leur permettre de rencontrer leur public, payer une prestation de compte d'auteur (avec proposition jointe d'un partenaire au même actionnaire ?) Je ne connais (en vrai et amicalement) aucun auteur ayant payé un éditeur.
L'auto-édition 100% papier permettait, à long terme et avec obstination, d'atteindre le seuil de rentabilité d'un livre, même en poésie.
Il ne fallait pas exiger beaucoup plus ! L'auto-édition numérique, c'est la poésie enfin publiable, même pour un lectorat limité.
Et désormais, les livres numériques peuvent être disponibles en papier...
Oui, une forme de "retournement de situation"...
En 1991, je publiais "Eternelle Tendresse", premier livre, recueil de poèmes. J'avais 20 ans. Oh... et quelques mois.... Puis je suis passé aux romans, pièces de théâtre, essais, textes de chansons... le plus souvent sous d'autres noms, le pseudonyme officiel et quelques variantes...
Dernier clap avant fermeture ?
Jean-Luc Petit
http: //www.jean-lucpetit.net
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