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Quatre nouvelles policières ayant pour point commun des crimes tous commis en " chambres closes " prenant pour cadre quatre époques différentes allant du Moyen Age à nos jours. Les intrigues sont d'une complexité hors du commun et les protagonistes ne manquent pas de saveur ni d'esprit. ¿ Le Duc était mort poignardé alors que personne ne l'avait approché¿ ¿Etait-ce un suicide ? Etait-il possible qu'un homme parvînt à se tuer, enfermé dans une pièce capitonnée, avec les bras liés par une camisole ? Etait-ce un crime ? Mais une balle pouvait-elle transpercer le corps d'un homme sans trouer ses vêtements ?¿ Quatre nouvelles policières ayant pour point commun des crimes tous commis en " chambres closes " prenant pour cadre quatre époques différentes allant du Moyen Age à nos jours. Les intrigues sont d'une complexité hors du commun et les protagonistes ne manquent pas de saveur ni d'esprit. ¿ Le Duc était mort poignardé alors que personne ne l'avait approché¿ ¿Etait-ce un suicide ? Etait-il possible qu'un homme parvînt à se tuer, enfermé dans une pièce capitonnée, avec les bras liés par une camisole ? Etait-ce un crime ? Mais une balle pouvait-elle transpercer le corps d'un homme sans trouer ses vêtements ?¿ ¿- Alors, doc ! Vos conclusions ! grogna le commissaire Jules, la pipe entre les dents. - Electrocution, répondit placidement le médecin, en fouillant dans sa trousse. - Oh ! s'écria s¿ur Hildegarde. Mais ce n'est pas possible ! La cellule, comme toutes les autres d'ailleurs, n'est pas raccordée au réseau électrique !¿¿ C'était le cas de Jason X ¿, mort seul, dans sa chambre forte ; mort absolument seul, et de manière inexpliquée¿Ce recueil de nouvelles mêle le crime impossible, un environnement historique, et la place de la femme dans la société. La cuisine d'Eve, Jeux de mains, Chapeau bas, Masque mortel, quatre énigmes où le crime n'a pas le dernier mot.
Raoul est SDF. Il dort sous le porche de l'église dans le quartier pittoresque des Batignolles à Paris. Malika est scénariste. Elle observe le monde depuis sa fenêtre qui donne sur le porche. Son ambition est d'écrire un nouveau conte des Mille et Une Nuits. Elle rencontre Raoul qu'elle voulait pourtant éviter, et dès lors son projet de roman se transforme, car la vie du SDF imprègne tout l'imaginaire de l'auteur. Un jour, Raoul est trouvé mort sous le porche. S'en suivent trois enquêtes haletantes et parfois cocasses qui s'entrecroisent. Celle de Malika, celle de Séverine, sa copine journaliste, et celle du commissaire Berthier.Chocs de cultures sur fond du 11 septembre. Bricolage existentiel des personnages en quête de croyance. Dans l'intrigue, pas de chapeau mou ni de privé fatigué de la vie. Le problème n'est pas tant de savoir qui a tué, mais qui était la victime. Comme dans tous les romans d'Alain Bron, l'aspect policier n'est pas l'essentiel. Apportant un regard distant sur les situations dramatiques, l'intrigue est abordée à la Truffaut pour faire passer d'autres messages : la folie du monde, la collision des sphères affectives, l'amour en fuite. Ainsi la fiction explore, révèle, témoigne sans jamais juger ni moraliser. Tendre, ironique, parfois cocasse. Nécessairement grave.
Par un matin d'ete, le commissaire Berthier est appele pour enqueter sur la mort d'une fille etranglee au bois de Vincennes. Acte de predateur ou amour malade ? Le meme jour, il trouve un carton dans le hall de son immeuble. Dans le carton, un bebe abandonne. Enfant sacrifie ou acte d'amour ? Deux enquetes sur le fil. Celle du meurtre, affaire officielle et mediatisee. Celle de l'abandon, affaire personnelle et clandestine.
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