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Hölderlin, Nietzsche, Heidegger et le psychanalyste Jacques Lacan, ont renouvelé dans le même sens la lecture de la tragédie. Ils ont vu en elle la mise au jour conjointe de l'essence de l'homme et de l'essence de l'art, celui-ci étant compris comme le lieu même du dévoilement originel du monde. Or, une telle question du sens de la tragédie ¿ ou du tragique ¿ est à ce point difficile que ces quatre auteurs, chacun ayant son langage et son angle d'attaque propres, ne seront pas de trop pour nous aider à l'élucider.
La première moitié de l'ouvrage est consacrée aux principes généraux de la connaissance (critères du travail scientifique, outils intellectuels du savoir, etc), tandis que la seconde partie traite du dérapage de la recherche causé par le recours aveugle aux matériaux d'opinion (entretiens, questionnaires). Enfin un chapitre porte sur les modes de régulations de l'action individuelle et un ultime développement est consacré au thème de l'individalisme méthodologique.
Comment les hommes parviennent-ils à "se faire une idée" de quelque chose? La question appartient depuis toujours aux épistémologues des sciences. Mais c'est aussi celle des architectes et des artistes. Le développement massif des artefacts techniques dans les sciences de l'ingénieur repose aujourd'hui la question de la nature de l'activité de conception aux praticiens des nouvelles technologies de l'intelligence, dans des champs disciplinaires de plus en plus diversifiés et élargis.
Il est des corps par nature différents, aux expressions singulières, interagissant avec la guerre, de manière qu'on ne puisse plus parler des uns sans parler des autres¿ L'intuition de ces corps, d'un devenir-dans-la-guerre-contre-la-guerre que ces corps tracent, incite à nommer un Corps de Guerre. Et ce, pour saisir non plus les corps que la guerre régénère et ceux qu'elle détruit, mais la vie dans la guerre, pour élaborer une poétique de la rupture. Ce faire rupture s'accomplit à travers un questionnement sur les ¿uvres et la parole d'écrivains, de poètes et d'artistes¿
Dans le domaine artistique, l'imprévisible n'est pas nécessairement envisagé de manière inquiétante ou négative. L'incontrôlé, l'imprévisible, l'aléatoire peuvent être des moteurs de création. Il s'agit d'accepter leur surgissement et de s'en servir. L'imprévisible est à la fois inquiétant, troublant, incontournable et déterminant.
Le temps suspendu comme moment heureux est à juste titre considéré comme extrêmement précieux. Mais on peut se demander : par quoi donc peut-il bien être suspendu ? L'hypothèse que l'auteur examine consiste dans l'idée que le temps est suspendu par le désir s'assouvissant. Ou que le temps suspendu n'est rien d'autre que du désir-temps : ni désir de temps, ni temps du désir ; il relève de leur unité profonde. Il s'agira d'élucider cette hypothèse notamment avec Rousseau, les épicuriens et les stoïciens.
L'École de Francfort a dû affronter les tourments et le réel apocalyptique des totalitarismes. La théorie critique foisonne de penseurs en marge de cette école (Ernst Bloch, Georg Lukács, Walter Benjamin) ou de représentants officiels (Max Horkheimer, Theodor Adorno). Leurs philosophies de l'histoire s'inscrivent dans un rapport conflictuel -dialectique vis-à-vis des Lumières, de Hegel et de Marx. Le questionnement du sens et de la fin de l'histoire en ce début du XXIe siècle prolonge cet héritage.
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