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  • af Moliere
    181,95 kr.

    " Cette pièce fut représentée pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal, le 24 mai 1671. C¿est une imitation de la comédie antique à laquelle s¿ajoutent un grand nombre d¿emprunts faits à diverses comédies d¿intrigue italiennes ou françaises. Le Phormion de Térence en a donné l¿idée première, et plusieurs scènes ont été inspirées par la S¿ur, comédie de Rotrou, le Pédant joué de Cyrano de Bergerac, un canevas italien, Pantalon père de famille, Francisquine, farce de Tabarin, l¿Émilie de Grotto et la Constance de Larivey. C¿est à propos des emprunts qüil avait faits dans les Fourberies de Scapin, que Molière disait : « Je prends mon bien où je le trouve. »"

  • af Anthony Trollope
    223,95 kr.

  • af Gabriel Seailles
    172,95 kr.

    " On ne s¿affranchit pas d¿une religion qui a pris à la Grèce sa métaphysique la plus raffinée et à l¿âme humaine sa plus exquise poésie, on ne sort pas du labyrinthe d¿une scolastique aux détours compliqués par la subtilité séculaire des théologiens, pour se contenter de la religion naturelle de M. Jules Simon et de la pauvre scolastique d¿un manuel de baccalauréat. Renan avait de trop hautes ambitions pour s¿enrégimenter sous le drapeau banal d¿une philosophie officielle ; il était un volontaire de la pensée, il en aimait les hasards et les dangers, il en dédaignait la parade."

  • af Anatole France
    258,95 kr.

    " L¿hôtel d¿Esparvieu dresse, sous l¿ombre de Saint- Sulpice, ses trois étages austères entre une cour verte de mousse et un jardin rétréci, d¿âge en âge, par des bâtisses toujours plus hautes et plus proches et dans lequel deux grands marronniers élèvent encore leurs têtes flétries. C¿est là que vécut, de 1825 à 1857, le grand homme de la famille, Alexandre Bussart d¿Esparvieu, vice-président du Conseil d¿État sous le gouvernement de Juillet, membre de l¿Académie des Sciences morales et politiques, auteur de l¿Essai sur les institutions civiles et religieuses des peuples, en trois volumes in-octavo, ouvrage malheureusement inachevé."

  • af Anatole France
    258,95 kr.

    " Entraîné par la malice du Diable, le saint homme Maël aborde une île des mers hyperboréennes où l'a poussé une tempête de trente jours. Et là, trompé par sa mauvaise vue, le vieil apôtre baptise des pingouins, causant ainsi au Royaume des Cieux une perplexité dont Catherine d'Alexandrie tire heureusement les élus en proposant de métamorphoser les pingouins en hommes. Telle est l'origine la plus reculée de la civilisation pingouine dont Anatole France raconte l'évolution jusqu'à nos jours dans ce récit où sa verve féroce fustige les ambitieux et les politiciens de son temps : le temps de Boulanger ou de l'affaire Dreyfus. On y trouve un Pyrot compromis dans la sombre affaire des bottes de foin, un Colomban qui rappelle beaucoup Zola. Cette satire pessimiste est douée d'une pérennité qui fait penser à Swift et à Voltaire. Elle est écrite dans un style limpide où étincelle l'ironie de celui que jean Guéhenno a appelé le « dernier sage ».

  • af Charles Beaudelaire
    174,95 kr.

    Les Épaves est un recueil de poèmes de Charles Baudelaire publié en 1866. Ce recueil est publié après le procès du 20 août 1857 pour « outrage à la morale publique et aux bonnes m¿urs ».Ce recueil est constitué de trois parties. :un premier chapitre composé d'un seul poème (poème I) ;un second chapitre Pièces condamnées tirées des Fleurs du Mal (poèmes II à XX);un troisième chapitre Bouffonneries constitué de trois poèmes.Il est précédé de cet « avertissement au lecteur »[2]. :Ce recueil est composé de morceaux poétiques pour la plupart condamnés ou inédits, auxquels M. Charles Baudelaire n'a pas cru devoir faire place dans l'édition définitive des Fleurs du Mal.Cela explique son titre.M. Charles Baudelaire a fait don, sans réserve, de ces poèmes à un ami qui juge à propos de les publier, parce qu'il se flatte de les goûter et qu'il est à un âge où l'on aime encore à faire partager ses sentiments à des amis auxquels on prête ses vertus.L'auteur sera avisé de cette publication en même temps que les deux cent soixante lecteurs probables qui figurent à peu près ¿ pour son éditeur bénévole, ¿ le public littéraire en France, depuis que les bêtes y ont décidément usurpé la parole sur les hommes.Signé [C. B.]

  • af Voltaire
    177,95 kr.

    " Voltaire publia, en 1727, un ouvrage qüil avait écrit en anglais, et intitulé an Essay upon the civil wars of France, extracted from curious manuscripts; Londres, S. Jallasson, in-8° de trente-cinq pages ; c¿était la première partie de l¿Essai sur la poésie épique. La censure de Paris ne permit pas l¿impression de l¿Essai sur les guerres civiles[2], et la traduction de l¿abbé Granet[3] ne vit le jour qüen Hollande, en 1729. Elle fut réimprimée, dans le même pays, en 1731. Pendant longtemps cet écrit n¿a pas été admis dans les ¿uvres de Voltaire. Enfin on l¿imprima, en 1768, dans la septième partie des Nouveaux Mélanges ; et depuis lors il avait toujours été conservé dans les Mélanges. Ce sont les éditeurs de Kehl qui l¿ont imprimé dans le même volume que la Henriade : c¿était faire ce que désiraient les auteurs de la Bibliothèque française.Ayant vainement cherché à Paris et fait chercher à Londres un exemplaire de l¿ouvrage anglais, je donne la traduction de l¿abbé Granet, comme on le fait depuis 1768, sans le savoir, ou du moins sans le dire.. "

  • af Anonym
    182,95 kr.

    Le Livre de la Genèse est le premier livre de la Bible. Ce texte est fondamental pour le judaïsme et le christianisme.Récit des origines, il commence par la création du monde, ¿uvre de Dieu, suivie d'une narration relatant la création du premier couple humain. Adam et Ève, forment ce premier couple mais désobéissent et sont exclus du jardin d'Éden. Ils ont une descendance, mais Dieu considérant que les humains sont malfaisants, il regrette de les avoir créés et décide de les détruire par le Déluge. Seuls Noé, considéré parfait, ainsi que sa famille, sont sauvés. Plus tard, Dieu différencie les langues et disperse l'humanité sur la surface de la Terre, lors de l'épisode de la tour de Babel. L'essentiel de la Genèse est ensuite consacré aux cycles d¿Abraham, un nomade arrivé dans le pays de Canaan sur injonction divine, de Jacob, dont la plupart des aventures ont pour cadre le nord du pays, et de ses fils parmi lesquels domine Joseph.La Genèse est anonyme, tout comme les autres livres de la Torah (Pentateuque). Les traditions juive et chrétienne l¿attribuent à Moïse, mais les recherches exégétiques, archéologiques et historiques tendent, au vu des nombreux anachronismes, redondances et variations du texte, à remettre en cause l¿unicité de son auteur. Ainsi, la Genèse représente, pour l'exégèse historico-critique du xxie siècle, la compilation d¿un ensemble de textes écrits entre les viiie et iie siècles av. J.-C. Pour cette raison, entre autres, l'historicité de son contenu est aussi mise en question.La Genèse est largement commentée par les rabbins et par les théologiens chrétiens. Avec l'avènement de l'islam, ses personnages font l'objet de multiples interprétations dans le Coran et ses commentaires.De nos jours, certains fondamentalistes, surtout dans des églises évangéliques, défendent l'idée du créationnisme, une théorie qui s'appuie sur une lecture littérale de la Genèse, qui serait historiquement et scientifiquement valable. Cependant, cette position est rejetée par l'ensemble des scientifiques et par d'autres autorités religieuses.

  • af Laurent Tailhade
    172,95 kr.

    " Les personnes étrangères aux études médicales: hommes de lettres ou du monde, romanciers, chroniqueurs, simples gobe-mouches qui parlent, écrivent, discourent sur le propos de la morphine et de la morphinomanie, ignorent, la plupart du temps, le premier mot de leur sujet. Ils préconisent avec un aplomb qui déconcerte, des lieux-communs aussi vagues qu'erronés. Bon nombre de docteurs ne sont guères plus instruits que le public sur les arcanes du voluptueux et sinistre poison. Les plus avisés décernent leur clientèle au spécialiste; d'autres, moins éclairés ou moins délicats, proposent des traitements infructueux et chimériques. Optimistes à l'excès, d'aucuns, regardent la morphinomanie comme une «mauvaise habitude», comparable à celle des cartes ou du tabac. Ils prétendent la guérir par des procédés aimables ou de spécieuses diversions: promenades, théâtre, injections d'eau claire et tout ce qui s'en suit. D'autres enfin, cyniques faiseurs de dupes, exploitent, sous couleur de la traiter, cette «maladie expérimentale» qui, à moins d'une cure efficace et rationnelle, permise aux thérapeutes seuls outillés pour cet objet, n'a d'autre aboutissant que le désespoir, la vésanie ou la mort."

  • af Diogene Laerce
    223,95 kr.

    " Il y a des auteurs qui prétendent que la philosophie a pris naissance chez les étrangers : Aristote, dans son Traité du Magicien, et Sotion, livre XXIII de la Succession des Philosophes, rapportent que les inventeurs de cette science ont été les mages chez les Perses, les Chaldéens chez les Babyloniens ou les Assyriens, les gymnosophistes chez les Indiens, et les druides, ou ceux qüon appelait semnothées, chez les Celtes et les Gaulois. Ils ajoutent qüOchus était de Phénicie, Zamolxis de Thrace, et Atlas de la Libye. D¿un autre côté, les Égyptiens avancent que Vulcain, qüils font fils de Nilus, traita le premier la philosophie, dont ils appelaient les maîtres du nom de prêtres et de prophètes : ils veulent que, depuis lui jusqüà Alexandre roi de Macédoine, il se soit écoulé quarante-huit mille huit cent soixante-trois ans, pendant lesquels il y eut trois cent soixante-treize éclipses de soleil et huit cent trente-deux de lune. Pareillement, pour ce qui est des mages, qüon fait commencer à Zoroastre Persan, Hermodore platonicien, dans son livre des Disciplines, compte cinq mille ans depuis eux jusqüà la ruine de Troie."

  • af André Gide
    174,95 kr.

    Quelques réflexions pertinentes d'André Gide sur le monde qui l'entoure, Dieu et la foi, la littérature et les vanité de la vie en société. Une recherche de la Vérité plutôt que le confort intellectuel car « chacun ne regarde dans l'événement que ce qui lui donne raison ». Une grande part de l'ambiguïté de Gide est dans ce livre." Un esprit non prévenu (ou qui sut se déprendre de ses préventions), il n¿est sans doute rien de plus rare ; et c¿est à la non-prévention que j¿attache le plus de prix.Ce que l¿on cherche le plus souvent dans la vie, c¿est de quoi s¿entêter, non s¿instruire. Chacun ne regarde dans l¿événement que ce qui lui donne raison. Le reste échappe, qui désoblige ; et l¿événement n¿est jamais si simple que chacun n¿y puisse trouver confirmation de ses convictions, fussent-elles les plus erronées. Il semble que rien ne plaise davantage à l¿esprit que de s¿enfoncer dans l¿erreur."

  • af Mary Roberts
    223,95 kr.

    " In the midst of the lone forest which shadowed in ancient times a large portion of the country of the Dobuni, and which extended over hill and dale, far as the distant mountains of the Silures, [2] and on either side the river that waters this part of Britain, stood a solitary yew. On the verge of the forest, and in places cleared of timber for the purpose, rose the conically-shaped huts of the natives; the dwelling of the chief- tain was somewhat larger than the rest, and around it stood the wattled cabins of his dependents. Their arts were few and simple, and their habits those of men who were scarcely advanced beyond a savage state: corn was occasionally cultivated, but in general they lived by hunting, or fed upon the flocks which they pastured in the open country."

  • af Stendhal
    172,95 kr.

    " Tel est l¿extrait fort clair des Catéchismes de M. de Saint- Simon, et des six ou sept premiers numéros d¿un journal écrit en style obscur, et qui a l¿air de se battre pour l¿industrie.M. de Saint-Simon a dit : « La capacité industrielle est celle qui doit se trouver en première ligne ; elle est celle qui doit juger la valeur de toutes les autres capacités, et les faire travailler toutes pour son plus grand avantage. » Si nous n¿y prenons garde, l¿on va nous donner un ridicule."

  • af Leon Daudet
    223,95 kr.

    " Né dans le dernier tiers du dix-neuvième siècle et mêlé, par la célébrité paternelle, à l¿erreur triomphante de ses tendances politiques, scientifiques et littéraires, j¿ai longuement participé à cette erreur, jusqüenviron ma vingtième année. Alors, sous diverses influences, notamment sous le choc des scandales retentissants du régime, puis de la grande affaire juive, et des réflexions qui s¿ensuivirent, le voile pour moi se déchira. Je reconnus que les idées courantes de nos milieux étaient meurtrières, qüelles devaient mener une nation à l¿affaissement et à la mort, et que baptisées dans le charnier des guerres du premier Empire, elles mourraient sans doute dans un autre charnier pire. Les quelques exposés qui vont suivre sont ainsi plus une constatation qüune démonstration. On en excusera la forme volontairement âpre, rude et sans ménagement. Ce qui a fait la force détestable de l¿esprit révolutionnaire, et sa suprématie, depuis cent trente ans, c¿est la faiblesse de l¿esprit réactionnaire, rabougri, dévié et affadi en libéralisme. Les abrutis, souvent grandiloquents et quelquefois du plus beau talent oratoire et littéraire, allant jusqüau génie verbal (cas de Victor Hugo par exemple), qui menaient l¿assaut contre le bon sens et la vérité religieuse et politique, ne ménageaient, eux, rien ni personne. Ils se ruaient à l¿insanité avec une sorte d¿allégresse et de défi, entraînant derrière eux ces stagnants, qui ont peur des mots et de leur ombre, peur de leurs contradicteurs, peur d¿eux-mêmes. Ils appelaient à la rescousse la foule anonyme et ignorante, cette plèbe intellectuelle qüil ne faut pas confondre avec le peuple, et qui n¿a été, au cours de l¿histoire, que la lie irritée de la nation. Il n¿est rien de plus sage, ni de plus raisonnable, que le peuple français dans ses familles, ses besoins, son labeur et ses remarques proverbiales. "

  • af Maurice Halbwachs
    228,95 kr.

  • af Ann Radcliffe
    373,95 kr.

    " Sur les bords de la Garonne existait en 1584, dans la province de Guyenne, le château de M. Saint-Aubert. De ses fenêtres on découvrait les riches paysages de la Guyenne, qui s'étendaient le long du fleuve, couronnés de bois, de vignes et d'oliviers. Au midi, la perspective était bornée par la masse imposante des Pyrénées, dont les sommets, tantôt cachés dans les nuages, tantôt laissant apercevoir leurs formes bizarres, se montraient quelquefois nus et sauvages au milieu des vapeurs bleuâtres de l'horizon, et quelquefois découvraient leurs pentes, le long desquelles de noirs sapins se balançaient, agités par les vents. D'affreux précipices contrastaient avec la douce verdure des pâturages et des bois qui les avoisinaient; des troupeaux, de simples chaumières reposaient les regards fatigués de l'aspect des abîmes. Au nord et à l'orient s'étendaient à perte de vue les plaines du Languedoc, et l'horizon se confondait au couchant avec les eaux du golfe de Gascogne. M. Saint-Aubert aimait à errer, accompagné de sa femme et de sa fille, sur les bords de la Garonne; il se plaisait à écouter le murmure harmonieux de ses eaux. Il avait connu une autre vie que cette vie simple et champêtre; il avait longtemps vécu dans le tourbillon du grand monde, et le tableau flatteur de l'espèce humaine, que son jeune c¿ur s'était tracé, avait subi les tristesaltérations de l'expérience. Néanmoins la perte de ses illusions n'avait ni ébranlé ses principes ni refroidi sa bienveillance: il avait quitté la multitude avec plus de pitié que de colère, et s'était borné pour toujours aux douces jouissances de la nature, aux plaisirs innocents de l'étude, à l'exercice enfin des vertus domestiques.

  • af Alexandre Le Gran
    176,95 kr.

    " Le véritable sanctum regnam de la grande clavicule, autrement dit le Pacta conventa d¿moniorum dont on parle depuis si longtemps, est une chose fort nécessaire à expliquer ici pour l¿intelligence de ceux qui ,voulant forcer les esprits, n¿ont point la qualité-requise pour composer la verge foudroyante et le cercle cabalistique. Ils ne peuvent, dis-je, venir à bout de forcer aucun esprit de paraître, s¿ils n¿exécutent de point en point tout ce qui est décrit ci-après, touchant la manière de faire des pactes avec tels esprits que ce puisse être ; soit pour avoir la jouissance des femmes et des filles, et en avoir telle faveur que l¿on souhaite ; soit pour découvrir les secrets les plus cachés dans toutes les cours et les. cabinets du monde, soit pour faire travailler un esprit pendant la nuit à son ouvrage : soit pour faire tomber une grêle ou la tempête partout où l¿on souhaite ; soit pour vous rendre invisible, soit pour se faire transporter par tout où l¿on veut,soit d¿ouvrir toutes les serrrures, devoir tout ce qui se passe dans les maisons, et d¿apprendre tous les tours et finesses des bergers, soit pour acquérir la main de gloire et pour connaître toutes les qualités et les vertus des métaux et des minéraux, des végétaux et de tous les animaux purs ou impurs ; et pour faire des choses si surprenantes qüil n¿y a aucun homme qui ne soit dans la dernière surprise de voir que, par le moyen de faire pacte avec quelques esprits, on puisse découvrir les plus grands secrets de la nature qui sont cachés aux yeux de tous les autres hommes."

  • af John Locke
    398,95 kr.

    " This Treatise, which is grown up under your lordship¿s eye, and has ventured into the world by your order, does now, by a natural kind of right,come to your lordship for that protection which you several years since promised it. It is not that I think any name, how great soever, set at the beginning of a book, will be able to cover the faults that are to be found in it. Things in print must stand and fall by their own worth, or the reader¿s fancy. But there being nothing more to be desired for truth than a fair unprejudiced hearing, nobody is more likely to procure me that than your lordship, who are allowed to have got so intimate an ac- quaintance with her, in her more retired recesses. Your lordship is known to have so far advanced your speculations in the most abstract and general knowledge of things ,beyond the odinary reachorcom mon methods, that your allowance and approbation of the design of this Treatise will at least preserve it from being condemned without reading, and will prevail to have those parts a little weighed, which might other- wise perhaps be thought to deserve no consideration, for being some- what out of the common road. "

  • af Emile Durkheim
    258,95 kr.

    " Qu'est ce que la philosophie ? Le mot est fréquemment employé. Par cela même, il donne une idée grossière, mais simple de ce qu'il signifie. Philosopher, c'est réfléchir sur un ensemble de faits pour en tirer des généralités. Philosophie, en un mot, veut dire réflexion et généralisation. C'est ainsi que l'on dit : la philosophie de l'art, la philosophie de l'histoire.En examinant la forme de la philosophie, le genre de réflexion qui lui convient, ce qu'on appelle: l'esprit philosophique, on voit qu'on peut le définir ainsi: il consiste dans le besoin de se rendre compte de toutes ses opinions, jointe à une force d'intelligence suffisante pour satisfaire plus ou moins ce besoin. La qualité caractéristique de l'esprit philosophique est la libre réflexion, le libre examen. Réfléchir librement, c'est se soustraire quand on réfléchit à toute influence étrangère à la logique. C'est raisonner en ne reconnaissant d'autres autorités que les règles de cette science et les lumières de la raison."

  • af Emmanuel Mounier
    258,95 kr.

  • af Paul Lafargue
    143,95 kr.

    Le Droit à la paresse, ouvrage de Paul Lafargue paru en 1880, puis en 1883 en nouvelle édition[1], est un manifeste social qui centre son propos sur la « valeur travail » et l'idée que les humains s'en font.Texte classique, très riche historiquement ¿ il propose une monographie sociale, économique et intellectuelle et analyse les structures mentales collectives du xixe siècle ¿, Le Droit à la paresse démythifie le travail et son statut de valeur... Voici un texte très célèbre, au succès jamais démenti, d'un «disciple» de Karl Marx. L'entame du texte est des plus explicite: Ce texte est beaucoup plus qu'un pamphlet superbement écrit. Il contient une compréhension essentielle de la transformation nécessaire et actuelle de nos sociétés à travers la nature même du travail productif.

  • af Simone Weil
    142,95 kr.

    Ce recueil réunit cinq textes de Simone Weil écrits entre 1933 et 1943, sur la guerre - et la force en général - et ses effets politiques, moraux et spirituels. Qu'advient-il lorsque la pensée se trouve prise dans des rapports de forces, lorsqu'elle est aux prises avec la force ? La capacité de juger, la lucidité, la capacité de penser et d'affirmer des principes peuvent-elles rester intactes?

  • af Johann Gottlieb Fichte
    228,95 kr.

    " Was außer der Schule brauchbar ist von der neueren Philosophie, sollte den Inhalt dieser Schrift ausmachen; vorgetragen in derjenigen Ordnung, in der es sich dem kunstlosen Nachdenken entwickeln müßte. Die tiefern Zurüstungen, welche gegen Einwürfe und Ausschweifungen des verkünstelten Verstandes gemacht werden, das, was nur Grundlage für andre positive Wissenschaften ist, endlich, was blos für die Pädagogik im weitesten Sinne, d. h. für die bedachte und willkürliche Erziehung des Menschengeschlechts gehört, sollte aus dem Umfangederselben ausgeschlossen bleiben. Jene Einwürfe macht der natürliche Verstand nicht; die positive Wissenschaft aber überläßt er seinen Gelehrten, und die Erziehung des Menschengeschlechts, in wie fern sie vom Menschen abhängt, seinen Volkslehrern und Staatsbeamten."

  • af Max Nordau
    598,95 kr.

  • af Nicolas Berdiaev
    258,95 kr.

    "La première moitié du XXe siècle, en Russie d'abord puis dans l'émigration russe, a été marquée par l'essor d'une pensée chrétienne souvent prophétique, à la rencontre de l'Occident et de l'Orient chrétiens, de l'Eglise et de la liberté. Un des témoins les plus importants de ce renouveau qui reprend aujourd'hui en URSS, fut sans conteste Nicolas Berdiaev, né à Kiev en 1874, mort à Clamart en 1948. Il a tenté, à la suite de Dostoïevski, en réponse à Marx et à Nietzsche, de rendre compte de la grandeur de l'homme telle que l'exalte la modernité : non pas contre Dieu toutefois, mais dans la " divino-humanité " christique, espace de l'Esprit et de la liberté. De l'esclavage et de la liberté de l'homme constitue la synthèse la plus dépouillée, la plus mûrie, d'une spirititualité, d'une éthique, aussi paradoxale que le Dieu incarné et crucifié du christianisme. Tout est centré sur le thème de la personne irréductible, inconceptualisable, mouvement de dépassement et de communion. Dans une série de développements antinomiques, Berdiaev fait surgir le visage divin de l'homme affronté aux idoles de la philosophie, de sociétés " objectivées ", de l'Etat, de la révolution ou de la sexualité. Il suggère un " eschatologisme actif " où l'homme, retrouvant en Christ sa vocation de créateur créé, anticipe et prépare la transfiguration universelle, affrontant illusions, pesanteurs et tyrannies pour faire flamboyer la liberté."

  • af Alain
    176,95 kr.

    " Édition originale et intégrale de cet ouvrage d'Alain qui évoque son professeur de philosophie à Vanves Jules Lagneau (1851-1894), rencontre qui influença fortement le philosophe en devenir car le professeur appliquait le précepte de la méthode réflexive qui consiste à retrouver toute la pensée en chaque pensée."

  • af Alain
    228,95 kr.

    " En quatre-vingt-dix-neuf propos brefs et toniques, Alain nous donne les clés de l'action, souligne le rôle de la volonté, du courage, de la fidelité et de la confiance. L'ouvrage est un bréviaire optimiste résolument tourné vers le bonheur."

  • af Alain
    228,95 kr.

    " D'ABSOLU à ZÈLE, de BEAU à VIOLENCE, de DÉSIR à PROGRÈS, de FANATISME à JUSTICE, Alain donne ici l'exemple d'une sagesse en action, moins soucieuse de prédication que de lucidité, à la recherche constante du "penser juste". Au passage, il crée un genre original, à mi-chemin de la maxime et du Propos. Ces Définitions, dont les contraintes de concision et de précision excluent aussi bien les ambiguïtés complaisantes que les bavardages dogmatiques, lui servent d'armes : il s'agit d'affronter, par le langage, les pièges du langage."

  • af Alain
    258,95 kr.

    " Les idées ici proposées ne dépendent point de quelque idée supérieure d'abord posée, et ne conduisent même point à quelque notion commune qui puisse définir tous les arts en peu de mots. Au contraire je me suis attaché à marquer les différences, les séparations, les oppositions, me réglant ainsi, autant que peut faire la critique, sur les oeuvres elles-mêmes, dont chacune s'affirme si bien et n'affirme qu'elle..."

  • af Alain
    176,95 kr.

    " L'Éthique de Spinoza a toujours fasciné les esprits parce qu'elle se présente comme un parfait édifice rationnel dont chaque proposition est un élément indispensable à la totalité du système, dont chaque argument prétend à la validité et à l'objectivité d'un théorème de géométrie. Alain ne pouvait, ayant fait cours sur Descartes, éviter la pérégrination au sein de l'architecture conceptuelle de Spinoza. Cette réflexion se prolonge au-delà du livre qu'il lui a expressément consacré : en effet, dans maintes autres occasions, dans certains de ses Propos notamment (qu'on trouvera dans ce volume), Alain évoque Spinoza ; et lorsqu'il voudra rendre hommage à Jules Lagneau, c'est encore Spinoza qui sera présent dans la discussion : c'est la raison pour laquelle ce philosophe est la figure retenue pour assurer le lien thématique du recueil, ainsi considérablement augmenté."

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