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La mondialisation est présentée ici comme une philosophie de l'histoire - un projet philosophique qui change radicalement le regard que l'homme porte sur le monde. L'esprit de la mondialisation qui est aussi celui du capitalisme mondial est mis en lumière à travers la longue marche de la ruse et du désir.Mais alors à quelles conditions la mondialisation actuelle pourrait déboucher sur une véritable civilisation de l'universel, sur un rendez-vous planétaire?
Nous ne savons plus ce qu'est l'Europe. La campagne française pour le référendum sur la constitution européenne le démontre. Loin des enjeux idéologiques, ce livre se propose de reconsidérer la question polémique de nos valeurs communes, à l'aune de l'histoire des idées et de la sociologie des opinions. La comparaison entre les constitutions des pays européens permet ainsi de mieux distinguer ce qui nous unit et ce qui nous différencie. L'identité du continent Europe est en train de devenir l'une des questions majeures de la géopolitique: il est temps que l'opinion publique s'en saisisse; c'est à quoi ce livre prétend contribuer.
C'est avant tout à un voyage dans l'¿uvre d'un des plus importants anthropologues contemporains que nous convie ce dialogue autour d'une anthropologie de la mondialisation dont le programme pourrait s'énoncer ainsi: "il ne s'agit plus d'ethnographier des sociétés "pures", constituées en totalités closes et autonomes, mais d'étudier le phénomène même de la coexistence entre des mondes différents au sein d'un même espace temps, celui qui nous est contemporain et dont nous sommes à la fois acteurs et spectateurs." (M. Augé)
Explosion de la violence, impossible éducation, fracture sociale, perte de la crédibilité des grandes institutions sociales, catastrophe écologique, inflation du Droit et de la répression, montée des extrêmes, sectes, terrorisme¿ Ces phénomènes ne seraient-ils pas autant de symptômes d'une nouvelle forme d'aliénation ? Cette aliénation se développe comme ferment de destruction qui prend les visages de la dépression, de l'addiction et de la violence. Tel saturne dévorant son fils, l'échange marchand non régulé destructure les cultures pour se nourrir de leur cadavre.
La progression irrésistible des machines nous impose une double liberté : elles gagnent constamment en autonomie comme en complexité et elles attendent de nous un flux décisionnel toujours plus riche, afin d'élaborer un nouveau monde, l'hypermonde. Mais cette montée des machines a ses limites, et au c¿ur même de la logique et des ordinateurs s'infiltrent paradoxes, indécidabilités, virus, bogues. Rien ne nous garantit un progrès sans catastrophes.
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