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" Le Saint-Denis de M. Viollet-Leduc terminé sera certainement le plus beau titre de gloire de ce savant et habile architecte Il ne faut point se dissimuler qüil a entrepris la tâche la plus difficile, la plus délicate et en même temps la plus considérable qüaucun architecte ou homme d¿art de ce temps-ci ait tenté de mener à bonne fin. Rendre à nos yeux le Saint-Denis primitif, le Saint-Denis de Suger et de Saint-Louis, le Saint- Denis absolument complet, tel que l¿avait trouvé la Révolution à la veille de la dévastation des caveaux où gisaient ensevelis les restes de la monarchie française, M. Viollet-Leduc n¿a pas entrepris moins que cela ! Il s¿est pris d¿une belle et noble passion pour la basilique amoindrie, il a recueilli, partout où il a pu les retrouver, les richesses arrachées à ses murs et à ses tombes ; il a réuni et fouillé tous les documents, tous les plans, tous les livres qui pouvaient retracer à ses yeux et livrer à ses investigations les indices certains d¿un passé si violemment disparu, et il s¿est mis héroïquement à l¿ouvrage avec des ressources relativement restreintes et qui n¿ont pas toujours permis un travail sans interruption"
Les singularités judiciaires sont nombreuses et variées au moyen âge, et souvent les magistrats interviennent dans des circonstances si bizarres, que nous avons peine à comprendre, nos jours, comment ces graves organes de la justice ont pu raisonnablement figurer dans de telles affaires. Toutefois notre but n¿est pas de critiquer ici des sages plus ou moins absurdes, mais d¿en constater simplement l¿existence. Nous bornons notre rôle { raconter les faits, sauf au lecteur à en tirer lui-même les conséquences. Plusieurs siècles nous séparent de l¿époque dont nous cherchons { étudier les m¿urs et les idées, qui forment avec les nôtres de si étranges disparates ; aussi n¿est-ce qüaprès de scrupuleuses recherches faites dans les ouvrages des jurisconsultes et des historiens les plus respectables, que nous avons osé présenter cette rapide esquisse.
" On ne l'a pas assez remarqué, parce que Voltaire a tant fait, tant écrit; son activité s'est déployée de tant de côtés qu'on ne saurait prendre garde à tout, et qu'il est difficile d'attacher à chacune de ses ¿uvres une importance suffisante. Ainsi en est-il de la correspondance de Voltaire avec le grand Frédéric et encore avec Catherine II.Il me semble qu'on ne connaît pas une correspondance d'autant de va- leur entre un roi et un philosophe que celle dont nous allons nous occuper.Nous possédons les billets du jeune Marc Aurèle à son précepteur Fronton, ce sont d'aimables et tendres témoignages de respect, d'affection et de reconnaissance. Ces billets montrent combien était sensible et bonne l'âme du futur empereur. Mais ces relations ne pouvaient avoir l'importance de celles du prince royal de Prusse, âgé de vingt-quatre ans, et plus tard du roi avec Voltaire, ayant dix-huit ans de plus que son correspondant et déjà en possession d'une notoriété considérable par ses travaux littéraires et philosophiques."
" Le vif intérêt que présente la passion de Louis XIV pour Marie Mancini, passion qui faillit provoquer de si graves événements entre la France et l'Espagne, n'a pas échappé à l'¿il pénétrant de Voltaire. «Louis XIV, dit-il, mit dans sa cour, comme dans son règne, tant d'éclat et de magnificence, que les moindres détails de sa vie semblent intéresser la postérité, ainsi qu'ils étaient l'objet de la curiosité de toutes les cours de l'Europe et de tous les contemporains. La splendeur de son gouvernement s'est répandue sur ses moindres actions. On est plus avide, surtout en France, de savoir les particularités de sa cour, que les révolutions de quelques autres États... Voilà pourquoi il n'y a guère d'historiens qui n'aient publié les premiers goûts de Louis XIV pour la baronne de Beauvais, pour Mlle d'Argencourt, pour la nièce du cardinal Mazarin, qui fut mariée au comte de Soissons, père du prince Eugène, surtout pour Marie Mancini, qui épousa ensuite le connétable Colonne. Il ne régnait pas encore quand ces amusements occupaient l'oisiveté où le cardinal Mazarin, qui gouvernait despotiquement, le laissait languir. L'attachement seul pour Marie Mancini fut une affaire importante, parce qu'il l'aima assez pour être tenté de l'épouser, et fut assez maître de lui-même pour s'en séparer. Cette victoire qu'il remporta sur sa passion commença à faire connaître qu'il était né avec une grande âme."
" Am Nachmittag des vierten Mai 1789 eröffnete Ludwig XVI. die Gene- ralstaaten Frankreichs in der Kirche Saint-Louis in Versailles, am neun- ten Thermidor des Jahres II (27. Juli 1794) wurde Robespierre vom Konvent gestürzt. Diese beiden Daten umgrenzen die französische Re- volution. Die Schwankungen in den Machtverhältnissen dreier scharf getrennter Interessengruppen bestimmen ihren Verlauf. Das im Laufe des achtzehnten Jahrhunderts politisch und wirtschaftlich erstarkte Bür- gertum zertrümmerte mit Hilfe der breiten Masse des Volkes die Macht des absoluten Königtums und der bevorrechteten Klassen, des Adels und der Geistlichkeit, deren Mißwirtschaft das Land dem völligen Ruin entgegenzuführen drohte. Gegen die neue Macht des Bürgertums drängte seinerseits das städtische und ländliche Proletariat an , dessen Vorge- hen vom Hunger, vom krassesten Elend bedingt wurde, und das sich um seinen Anteil an dem reichen Erbe des mit seiner Hilfe besiegten ancien régime vom Bürgertum betrogen fühlte. "
" Jean-François Barton, baron de Montbas, naquit au château de Montbas, près de Bel lac,le 28 août 1636. Il appartenait à une vieille famille de la Marche, sur l¿histoire de laquelle il nous a laissé, en guise de préface à ses Mémoires, une notice « établie avec toute l¿exactitude possible et en ne disant rien que de vrai ». Certains généalogistes ont voulu trouver aux Barton une origine étrangère, et Mont- bas, bien que sans preuves convaincantes, semble se ranger à leur avis. Lorsque, en 1259, Louis IX eut restitué au roi d¿Angleterre, en échange de la Normandie, les provinces du Limousin, du Périgord et du Quercy, de nombreux seigneurs anglais passèrent en France et s¿y établirent ; de ce nombre aurait été Hugues Barton, des comtes souverains de Dumbarton en Écosse, surnommé pour sa bravoure l¿impitoyable dans les combats, et qui, ayant épousé une Française, Marie d¿Auzelay, se serait définitivement fixé en Poitou et y aurait acquis la vicomté de Montbas."
" Bernard, supérieur de l'abbaye de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153. Directeur de conscience et important promoteur de l'ordre cistercien, il recherche l'amour du Christ par la mortification la plus dure. Il fait preuve, toute sa vie, d'une activité inlassable pour instruire ses moines, pour émouvoir et entraîner les foules, pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l'Église catholique mettront en ¿uvre.C'est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque, marquée par une profonde transformation de l'économie, de la société et du pouvoir politique.Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l'Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. Avec son Éloge de la Nouvelle Chevalerie il dresse ici le portrait des Templiers et leur mission, une chevalerie destinée à défendre les lieux saints et la justice."
" L¿auteur a cherché ici la vérité morale plus que la vérité anecdotique. Il a cru devoir user, dans cette action qüenveloppe une poésie légendaire, de plus de libertés avec l¿histoire qüil ne se l¿est permis en écrivant Danton. Dans cette dernière ¿uvre, il s¿est astreint à serrer d¿aussi près que possible la psychologie de quelques personnages : car le drame tout entier est concentré dans l¿âme de trois ou quatre grands hommes. ¿ Ici, rien de pareil : les individus disparaissent dans l¿océan populaire. Pour représenter une tempête, il ne s¿agit pas de peindre chaque vague, il faut peindre la mer soulevée. L¿exactitude minutieuse des détails importe moins que la vérité passionnée de l¿ensemble. Il y a quelque chose de faux et de blessant pour l¿intelligence dans la place disproportionnée qüont prise aujourd¿hui l¿anecdote, le fait divers, la menue poussière de l¿histoire, aux dépens de l¿âme vivante."
" Dans la soirée du mercredi 24 janvier 1680, une nouvelle extraordinaire éclatait brusquement à Paris et à Saint- Germain, plongeant dans la stupeur bourgeois et gens de Cour. Le maréchal de Luxembourg, le vainqueur de Woerden, de Valenciennes, de Saint-Denis, l¿une des gloires de la France, le premier de ses capitaines depuis la mort de Turenne et la retraite du grand Condé, venait d¿entrer à la Bastille, inculpé d¿actes infamans, menacé, disait-on, de la peine capitale. Rien ne préparait les esprits à cette chute foudroyante. La veille encore, le maréchal, capitaine des gardes du corps, exerçait tranquillement sa charge auprès du Roi, qui lui faisait « bonne mine, » ainsi qüà l¿ordinaire. Un échange de cadeaux avait même, ce jour-là, attesté leur parfait accord : le duc ayant cédé à Louis XIV un magnifique cheval de guerre, le souverain avait riposté par le don d¿une épée de prix. À cette heure-là pourtant, l¿ordre d¿arrestation avait déjà reçu la signature royale. Luxembourg, disons-le, n¿était pas seul en cause ; d¿autres, ¿ d¿un rang égal, bien que de moindre illustration, ¿ étaient impliqués dans l¿affaire, et leurs noms, le lendemain, couraient de bouche en bouche. Sur ces derniers toutefois ne se referma pas la porte redoutable de la vieille forteresse : les uns, comme on verra, se mirent à l¿abri par la fuite ; les autres, plus nombreux, furent soumis à une simple enquête que ne suivit aucun effet. Seul, en toute cette classe d¿accusés, le procès fait à Luxembourg eut un cours régulier, fut instruit dans les formes et poussé jusqüau terme ; plus que tout autre donc, il peut donner matière à une étude approfondie."
" La 9e armée française est une unité de l'armée de terre française qui a combattu durant la Première et la Seconde Guerre mondiale. La 9e armée est recréée le 15 octobre 1939 à partir du détachement d'armée des Ardennes, et est sous la direction du groupe d'armées n° 11. La 9e armée conserve des lacunes dans les services et unités organiques et son état-major reste d'un niveau moyen, ce qui diminue l'influence de ses relations avec les états-majors supérieurs (GA1, QGQ)2. Sous le commandement du général Corap, elle occupe une région dont le front à défendre est situé entre Trélon, en liaison avec la 1re armée, et Pont-à-Bar (Donchery) où commence le secteur de la 2e armée; ce front couvre les trouées de Rocroi et Anor puis s'appuie notamment sur la Meuse entre Revin et Pont-à-Bar, excepté pour la tête de pont de Charleville-Mézières. Cette tête de pont bénéficie des fortifications les plus solides du secteur de la 9e armée; ailleurs elles sont relativement faibles. L'attention au cours de la drôle de guerre se porte sur l'amélioration des organisations défensives entre Trélon et Rocroi mais la population, non évacuée, contrarie les travaux. "
" On the morning of the next day, February 1st, 1542, the eve of the day of the Purification of Our Lady, we pitched our camp, and as D. Christovão came with full knowledge of the approaches, as soon as wewere in sight he allotted them to the Captains: to Francisco Velho and Manuel da Cunha, with their people and three pieces of artillery, the first approach, with the wall at the foot, the attack to be made at a given signal; to the second he appointed João da Fonseca and Francisco de Abreu, with three other pieces of artillery, and with the same instructions as to the signal; as the last approach was the strongest and mostdangerous, he selected it for himself with the remaining people. There pikes, who were angry and discontented that they were excluded from remained on guard over the Queen sixty soldiers with matchlocks and the attack."
La Chanson de Roland est un poème épique et une chanson de geste du XI¿ siècle attribuée parfois, sans certitude, à Turold. Neuf manuscrits nous sont parvenus, dont un, le manuscrit d'Oxford du début du XII¿ siècle, le plus ancien et le plus complet, est en anglo-normand. Roland est jeunes mais sa témérité et sa fierté font de lui un chevalier redoutable. N'a-t-il pas conquis son épée Durendal et son cheval Veillantif en tuant un prince païen, alors qu'il n'avait que quinze ans ? Charlemagne le considère comme un fils et les guerriers francs l'admirent. Fidèle parmi les fidèles, Roland est le meilleur soutien du roi, celui qui mène à la victoire et ne craint pas la mort... Des pages de jeux, d'exercices et de documentation, pour faciliter la lecture aussi bien en classe qu'à la maison !
Cet historien du XIXe siècle nous parle en particulier de toutes les figures féminines importantes de la cour de Louis XIV, la reine Marie-Thérèse, Mme de Montespan, Mme de Maintenon, etc.Arthur-Léon-Georges Imbert de Saint-Amand, né le 22 novembre 1834 à Paris où il est mort le 22 juin 1900, est un diplomate et historien français.BiographieNé au no 9 de la rue Jean-Goujon, de Marie-Flore Domon et du baron Jean-Bernard Marthe, colonel au 2e régiment de dragons, il fut élève du lycée Bonaparte2. Après avoir passé ses licences ès lettres et en droit, il entra, en 1855, au ministère des Affaires étrangères. Il y devint successivement sous-directeur adjoint à la direction politique en 1866, secrétaire de première classe à la disposition du ministre en 1869, ministre plénipotentiaire de 2e classe en 1877 et de première classe en 1882, et fut presque constamment chargé de travaux particuliers dans l¿administration centrale de ce ministère3.Imbert de Saint-Amand s¿est fait connaître par une série de publications sur les femmes de l¿ancienne cour de France, du premier Empire et de la Restauration, comprenant les femmes de la cour de Louis XIV, de la cour de Louis XV, des dernières années du règne de Louis XV, les beaux jours de Marie-Antoinette et la fin de l¿ancien régime, puis, entre autres, Marie-Antoinette aux Tuileries, la dernière année de celle-ci, l¿agonie de la royauté, la citoyenne Bonaparte, la femme du premier consul, la cour de l¿impératrice Joséphine, les beaux jours de Marie-Louise, Marie-Louise et la décadence de l¿Empire, la duchesse de Berry, la duchesse d¿Angoulême, etc. En dehors de ces deux séries il a publié des portraits de la cour des derniers Valois et des derniers Bourbons, de Françaises et du xviiie et du xixe siècle, de l¿abbé Deguerry et de Delphine de Girardin3.Décoré de la Légion d¿honneur, le 11 aout 1863, il a été promu officier, le 6 aout 1870.
«Biribi» désigne l'ensemble des pénitenciers militaires français Ce reportage de 1924 dénonce les pratiques cruelles dans ces unités au Maghreb. Perpétrés par des sousoffs sadiques, «ignorés» du commandement, ces faits sont racontés par des détenus dans des récits poignants, à peine commentés par l'auteur. À la fin de cet article l'auteur s'adresse au ministre de la guerre pour réclamer la suppression de ces établissements.Le succès de son reportage sur le bagne de Cayenne (Au bagne) décide Albert Londres à s'intéresser à d'autres geôles de la République. Il s'agit cette fois d'enquêter sur les bagnes militaires, situés pour la plupart en Afrique du Nord et dépendant du ministère de la Guerre. Malgré l'hostilité de la hiérarchie militaire, le grand reporter sillonne le Rif, recueillant les doléances des soldats bagnards. Sous le titre Biribi, son reportage est publié au printemps 1924. Pour répondre à la pression de l'opinion publique, le ministre de la Guerre se voit contraint d'envoyer sur place une commission d'enquête, et ce sera bien grâce à Albert Londres que les bagnes militaires et leurs odieux " travaux publics " seront définitivement supprimés en France.
Le général Denikine fut, pendant un temps, le chef de l'armée contrerévolutionnaire blanche, lors de la guerre civile qui embrasa la Russie après la révolution d'Octobre. Battu, fin 1919, par l'Armée rouge et en désaccord avec le général Wrangel lequel voulait restaurer le tsarisme, alors que Denikine avait des sympathies démocrates il laissa la place à se dernier et s'exila en France. Il propose, dans ce livre, sa vision de la révolution russe.Anton Ivanovitch Dénikine (1872-1947) est un général russe, chef d'état-major dans les armées de la Russie impériale pendant la Première Guerre mondiale, commandant en chef de l'armée des volontaires pendant la guerre civile russe. Lors de la révolution de Février 1917, il se trouvait sur le front roumain. En mars 1917, il fut rappelé à Pétrograd par le ministre de la guerre du gouvernement provisoire Alexandre Goutchkov qui lui proposa le poste de chef d'état-major auprès du commandant en chef de l'armée russe, le fraîchement nommé général Mikhail Alekseïev. Le 5 avril, Dénikine entra en fonction, qu'il exerça un mois et demi, en bonne entente avec Alekseïev. Après le remplacement d'Alekseïev par Broussilov, Dénikine, ne souhaitant pas être le chef d'état-major de ce dernier, fut nommé commandant des armées du front ouest. À ce poste, il organisa le soutien stratégique du front sud-ouest lors de l'offensive de juin 1917.Le 28 août 1917, il est arrêté à la suite d'un télégramme expédié au gouvernement provisoire dans lequel il exprime sa solidarité avec le général Lavr Kornilov. Accusé de mutinerie (Affaire Kornilov), il fut incarcéré en compagnie de Kornilov à la prison de Bykhov, d'où les généraux réclamaient un procès public pour se laver des accusations mensongères et présenter leur programme pour l'avenir de la Russie.Après la chute du gouvernement provisoire, l'accusation de mutinerie devint sans objet et, le 2 décembre 1917, le commandant de chef général Nikolaï Doukhonine donna l'ordre de transférer les prisonniers sur le Don, ce que contesta le comité des armées. Apprenant que des unités bolchéviques aux ordres de l'enseigne Krylenko marchaient sur Moguilev, menaçant d'exécuter les généraux, ceux-ci se décidèrent à fuir vers le Don.Avec des papiers au nom d'Alexandre Dombrowski, Dénikine parvint à déjouer la vigilance des contrôles bolchéviques et à rallier Novotcherkassk, où il participa à la formation de l'armée des volontaires.Le 4 avril 1920, Dénikine, face à l'opposition des généraux, démissionne du commandement des Forces Armées du Sud de la Russie au profit du lieutenant-général baron Wrangel et s'embarqua le jour même pour l'Angleterre via Constantinople. Il s'exile en France, puis émigre aux États-Unis en 1945.
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