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" Chopin! doux et harmonieux génie! Quel est le c¿ur auquel il fut cher, quelle est la personne à laquelle il fut familier qui, en l'entendant nommer, n'éprouve un tressaillement, comme au souvenir d'un être supérieur qu'il eut la fortune de connaître? Mais, quelque regretté qu'il soit par tous les artistes et par tous ses nombreux amis, il nous est peut-être per- mis de douter que le moment soit déjà venu où, apprécié à sa juste va- leur, celui dont la perte nous est si particulièrement sensible, occupe dans l'estime universelle le haut rang que lui réserve l'avenir."
" Ce livre était principalement destiné à des lecteurs anglais et améri- cains. L'auteur a insisté sur les points qui, à son avis, intéressent un tel public. Il peut donc être utile, au début d'une traduction française, d'indi- quer nettement et brièvement quelques aspects de la situation, qui touchent particulièrement la France.Les chapitres qui suivent tendent à montrer entre autres choses que les délégués à la Conférence de Paris commirent deux graves erreurs à l'encontre de l'intérêt des alliés. En demandant l'impossible, ils abandonnèrent la proie pour l'ombre et perdront par la suite tout ce qu'ils croiront avoir obtenu. En concentrant leur attention sur des sujets poli- tiques, ils négligèrent l'unité économique de l'Europe, et la sécurité qu'ils crurent obtenir n'est qu'illusoire, - illusoire, parce qu'elle ne peut pas résulter de l'occupation de plus vastes frontières et parce que les artifices politiques actuels ne conviendront plus aux problèmes des années prochaines."
" Il est une vaste contrée, grasse, souriante, abondante en richesses de toute sorte, en grains comme en troupeaux, assise au bord de la Sarayoû et nommée Kauçala. Là, était une ville, célèbre dans tout l¿univers et fondée jadis par Manou, le chef du genre humain. Elle avait nom Ayaudhyâ. Heureuse et belle cité, large de trois yaudjanas, elle étendait sur douze yaudjanas de longueur son enceinte resplendissante de constructions nouvelles. Munie de portes à des intervalles bien distribués, elle était percée de grandes rues, largement développées, entre lesquelles brillait aux yeux la rue Royale, où des arrosements d¿eau abattaient le vol de la poussière. De nombreux marchands fréquentaient ses bazars, et de nombreux joyaux paraient ses boutiques. Imprenable, de grandes mai- sons en couvraient le sol, embelli par des bocages et des jardins publics. Des fossés profonds, impossibles à franchir, l¿environnaient ; ses arsenaux étaient pleins d¿armes variées ; et des arcades ornementées couronnaient ses portes, où veillaient continuellement des archers."
Eugène Onéguine , regardé comme le chef-d¿¿uvre de Pouchkine, n¿avait pas encore été traduit en notre langue. Il n¿est pas écrit dans le goût du jour : on n¿y trouve ni banqueroute, ni suicide, ni prostituées, ni adultères, mais une galerie de tableaux pris çà et là dans l¿existence russe et servant de fond à une action très simple. Du reste, ce petit poème ou ce petit roman, comme on voudra, ne manque ni d¿originalité, ni de verve satirique, ni de douce poésie, sans parler des faits et gestes d¿Oné- guine « le mauvais sujet. »Je n¿ajoute plus un mot, et je confie à ceux qui savent encore goûter les choses simples et vraies le soin de statuer sur le sort d¿Onéguine.
" Le principal avantage qui résulterait de l¿établissement du socialisme, serait, à n¿en pas douter, que nous serions délivrés par lui de cette sordide nécessité de vivre pour d¿autres, qui dans l¿état actuel des choses, pèse d¿un poids si lourd sur tous presque sans exception. En fait, on ne voit pas qui peut s¿y soustraire. Çà et là, dans le cours du siècle, un grand homme de science, tel que Darwin ; un grand poète, comme Keats ; un subtil critique comme Re- nan ; un artiste accompli, comme Flaubert, ont su s¿isoler, se placer en dehors de la zone où le reste des hommes fait entendre ses clameurs, se tenir à l¿abri du mur, que décrit Platon , réaliser ainsi la perfection de ce qui était en chacun, avec un avantage incalculable pour eux, à l¿avantage infini et éternel du monde entier."
" Lorsque nous avons, il y a quelques années, écrit Orient et Occident, nous pensions avoir donné, sur les questions qui faisaient l¿objet de ce livre, toutes les indications utiles, pour le moment tout au moins. Depuis lors, les événements sont allés en se précipitant avec une vitesse toujours croissante, et, sans nous faire changer d¿ailleurs un seul mot à ce que nous disions alors, ils rendent opportunes certaines précisions complémentaires et nous amènent à développer des points de vue sur lesquels nous n¿avions pas cru nécessaire d¿insister tout d¿abord. Ces précisions s¿imposent d¿autant plus que nous avons vu s¿affirmer de nouveau, en ces derniers temps, et sous une forme assez agressive, quelques-unes des confusions que nous nous sommes déjà attaché précisément à dissiper ; tout en nous abstenant soigneusement de nous mêler à aucune polémique, nous avons jugé bon de remettre les choses au point une fois de plus. Il est, dans cet ordre, des considérations, même élémentaires, qui semblent tellement étrangères à l¿immense majorité de nos contemporains, que, pour les leur faire comprendre, il ne faut pas se lasser d¿y revenir à maintes reprises, en les présentant sous leurs différents aspects, et en expliquant plus complètement, à mesure que les circonstances le permettent, ce qui peut donner lieu à des difficultés qüil n¿était pas toujours possible de prévoir du premier coup."
" En prenant pour sujet de ce¿e conférence, l'État et son rôle historique, j'ai pensé répondre à un besoin qui se fait vivement sen¿r en ce moment : celui d'approfondir l'idée même de l'État, d'étudier son essence, son rôle dans le passé et la part qu'il peut être appelé à jouer dans l'avenir.C'est surtout dans la questi¿on de l'État que se trouvent divisés les socialistes. Dans l'ensemble des frac¿tions qui existent parmi nous, et qui répondent aux différents tempéraments, aux différentes manières de penser, et surtout au degré de confiance dans la prochaine révolüon, deux grands courants se dessinent."
" Mon cher André, ce n¿est pas moi qui te donne ce livre, le plus impor- tant, peut-être, de tous ceux que j¿ai pu écrire jusqüà ce jour.C¿est mon fils André qui te le donne, mon douloureux fils André que Dieu m¿a repris dans son innocence baptismale et qui a dix-huit ans, au- jourd¿hui, dans le Paradis.Il en eût été le dédicataire et il convient que tu prennes sa place, en cette manière. Je veux croire que telle est sa volonté.Il eût aimé Napoléon comme tu l¿aimes, et votre commun Patron, le grand Apôtre de la Croix, te fera comprendre, si tu l¿interroges avec amour, ce qüil y avait de désirable et de magnifique dans la souffrance du plus glorieux de tous les mortels. Nous sommes au soir du monde, mon cher enfant ; tu seras témoin, peut-être, des divines et terribles choses que le vainqueur des rois semble avoir si grandiosement préfigurées.Puisse l'Ame de Napoléon agrandir ton c¿ur et te servir de réconfort pour les épreuves inconnues.LÉON BLOY. 5 mai 1912."
"Pourquoi ? peut-être parce qüil a plu un jour à Sainte-Beuve d¿écriredans son Tableau de la poésie française au XVI e siècle, « qüil n¿y avait pas de restes authentiques de l¿ancien manoir du poète, et que tout ce que l¿onsavait de lui , à Liré, c¿est qüun grand homme y avait vécu jadi ».C¿est pourtant ainsi que se font les légendes. Je me demande où Sainte-Beuve avait puisé ces renseignements."
" Je me souviens comme si c¿était hier de l¿exposition des ¿uvres d¿Eugène Delacroix qui suivit la mort du grand artiste . C¿était dans un local du boulevard des Italiens, divisé en trois salles, où avaient lieu sou- vent alors les expositions artistiques, et qui, par les vicissitudes des choses d¿ici-bas, est, si je ne me trompe, devenu aujourd¿hui, en se trans- formant, le théâtre des Nouveautés. Ce qui m¿est resté net et précis, c¿est l¿impression ressentie. Nous étions alors, au quartier latin, une jeunesse nombreuse, enthousiaste, amoureuse des choses de l¿esprit, passionnée pour trois choses: la littérature, l¿art, la liberté, toute pleine de fières ambitions et d¿espérances aux ailes grandes ouvertes, résolue à faire de nobles choses quand son heure serait venue, une jeunesse jeune, comme l¿est encore, je l¿espère bien et quoi qüon dise, la jeunesse. Tous à peu près nous étions des romantiques. Nous admirions cette génération vaillante de 1830 qui avait rajeuni tant de choses, livré de si belles ba- tailles, donné de si glorieux assauts, planté enfin son drapeau sur la place conquise."
" D'aussi loin qu'il me souvienne, je vois devant mes yeux, au Midi là-bas, une barre de montagnes dont les mamelons, les rampes, les falaises et les vallons bleuissaient du matin aux vêpres, plus ou moins clairs ou foncés, en hautes ondes. C'est la chaîne des Alpilles, ceinturée d'oliviers comme un massif de roches grecques, un véritable belvédère de gloire et de légendes."
" LE titre seul de cet essai indique la pensée deson auteur. Il s¿agit de signaler les noms et les ¿uvres des artistes français qui ont travaillé à l¿étranger, et de préparer ainsi les matériaux qui serviront à l¿histoire de l¿influence que nos artistes ont exercée à plusieurs époques sur l¿art des diverspeuplesdel¿Eu rope.Habitués comme nous le sommes depuis si long-temps à entendre parler de l¿influence de l¿art italien sur l¿art français, on s¿étonnera peut- être d¿entendre parler ici de l¿influence et des travaux des artistes français en Europe; et cependant cette influence et ces travaux ont été et sont encore considérables."
" Beaucoup d'érudits et de lettrés s'imaginent volontiers que la Belgique est une création artificielle, ¿uvre de l'histoire et des volontés humaines, et ne s'appuyant sur aucun fait éternel de la nature: un nom emprunté à la vieille chronique des Gaules, des intérêts communs unissant les villes, quelques circonstances heureuses, des adversaires qui ne peuvent s'entendre pour en finir avec ce petit peuple, voilà, croit-on parfois, ce qui l'a fait et ce qui le maintiendra. Que l'histoire ou la vie des hommes ait fait pour lui plus que pour aucun autre, même que pour la Hollande sa voisine, cela serait facile à montrer. Mais la nature ou la vie de la terre, elle aussi, a présidé à sa naissance, justifié sa grandeur, présagé peut-être son éternité."
" Les Grotesques de la musique est un ouvrage d'Hector Berlioz publié en 1859, composé d'articles précédemment parus dans le Journal des débats et la Revue et gazette musicale. Faisant suite aux Soirées de l'orchestre, dédiées aux artistes de l'orchestre de X*** une ville d'Allemagne seulement désignée comme « civilisée » cet ouvrage est dédié à « mes bons amis les artistes des ch¿urs de l'Opéra de Paris, ville barbare ».
" Il y a une « affaire Shakespeare ». Depuis soixante-dix ans que le consul britannique Jo. C. Hart l¿a ouverte, elle a suscité assez de vo- lumes, d¿études, d¿articles pour emplir une bibliothèque publique. Ce n¿est pas une querelle philosophique sur le sens, la valeur, la portée de l¿¿uvre ; c¿est plutôt un problème à la façon d¿Edgar Poë : il s¿agit de sa- voir si Shakespeare est ou non l¿auteur des ouvrages de Shakespeare. Sherlock Holmes, à défaut de M. Dupin, serait bien utile pour résoudre cette question difficile.« Comme un fanal, dans la nuit, brille au milieu des airs sans laisser apercevoir ce qui le soutient, a écrit M. Guizot un jour qüil se trouvait en humeur de poésie, de même l¿esprit de Shakespeare nous apparaît dans ses ¿uvres isolé, pour ainsi dire, de sa personne. » Comprenez que tout ce que nous pouvons imaginer du poète d¿après son ¿uvre, non seulement ne concorde pas avec ce que nous savons de l¿homme qüil fut, mais s¿y oppose parfaitement."
" La réception faite à Son Altesse Impériale Louis-Napoléon dans les départements de l¿Est avait été un grand événement politique. A Bar-le- Duc, à Nancy, à Lunéville, à Strasbourg, dans ces grandes villes et dans ces belles campagnes de la Meuse, de la Meurthe et du Bas-Rhin, le cri de Vive l¿Empereur! avait retenti avec éclat et réveillé des échos dans la France entière. On pouvait pressentir dès lors l¿enthousiasme qui allait accueillir l¿Élu de la nation dans son long voyage à travers les départements du Centre et du Midi. Ce voyage a été décisif. Il a une immense importance historique. Il a révélé la France à elle-même. Il a donné une formule à la volonté nationale. C¿est de là que date la forme définitive du gouvernement. Il y a pour tous un véritable intérêt à connaître, dans tous leurs détails, ces manifestations éclatantes qui sont comme la pré- face de l¿Em pire."
" En écrivant la vie des enfants célèbres, en la proposant à l¿admiration d¿enfants comme eux, l¿auteur n¿a pas eu, Dieu merci, la folle pensée de faire naître dans le c¿ur de ses jeunes lecteurs l¿amour d¿une célébrité précoce. Il n¿est pas cependant de ceux qui condamnent absolument la noble ambition de la gloire comme indigne de la véritable modestie et de l¿humilité chrétienne. Mais il met le bonheur au-dessus de tous les biens, et il ne croit pas que la célébrité soit le bonheur. Nous vivons sous une forme de gouvernement qui excite et légitime toutes les ambitions; nous vivons dans un siècle où chacun est entraîné par des désirs immodérés de fortune et de luxe. "
Der Triumphzug bestimmte das Denken und Handeln der Römer in hohem Maße. Dies gilt nicht nur für die Zeit der späten Republik, in der die Triumphzüge hart umkämpft waren, sondern auch für die frühe Kaiserzeit, in der das Ritual immer mehr aus dem Alltag verschwand. Der vorliegende Band untersucht neben Texten, die auf den römischen Triumph rekurrieren, vor allem solche, die den Triumph als Modell performativ oder metaphorisch in sich eingeschrieben haben: Während Caesar seinen eigenen Feldzug in De bello Gallico literarisch verewigt, präsentiert Plinius der Ältere seine Naturalis Historia als einen Triumph der Wissenschaft. Cicero und Vitruv übertragen das Konzept in die geistigen Bereiche der Rhetorik und Architektur und die frühkaiserzeitliche Laus Pisonis lässt das Leben eines kaiserzeitlichen Aristokraten als einen einzigen Triumphzug erscheinen. Der Begriff der konzeptuellen Metapher ermöglicht es, den Triumph als ein intertextuelles und intermediales Modell zu verstehen und seine Aktualisierung in verschiedenen Kontexten zu untersuchen. Durch die Systematisierung der heterogenen Texte unter Berücksichtigung kulturwissenschaftlicher Konzepte liefert dieser Band einen wichtigen Beitrag zur Erforschung antiker Ästhetik und kultureller Identität.
" Les grands écrivains du XVIIIe siècle, dont les ¿uvres ont préparé la Révolution française, ne la croyaient point si proche, et, sans doute, s¿ils eussent vécu, ils n ¿auraient pu ni voulu jouer un rôle .On a eu raison de les nommer des philosophes ; ils n¿étaient point faits pour sortir de la sphère de la spéculation. Cette société, que condamnaient leurs livres, ils s¿y plaisaient en somme ; Rousseau, lui-même, l¿aimait au fond. Leur intelligence s¿éprit des idées de réforme ; mais elles ne passionnèrent point leur âme . Ils eussent été non seulement effrayés et indignés par les violences de la Révolution, mais surprise et choqués de ses belles ardeurs."
" Néanmoins ce n¿est pas par la peinture que le nom de Jean Veber se répandra tout d¿abord. Certes le Saint-Sébastien, le Saint-Siméon Stylite, les Vierges folles avaient de précieuses qualités. Mais dans la cohue du Salon des Champs-Elysées, ces toiles, quoique de grandes dimensions, passeront presque inaperçues ou seront goûtées seulement de quelques- uns. C¿est par les dessins publiés dans certains journaux fort répandus que le public s¿habituera très vite à lire la signature, réelle ou imagée , de notre ami. Sur des textes extrêmement spirituels de son frère Pierre,Jean Veber publiera en effet dans Le Journal des dessins fantaisistes, gais sou- vent,cruels par fois , mais toujours d¿une verve endiablée qui vont chaque semaine propager son talent de dessinateur et être de plus en plus impatiemment attendus."
Themistios, ein anerkannter Philosoph seiner Zeit, gilt als einer der erfolgreichsten Lobredner des 4. nachchristlichen Jahrhunderts. Lange Zeit wurde ihm vor allem die Rolle eines Regierungssprechers zugeschrieben und seine Behauptung, dass er den Kaiser als Philosoph lobt, für reine Rhetorik gehalten. Diese Arbeit geht unter der Prämisse des Akzeptanzmodells vor allem der Frage nach, wie der große Erfolg Themistios' zu erklären ist, der immerhin Hauptredner auf vier aufeinanderfolgende Kaiser war. Die textnahe Untersuchung der Reden zeigt, dass sich Themistios als nicht-christlicher Philosoph stark von den neuplatonischen Philosophen seiner Zeit unterscheidet und vor allem diese Themistios abgesprochen haben, als Philosoph zu sprechen. Ein Ergebnis der Untersuchung ist, dass die Gruppe der nicht-christlichen Philosophen weniger homogen war als bisher vermutet, und es bei Themistios eine größere Nähe zu den christlichen Herrschaftsvorstellungen, gibt als bislang angenommen. Es zeigt sich, dass Themistios' Vorstellung eines guten Herrschers mit dem der Neuplatoniker nicht zu vereinbaren ist und diese jedoch bei dem Gros der Eliten großen Anklang fand. Themistios kann damit als einer der ersten politischen Philosophen gelten.
¿ sollte von einer bewußt langsam wachsenden Zahl deutscher Neusiedler ¿ Vertretern möglichst verschiedener Berufsgruppen ¿ zunächst noch ausschließlich Tauschhandel getrieben werden, damit die Insulaner sich dank einer so angebotenen Vielfalt von Kontakten ihre Partner selber aussuchen und das Tempo ihrer ¿Zivilisierung¿ in Grenzen mitbestimmen konnten ¿Auf seinen frühen Handelsfahrten durch die Südsee und in Auseinandersetzung mit seinem mächtigen politischen Gegner, dem Berliner Bankier Adolph von Hansemann, entwarf der Kaufmann Eduard Hernsheim ein alternatives Kolonialprogramm für die Südsee. Im Mittelpunkt von Hernsheims Vision standen eine Begegnung mit den Inselbewohnern auf Augenhöhe und eine schonende Modernisierung ihrer Lebenswelt. Jakob Anderhandt wurde 1967 in Bonn geboren und lebt als freier Schriftsteller im Großraum Sydney (Australien). Während seiner ersten Weltreise als Überarbeiter auf einem Frachtschiff der Hamburg Südamerikanischen Dampfschiffahrts-Gesellschaft passierte er auch mehrere Südsee-Inseln. Anderhandts Biographie über den Südseekaufmann Eduard Hernsheim fand in allen einschlägigen Fachzeitschriften positive Resonanz und gilt als Standardwerk.Die Südsee-Bibliothek erzählt wissenschaftlich fundiert vom deutschen Einfluss in Ozeanien ab etwa 1850. Historisch interessierten Lesern bietet sie einen lebendigen Einstieg in das Thema, Akademikern eine solide Material- und Arbeitsgrundlage. Wichtigster Grundsatz der Schriftenreihe ist ihre Treue zu den Quellen.
" "L¿origine des proverbes doit remonter aux premiers âges du monde. Dès que les hommes, mus par un instinct irrésistible, et poussés, on peut le dire, par la volonté toute-puissante du Créateur, se furent réunis eu société ; dès qüils eurent constitué un langage suffisant à l¿expression de leurs besoins, les proverbes prirent naissance et furent comme le résumé naturel des premières expériences de l¿humanité..."
" ABBEVILLE. L¿hippodrome d¿Abbeville est en quelque sorte le complément de celui d¿Amiens; la date fut primitivement fixée entre le 13 et le 15 août. Mais comme les courses d¿Abbeville ne sont pas en elles-mêmes assez importantes pour déterminer un grand nombre de chevaux à se déplacer, plusieurs réunions importantes ayant lieu à la même époque, le comité d¿Abbeville a très-judicieusement fixé la réunion au surlendemain de celle d¿Amiens. De cette façon les chevaux ayant couru dans cette dernière localité, peuvent, sans avoir à supporter les frais d¿un nouveau déplacement, se rendre à Abbeville avant de retourner à Chantilly.
" Le livre que je publie est, en grande partie, un résumé de tout ce qui a été écrit au Canada relativement à nos fautes contre la langue française (la liste des ouvrages mis à contribution est donnée plus bas). Quelques ouvrages français, qui traitent des locutions vicieuses en usage en France, ont été consultés. J¿ai ajouté un assez grand nombre de termes locaux,que j¿avais commencé à recueillir il y a quelques années."
" Seize ans et demi se sont écoulés depuis qüHéléna Petrovna Blavatsky a quitté ce monde mortel.On continue néanmoins à attaquer sa véracité, sa réputation ; des gens honnêtes, des personnes sympathiques se détournent encore de la Société théosophique en disant : « Nous ne tenons pas à en faire partie ; elle a été fondée par Mme Blavatsky, qui fut convaincue de fraude par la Société des Recherches psychiques. » Les articles qui la défendirent à l¿époque sont depuis longtemps épuisés et oubliés. Le docteur Hodgson, auteur du rapport de la S.R.P. 2 , a ajouté foi depuis à des phénomènes beaucoup plus étonnants que ceux qüil a niés dans la présomption de ses jeunes années, et s¿est trouvé lui-même en butte aux faux rapports et au ridicule. "
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