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Bøger om Oceans and seas

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  • af Plutarque
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    " ...Il naquit de parents fort obscurs, pauvres, et vivant du travail de leurs mains. Son père se nommait, comme lui, Marius, et sa mère Fulcinia. Ce n'est que tard qu'il vit Rome, et qu'il goûta des m¿urs de la ville ; jusqu'alors il avait vécu à Cirrhéaton village du territoire d'Arpinum, d'une vie fort dure en comparaison de la douceur et de la politesse de celle qu'on menait à Rome, mais sage, et conforme à l'éducation des Romains d'autrefois. Il fit ses premières armes dans une expédition contre les Celtibériens, lorsque Scipion l'Africain assiégea Numance. Le général le remarqua entre les autres jeunes gens pour son courage mâle, et pour sa facilité à accepter la nouvelle discipline que Scipion introduisit dans une armée corrompue par la mollesse et le luxe. On dit aussi que le général l'avait vu attaquer en sa présence un ennemi corps à corps et le renverser à terre. Il tâchait donc de se l'attacher par des récompenses honorifiques. En outre, un jour après souper, comme on parlait de généraux, un des convives, soit qu'il doutât réellement, soit pour faire plaisir à Scipion, lui demanda quel général et quel chef le peuple romain aurait après lui pour le remplacer. Scipion frappant doucement sur l'épaule de Marius, qui était assis au-dessous de lui : Peut-être bien celui-ci, répondit-il; tant ils étaient heureusement nés tous deux, l'un pour annoncer sa grandeur future dès sa jeunesse, l'autre pour comprendre par le début quelle serait la fin !..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    " Lucius Cornélius Sylla était de famille patricienne, comme qui dirait de race noble. On dit que Rufinus, un de ses ancêtres, parvint au consulat ; mais qu'il fut moins connu par cette élévation que par la flétrissure qui lui fut infligée : il fut convaincu de posséder plus de dix livres pesant de vaisselle d'argent, ce qui était une contravention à la loi ; et, pour ce fait, il fut chassé du Sénat. Ses descendants vécurent depuis dans l'obscurité, et Sylla lui-même fut élevé dans un état de fortune fort médiocre. Pendant sa jeunesse, il logeait à bail chez d'autres pour un faible loyer, comme on le lui reprocha dans la suite, lorsqu'il fut parvenu à une opulence pour laquelle on ne le trouvait pas né. Un jour, après la guerre d'Afrique, il se vantait lui-même et glorifiait ses exploits: Comment serais-tu homme de bien, lui dit un des plus distingués citoyens et des plus honnêtes, toi qui, n'ayant rien hérité de ton père, possèdes une si considérable fortune ? En effet, quoique les Romains eussent déjà dégénéré de la droiture et de la pureté de m¿urs de leurs ancêtres, et qu'ils eussent ouvert leur c¿ur à l'amour du luxe et de la somptuosité, c'était néanmoins un égal opprobre, en ce temps-là, et de dissiper sa fortune et de ne pas conserver la pauvreté de ses pères..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    " ... Pyrrhus avait bien dans les traits un air de majesté, mais plus propre à inspirer la crainte que le respect. Sa mâchoire supérieure n'était pas formée de dents séparées : c'était un seul os continu, marqué seulement de légères entailles aux endroits où les dents auraient dû être séparées. On croyait qu'il guérissait les maladies de la rate ; pour cela il immolait un coq blanc, faisait coucher les malades sur le dos, puis il leur posait doucement son pied droit sur le flanc. Il n'était homme si pauvre ni de si basse condition qui n'obtînt de lui ce remède, aussitôt qu'il le demandait. Il recevait pour salaire le coq qu'il avait immolé ; et ce présent lui était particulièrement agréable. On dit que son gros orteil du pied droit avait une vertu divine ; à ce point qu'après sa mort, lorsque son corps eut été brûlé tout entier sur le bucher, on retrouva cet orteil intact, et sans aucune trace des atteintes du feu. Nous reparlerons de ceci plus tard..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    " Archidamus, fils de Zeuxidamus, mourut, après avoir régné glorieusement sur les Lacédémoniens, laissant de Lamprido, femme distinguée, un fils nommé Agis, et d'Eupolia, fille de Mélisippidas, un fils beaucoup plus jeune, Agésilas. La royauté, d'après la loi, appartenait à Agis. Agésilas, qui semblait destiné à vivre en simple particulier, reçut l'éducation ordinaire des Lacédémoniens, cette rude et pénible éducation qui est pour les jeunes gens l'apprentissage de l'obéissance, et qui a fait, dit-on, donner à Sparte, par Simonide, l'épithète de dompte-mortels. En effet, il n'est point de ville qui rende les citoyens plus soumis et plus dociles aux lois, comme on dompte les chevaux dès leurs premières années. La loi dispense de cette nécessité les enfants élevés pour régner plus tard. Mais Agésilas eut cet avantage particulier, qu'il ne parvint au commandement qu'après avoir appris à obéir. Aussi fut-il de tous les rois celui qui sut le mieux s'accommoder à ses sujets, parce que, outre les qualités de général et de roi que lui avait données la nature, il avait puisé dans son éducation des sentiments populaires et l'amour de ses semblables..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    "... Lysandre, ayant appris que Cyrus, le fils du roi, était arrivé à Sardes, alla le trouver, pour lui parler des affaires de la Grèce et se plaindre de Tisapherne. Tisapherne, qui avait ordre de secourir les Lacédémoniens et de chasser les Athéniens de la mer, semblait ne s'y porter que froidement, par amitié pour Alcibiade ; il ne fournissait que fort maigrement à la flotte les provisions nécessaires, et la faisait ainsi périr insensiblement. Cyrus, de son côté, souhaitait qu'il y eût des plaintes contre Tisapherne, et qu'on le décriât de réputation, parce que c'était un méchant homme, et d'ailleurs son ennemi particulier. Lysandre captiva le jeune homme, parla d'abord, et aussi par les charmes de sa conversation, surtout par son adresse à lui faire la cour ; aussi le fortifia-t-il aisément dans ses desseins de guerre. Comme il se disposait à partir, Cyrus lui donna un grand festin, et le pria de ne pas rejeter les témoignages de sa bienveillance et de lui demander tout ce qu'il voudrait, en l'assurant qu'il ne serait pas refusé. Cyrus, dit Lysandre, puisque telles sont pour moi tes favorables dispositions, je te demande et te supplie d'ajouter une obole à la paie des matelots, afin qu'au lieu de trois oboles par jour ils en reçoivent quatre. Cyrus, charmé de son désintéressement, lui donna dix mille dariques..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    L'aïeul de Lucullus était personnage consulaire; et Métellus, surnommé Numidicus, fut son oncle maternel. Quant à ses parents, son père fut convaincu de péculat, et Cécilia, sa mère, eut une mauvaise réputation, comme ayant mené une vie déréglée. Lucullus, dans sa première jeunesse, avant d'avoir exercé aucune charge et mis la main aux affaires publiques, signala son début dans le monde par une action d'éclat : il poursuivit en justice, pour cause de concussion, l'augure Servilius, l'accusateur de son père : démarche qui lui fit le plus grand honneur aux yeux des Romains ; on ne parlait de cette accusation que pour lui en faire un titre de gloire. Et en effet, on tenait pour honorables les accusations qui n'avaient même pas de motif personnel ; et l'on aimait voir les jeunes gens s'acharner à la poursuite des coupables, comme les chiens après des bêtes sauvages. Cette affaire fut suivie de part et d'autre avec tant d'animosité, qu'il y eut des gens blessés et tués dans les débats : du reste, Servilius fut absous...

  • af Plutarque
    133,95 kr.

    "... Ceux qui voudront connaître sa figure n'ont qu'à jeter les yeux sur sa statue de bronze qui est à Rome, placée près du grand Apollon de Carthage, vis-à-vis du cirque, et qui porte une inscription grecque. Quant au caractère, on dit qu'il était également prompt et à s'irriter et à rendre service ; avec cette différence qu'il ne châtiait que légèrement, et sans s'opiniâtrer dans sa colère, au lieu qu'il ne se contentait jamais de faire plaisir à demi : il conservait pour tous ceux qu'il avait obligés autant d'affection et de zèle que s'ils eussent été ses bienfaiteurs ; sa plus grande richesse était, disait-il, de cultiver, de s'attacher par ses prévenances, ceux à qui il avait rendu service. Plein d'une extrême ambition et d'un ardent désir de gloire, il voulait être l'unique artisan de ses actions les plus grandes et les plus belles, et préférait ceux qui avaient besoin de son secours à ceux qui pouvaient lui venir en aide : il voyait dans ceux-là une matière pour exercer sa vertu, et dans les autres des rivaux qui lui disputaient la gloire..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    ...Ou peut dire d'abord de Nicias ce qu'en a écrit Aristote : qu'il y avait à Athènes trois hommes, les meilleurs citoyens, qui avaient pour le peuple une bienveillance, une affection paternelle, Nicias fils de Nicératus, Thucydide fils de Milésias, et Théramène fils d'Agnon. Ce dernier toutefois avait ces qualités moins que les deux autres : on lui faisait un crime de sa naissance, comme étranger, natif de Céos; et son manque de fixité dans la politique, qui se faisait flotter sans cesse entre les partis, l'avait fait surnommer Cothurne. Thucydide était le plus âgé des trois ; et plusieurs fois il se mit à la tête du parti des nobles et des gens de bien, et combattit Périclès, qui disposait du peuple. Nicias était plus jeune ; cependant il jouissait de quelque considération dès le temps de Périclès : il fut son collègue dans le commandement des armées, il commanda même seul plus d'une fois. Après la mort de Périclès, il se trouva aussitôt porté au premier rang, surtout par les personnages les plus riches et les plus distingués, qui voulaient se faire de lui un rempart contre le cynisme et l'audace de Cléon. Malgré cela, il était dans les bonnes grâces du peuple, qui appuya son élévation. Cléon était fort puissant, il est vrai, parce qu'il traitait le peuple comme on fait un vieillard, et le payait pour qu'il se laissât conduire. Mais, en voyant son insatiabilité, son effronterie, son impudence, la plupart de ceux même qu'il voulait séduire par cette conduite s'attachaient à Nicias...

  • af Plutarque
    133,95 kr.

    "... Philop¿men ne montra nulle faiblesse, nulle condescendance : il se mit à parcourir les villes, prenant les jeunes gens un à un, éveillant en eux l'amour de l'honneur, usant de rigueur quand il le fallait ; et souvent il leur faisait faire des exercices, des parades, des petites guerres dans les endroits où il devait se trouver le plus de spectateurs. En peu de temps ils eurent acquis une vigueur et une ardeur étonnantes. Il les rendit si agiles, si prompts à exécuter les man¿uvres, il les accoutuma si bien à faire conversion à droite ou à gauche par escadrons, demi-tour ou volte-face homme par homme, qu'à voir la facilité avec laquelle la troupe entière exécutait les évolutions, on eût dit un seul corps opérant un mouvement spontané..."

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    ... Suivant les auteurs romains, le seul défaut qui faisait ombre sur les nombreuses vertus de Crassus, c'était son avarice. Mais on peut dire que ce défaut, qui était à lui seul plus fort que tous ceux qu'il avait en lui, avait éclipsé tous les autres. Les plus grandes preuves que l'on donne de son avarice, ce sont les moyens qu'il employait pour acquérir, et l'immensité de sa fortune. Il ne possédait d'abord pas plus de trois cents talents1 ; et, dans la suite, pendant son administration politique, il consacra à Hercule la dixième partie de ses biens, donna un banquet au peuple, et distribua à ses frais à chaque citoyen du blé pour trois mois ; et, malgré ces prodigalités, lorsqu'avant de partir pour son expédition contre les Parthes il dressa un état de sa fortune, il trouva que le total de ses fonds montait encore à sept mille cent talents. Et la plus grande partie de ses biens, s'il faut dire une vérité déshonorante pour lui, il l'amassa par le feu et la guerre ; les calamités publiques lui furent une large source de revenus...

  • af Plutarque
    143,95 kr.

    " ...Quintus Sertorius naquit d'une famille assez distinguée, dans la ville de Nursia, au pays des Sabins. Il perdit son père en bas àge, et fut très-bien élevé par sa mère, à laquelle il témoigna toujours une extrême tendresse : elle se nommait, dit-on, Rhéa. Il s'exerça d'abord à plaider, et, jeune encore, y réussit assez pour acquérir par son éloquence le plus grand crédit dans Rome ; mais l'éclat de ses succès militaires tourna son ambition du côté des armes.Il fit sa première campagne sous Cépion4, lorsque les Cimbres et les Teutons envahirent la Gaule. Les Romains furent défaits et mis en déroute : Sertorius, qui avait eu un cheval tué sous lui, et qui était lui-même blessé, traversa le Rhône à la nage, armé de sa cuirasse et de son bouclier, en luttant avec effort contre l'impétuosité du courant : tant son corps était robuste, et endurci à la fatigue par un long exercice ! Ces mêmes ennemis revinrent une seconde fois avec une armée innombrable, vociférant d'affreuses menaces, jusque-là que c'était alors un trait de courage extraordinaire à un soldat romain de tenir ferme à son poste et d'obéir à son général. Marius commandait l'armée ; et Sertorius entreprit d'aller reconnaître, comme espion, le camp des ennemis..."

  • af Harry Mortimer Hubbell
    195,95 - 196,95 kr.

  • af John Jay Chapman
    186,95 - 187,95 kr.

  • af Tom Kühn
    300,95 kr.

    Studienarbeit aus dem Jahr 2021 im Fachbereich Weltgeschichte - Frühgeschichte, Antike, Note: 2,0, Universität Mannheim (Historisches Institut), Veranstaltung: Proseminar Das zweite Triumvirat, Sprache: Deutsch, Abstract: Die vorliegende Hausarbeit soll die Figur des Labienus genauer unter die Lupe nehmen, um die Ziele seines Feldzuges gegen die römischen Ostarmeen einordnen zu können. Dafür sollen in einem ersten Schritt die römisch-parthischen Beziehungen in den Jahrzehnten zuvor analysiert werden. Der Fokus liegt dabei auf dem Partherfeldzug des Crassus, welcher das Verhältnis der Großmächte nachhaltig prägte. Im zweiten Schritt soll dann Labienus¿ Transformation zum Partherfeldherr, der Ehrentitel parthicus imperator und seine möglichen Ziele analysiert werden, um so zu einer finalen Beurteilung des Feldherren zu kommen. Vor allem Labienus¿ ungewöhnlicher Ehrentitel sorgte bei antiken Autoren und modernen Forscher*innen für Aufsehen und hat das Potenzial neue Erkenntnisse über den vermeintlichen Verräter zu liefern.Quintus Labienus gilt als eine der exotischsten Figuren, welche die römische Geschichte im 1. Jahrhunderts v. Chr. hervorbrachte. Der Republikaner wurde 43 v. Chr. zu Verhandlungen an den Hof des Partherkönigs Orodes II. geschickt, wo er nach der Schlacht von Philippi, die mit der Niederlage der Caesarmörder endete, aufgrund der politischen Verhältnisse zunächst festsaß. Ab 41 v. Chr. startete er gemeinsam mit Königssohn Pacorus einen zu Beginn erfolgreichen Feldzug gegen die Römer.Der ungewöhnliche Feldherr sorgte bereits bei antiken Kommentatoren für Verwunderung und Entsetzen, und stellt auch die moderne Altertumsforschung vor Schwierigkeiten bei der Beurteilung seiner Person. Die Bandbreite der Einordnungsversuche könnte nicht vielfältiger sein: Es gibt sowohl Forscher*innen, die Labienus als Verräter Roms sehen, als auch Forscher*innen, die die Meinung vertreten, dass er bis zum Schluss dierepublikanischen Ideale hochgehalten hat.Zu den bedeutenden römischen Geschichtsschreibern, die über das Partherreich berichteten, zählen Strabon, Tacitus, Cassius Dio und Plutarch. Cassius Dio gilt als besonders wertvolle Quelle, die den Zeitraum vom ersten Kontakt der Römer und Parther bis zum Untergang des Partherreiches abdeckt. Auch über die Rolle der Parther in den römischen Bürgerkriegen erfährt man in der griechisch-lateinischen Historiographie. Dabei muss beachtet werden, dass wir hier stets die römische Perspektive auf ein fremdes Reich analysieren.

  • af Jeremy Hodgson
    173,95 kr.

    When Isis, the ancient Egyptian goddess of healing, has a problem, how can she solve it in the 21st century without the help of a Pharaoh and followers? Isis wakes Shai, the god of mortality, who decides the lifespan of all, and asks her sister Hathor, the goddess of love, for help. Kelvin, involved in a motor accident in New York while on his way home to the UK, feels death arrive. Then he wakes up in a hospital. Has Kelvin completely recovered? He will discover he has not. Kate hasn't had a boyfriend since her disastrous six-week marriage at age twenty. Now twenty-seven, she is advised by Marylyn, her childhood friend, to look for a man in another country. A Cambridge statistician might say the probability of Kate and Kelvin meeting is zero, but he doesn't know anything about gods ...

  • af Richard Norton
    185,95 - 186,95 kr.

  • af Tobias Häner
    2.758,95 kr.

    Ironie und Ambiguität spielen in neueren Untersuchungen und Kommentaren zum Ijobbuch eine nicht unbedeutende Rolle. Tobias Häner macht diese beiden Aspekte des Texts zum Mittelpunkt seiner Studie. Übertreibungen und das Ausmaß an Wiederholungen stellen in der Prologerzählung Anzeichen von pragmatischer Unaufrichtigkeit dar, die auf Endtextebene die ironischen Gehalte in den weiteren Buchteilen vorbereitet. Im poetischen Teil des Buches sind ironische Sinnspitzen vor allem in den Ijobreden zu verorten. Intradiegetisch werden dabei durch teilweise leicht verfälschte Zitate und Anspielungen die Argumente der Freunde rhetorisch untergraben, extradiegetisch lässt sich eine Ironisierung der Gebetssprache der Psalmen ausmachen. In den Gottesreden wird dagegen umgekehrt Ijob zum Ziel der Ironie, die zusammen mit den Ambiguitäten auf die Begrenztheit menschlichen Erkenntnisvermögens verweist.

  • af Jan Dietrich
    951,95 kr.

  • af Michael Hollmann
    1.143,95 kr.

    Der 28. Band der Edition behandelt die 51 regulären und fünf Sondersitzungen des ersten Kabinetts von Bundeskanzler Helmut Schmidt im Jahr 1975. Einen thematischen Schwerpunkt bildeten dabei die institutionelle Weiterentwicklung der EG, gerade auch im Hinblick auf die Direktwahl des Europäischen Parlaments, die Angleichung der wirtschaftlichen und sozialen Unterschiede der Mitgliedstaaten sowie die gemeinsame Agrarpolitik. Ein besonderes Augenmerk legte die Bundesregierung als Hauptbeitragszahlerin auf Haushaltsdisziplin und eine verstärkte Kontrolle der EG-Finanzen. Die seit 1973 andauernde Energiekrise und die damit verbundenen Arbeitsmarkt- und Konjunkturprobleme versuchte sie im internationalen Rahmen zu bewältigen. Im November 1975 fand dazu der erste Weltwirtschaftsgipfel in Rambouillet statt. Über verstärkten Dialog mit den erdölproduzierenden Ländern sollten die Energiepreise auf ein für die Wirtschaft verträgliches Niveau gebracht werden. Gleichzeitig zeigten zwei Terrorakte, die Entführung des CDU-Politikers Peter Lorenz in Berlin sowie die Geiselnahme in der deutschen Botschaft in Stockholm, dass der bereits geplante Ausbau der Sicherheitsorgane und deren stärkere Vernetzung dringend umzusetzen war.

  • af Jean Longuet
    293,95 - 423,95 kr.

  • af Dmitri Vladimirovich Venevitinov
    288,95 - 423,95 kr.

  • af Christopher Alexander Markham
    217,95 - 218,95 kr.

  • af Henry William Auden
    234,95 - 235,95 kr.

  • af Charles William Chadwick Oman
    408,95 - 545,95 kr.

  • af William C. Bird
    328,95 kr.

    This book offers a comprehensive examination of the intricate dynamics of regional dominance, conflict, and diplomatic exchanges that unfolded in the northeastern Mediterranean during the thirteenth and fourteenth centuries. The historical backdrop is set against the backdrop of the emergence of competing centers of imperial power in Asia Minor and the Balkan Peninsula, following the disintegration of the Byzantine political and cultural unity in the aftermath of the Fourth Crusade. The study revolves around two central themes: 1) the strategies employed by Latin, Greek, and Slav powers to establish and legitimize their imperial status in a region previously dominated by Byzantine universalism, and 2) the concurrent policies pursued by the Constantinople Patriarchate to restore ecclesiastical unity within the religiously and politically fragmented Christian realm of the northeastern Mediterranean. The dissolution of the Byzantine Empire led to a multipolar world, challenging the assumption of a unified Christendom in the Greek East and allowing for the testing of various forms of leadership as alternatives to a single dominant ruling system.

  • af Damon Swisher
    128,95 kr.

    Whether you are new to Alexandria, just visiting, or are a long time local, this guide will help you learn more about the excellent coffee shops peppered throughout this beautiful city!This guide is broken down by regions within Alexandria and then lists each coffee shop within that region in alphabetical order. There is a catalog located on the back of the cover to help you jump to specific shops, and at the end of the guide are articles about coffee culture and a coffee terminology glossary.

  • af &1080, &1084, &108, mfl.
    197,95 - 334,95 kr.

  • af &1080, &1084, &108, mfl.
    193,95 - 300,95 kr.

  • af &1080, &1084, &108, mfl.
    191,95 - 298,95 kr.

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