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"700 Quotations from the Great French Writers of the 20th Century" is a wonderful collection of wit and wisdom from some of the greatest French writers ever.From Anatole France and Jules Renard to Marcel Proust and André Gide, this carefully crafted collection is guaranteed to inspire, amuse, and entertain. Ideal for those needing a dose of encouragement.These French literary giants are responsible for some of the most famous French novels and poems ever written, including "Carrot Top", "The Little Prince", and "In Search of Lost Time".
Hvor meget kan man få rettroende katolikker til at gøre ved at spille på deres religiøse følelser og deres hengivenhed over for paven? Det sætter en række svindlere sig for at afprøve ved at sprede falske rygter om, at paven i Vatikanet er en bedrager, og at den rigtige pave bliver holdt fanget et sted i Vatikanets kældre. I løbet af André Gides satiriske roman stifter vi bekendtskab med en lang række tvivlsomme eksistenser og godtroende katolikker, der hellere end gerne overdrager deres penge til den sande paves befrielse. Romanen udstiller nådesløst og bidende satirisk absurditeterne ved den katolske kirke i starten af det 20. århundrede.Denne oversættelse udkom første gang i 1942.Franskmanden André Gide (1869-1951) var en af sin tids vigtigste forfattere. I 1947 modtog han Nobelprisen i litteratur. I 1891 udkom hans første roman "André Walters dagbøger", som gav ham adgang til de parisiske symbolistkredse omkring Mallarmé. Han opnåede litterær berømmelse primært som romanforfatter og dagbogsforfatter.
L'École des femmes est un roman d'André Gide publié en avril 1929 dans La Nouvelle Revue française des éditions Gallimard. Il constitue le premier tome d'un triptyque composé de Robert (1930) et Geneviève (1936), qui offrent des points de vue familiaux différents sur les mêmes événements.Écriture et publication du romanLa composition du roman fut un long processus pour André Gide, qui l'abandonnera et y reviendra à de nombreuses reprises entre juin 1919, date des premiers jets, et 1929 date de la première publication1. À un certain point, ce livre est devenu une ¿uvre de commande, financée par la revue littéraire américaine Forum. En effet, Forum donne en une avance de 1 500 dollars à Gide pour qu'il continue le travail et réserve la prépublication ¿ après traduction quasi simultanée en anglais par Dorothy Bussy ¿ à la revue américaine. Le personnage du mari d'Évelyne est directement inspiré à Gide par une bonne connaissance avec qui il entretient une relation ambiguë, faite d'intérêt, de jugement féroce et de ranc¿urs financières, l'homme d'affaires agricoles et politiques Eugène Rouart (1872-1936), futur sénateur de Haute-Garonne. Évelyne, par conséquent s'inspire de l'épouse d'Eugène Rouart : Yvonne Lerolle, fille d'Henry Lerolle.Achevé en 1929, L'École des femmes est initialement publié en trois épisodes dans les numéros de janvier, février et mars 1929 de Forum sous le titre The School of Wives. Le roman est ensuite publié en français dans La Revue de Paris du 15 mars et 1er avril 1929, puis se voit édité en intégralité au cours de la même année dans les éditions de la NRF, par Gaston Gallimard. En janvier 1930 paraît, également à la NRF, une édition augmentée de sa suite Robert.
" On convient généralement qüil y a de bonnes et de mauvaises influences. Je ne me charge pas de les distinguer. J¿ai la prétention de faire l¿apologie de toutes les influences.J¿estime qüil y a de très bonnes influences qui ne paraissent pas telles aux yeux de tous.J¿estime qüune influence n¿est pas bonne ou mauvaise d¿une manière absolue, mais simplement par rapport à qui la subit.J¿estime surtout qüil y a de mauvaises natures pour qui tout est guignon, et à qui tout fait tort. D¿autres au contraire pour qui tout est heureuse nourriture, qui changent les cailloux en pain : « Je dévorais, dit G¿the, TOUT ce que Herder voulait bien m¿enseigner. »L¿apologie de l¿influencé d¿abord ; l¿apologie de l¿influenceur ensuite ; ce seront là les deux points de notre causerie."
Typhon (titre original : Typhoon) est un roman court de Joseph Conrad. Il se déroule au xixe siècle à bord d'un navire de commerce pendant un typhon.Il a été traduit en français par André Gide en 1918 aux Éditions de la Nouvelle Revue française, ancien nom des Éditions Gallimard.Histoire de l'¿uvreConrad rédigea Typhon entre septembre 1900 et janvier 1901. Aussitôt après, il rédigea 3 autres nouvelles : Falk, Amy Foster et Pour demain. Comme à son habitude il publia d'abord ces nouvelles dans des journaux ; Typhon fut ainsi publié dans le magazine Pall Mall en 1902. En 1903, les 4 nouvelles parurent en recueil, dans l'ordre où elles avaient été écrites, sous le titre Typhoon and other stories (Typhon et autres récits), chez l'éditeur Heinemann. Il s'agissait du troisième recueil de nouvelles de Conrad3.André Gide, qui avait rencontré Conrad en 1911 et noué une amitié avec lui, traduisit plusieurs de ses ¿uvres en français, dont Typhon. La traduction française de Typhon fut publiée par Gallimard en 1918.La traduction de Typhon par André Gide a été achevée d¿imprimer le 25 juin 1918 et a paru à la NRF dans la petite collection à couverture bleue réservée aux ¿uvres et aux traductions de Gide ; tirage : 300 exemplaires. Cette traduction est aujourd¿hui disponible dans la Pléiade, au tome II des ¿uvres de Conrad.François Maspero donna une nouvelle traduction de Typhon en 2005. Longtemps, Typhon demeura, dans la traduction de Gide, le texte le plus connu de Conrad en France.
Quelques réflexions pertinentes d'André Gide sur le monde qui l'entoure, Dieu et la foi, la littérature et les vanité de la vie en société. Une recherche de la Vérité plutôt que le confort intellectuel car « chacun ne regarde dans l'événement que ce qui lui donne raison ». Une grande part de l'ambiguïté de Gide est dans ce livre." Un esprit non prévenu (ou qui sut se déprendre de ses préventions), il n¿est sans doute rien de plus rare ; et c¿est à la non-prévention que j¿attache le plus de prix.Ce que l¿on cherche le plus souvent dans la vie, c¿est de quoi s¿entêter, non s¿instruire. Chacun ne regarde dans l¿événement que ce qui lui donne raison. Le reste échappe, qui désoblige ; et l¿événement n¿est jamais si simple que chacun n¿y puisse trouver confirmation de ses convictions, fussent-elles les plus erronées. Il semble que rien ne plaise davantage à l¿esprit que de s¿enfoncer dans l¿erreur."
" Par suite d¿un malentendu, on ne m¿a demandé de tenir cette conférence qüavec beaucoup de retard ; comme je ne suis rien moins qüun improvisateur, je n¿aurais pas pu accepter de la faire s¿il ne s¿était agi de Charles-Louis Philippe, et si je n¿avais pensé que, pour parler de lui devant vous, un grand amour était plus utile qüune longue et savante préparation. Je ne chercherai point, du reste, à vous apporter ici des idées originales sur la personne et l¿¿uvre de Charles-Louis Philippe. N¿attendez pas non plus des souvenirs personnels, des anecdotes pittoresques : je ne pense point que Philippe en laisse beaucoup à raconter, pour cette raison que c¿était le plus simple des êtres, qüil ne composait point son personnage et ne prétendait jamais à paraître, parce qüil se sentait être profondément."
Les Nourritures terrestres est une ¿uvre littéraire d'André Gide, publiée en 1897, évoquant le désir et l'éveil des sens.Réception et postéritéLes Nourritures sont en quelque sorte le pendant joyeux et solaire du De Profundis d'Oscar Wilde, ¿uvre sombre où l'écrivain irlandais développait aussi, mais « en négatif », par l'absence et le manque, une forme de sensualité absolue qui cherche à s'affranchir du moralisme étriqué de l'époque victorienne, du conformisme et des conventions sociales.Jean Guéhenno, très critique de l'égocentrisme gidien, s'en lamente :« La jeunesse intellectuelle française devra guérir du gidisme pour retrouver le mouvement de l'histoire. Comprendra-t-elle qu'être jeune à la manière de Ménalque ou de Nathanaël, c'est être terriblement vieux ? Cette quête des plaisirs, cette jouissance minutieuse et appliquée suppose des rentes, un patrimoine, dénoncerait la fin d'une race. »¿ Jean Guéhenno, Journal des années noires, 5 janvier 1944, Gallimard, 1947.Sartre :« Tous les ouvrages de l'esprit contiennent en eux-mêmes l'image du lecteur auquel ils sont destinés. Je pourrais faire le portrait de Nathanaël d'après Les Nourritures terrestres : l'aliénation dont on l'invite à se libérer, je vois que c'est la famille, les biens immeubles qu'il possède ou possédera par héritage, le projet utilitaire, un moralisme appris, un théisme étroit ; je vois aussi qu'il a de la culture et des loisirs puisqu'il serait absurde de proposer Ménalque en exemple à un man¿uvre, à un chômeur, à un Noir des États-Unis, je sais qu'il n'est menacé par aucun péril extérieur, ni par la faim, ni par la guerre, ni par l'oppression d'une classe ou d'une race ; l'unique péril qu'il court c'est d'être victime de son propre milieu, donc c'est un Blanc, un Aryen, un riche, l'héritier d'une grande famille bourgeoise qui vit à une époque relativement stable et facile encore, où l'idéologie de la classe possédante commence à peine de décliner : précisément ce Daniel de Fontanin que Roger Martin du Gard nous a présenté plus tard comme un admirateur enthousiaste d'André Gide. »¿ Jean-Paul Sartre, Qu'est-ce que la littérature ?, Paris, Gallimard, 1948.Hervé Bazin :« Familles, je vous hais ! disait Gide (qui pourtant en fit une). Disons plus simplement, à deux lettres près : Familles, je vous ai. »¿ Hervé Bazin, Ce que je crois, Livre de Poche, Paris, 1977.
20 poèmes composent le premier livre d¿André Gide, écrit à vingt et un an pour persuader sa cousine Madeleine Rondeaux de l¿épouser (ce qüelle refusa d¿abord)¿: Les Cahiers d¿André Walter. ¿uvre posthume. Plus tard, Gide se montrera critique : « Ce n¿est pas très volontiers que je laisse réimprimer mon premier livre. Je ne le renie pourtant pas et veux bien croire ce que certains me disent : qüils m¿y trouvent déjà presque entier. » Par la suite, Gide va en effet jeter par-dessus bord ses tentatives poétiques et s¿en tiendra à la prose, réceptacle idéal, selon lui, pour recevoir son message qui se veut à la fois poétique et éthique. Extrait : " Il n¿y a pas eu de printemps cette année, ma chère ; Pas de chants sous les fleurs et pas de fleurs légères, Ni d¿Avril, ni de rires et ni de métamorphoses ; Nous n¿aurons pas tressé de guirlandes de roses.Nous étions penchés à la lueur des lampes Encore, et sur tous nos bouquins de l¿hiver Quand nous a surpris un soleil de septembre Rouge et peureux et comme une anémone de mer.Tu m¿as dit : « Tiens ! Voici l¿Automne. Est-ce que nous avons dormi ?S¿il nous faut vivre encore parmiCes in-folio, ça va devenir monotone.Peut-être déjà qüun printempsA fui sans que nous l¿ayons vu paraître ; Pour que l¿aurore nous parle à temps, Ouvre les rideaux des fenêtres. »Il pleuvait. Nous avons ranimé les lampes Que ce soleil rouge avait fait pâlirEt nous nous sommes replongés dans l¿attente Du clair printemps qui va venir."
Gérard Lacase arrive au château de la Quartfourche, en Normandie, pour en consulter la bibliothèque dans le cadre de recherches pour une thèse en histoire. Il n'en a pas plus tôt franchi le seuil que l'étrange atmosphère de cette demeure le sollicite à la plus romanesque aventure. Il s'éprend d'un portrait. En vain ses hôtes, M. et Mme Floche, M. et Mme de SaintAuréol s'efforcentils à tenir secrète une existence qui les déshonore. Celle que Gérard aime d'une curiosité irritée, c'est précisément leur nièce, leur fille, Isabelle de SaintAuréol, la mère coupable de Casimir de SaintAuréol, ce petit infirme dont les ébats maladroits et la prompte amitié ont seuls souri à Gérard, dans ce sombre château...
Les Nourritures terrestres est une ¿uvre littéraire d'André Gide, publiée en 1897, évoquant le désir et l'éveil des sens. Cette ¿uvre de jeunesse, longuement mûrie, est celle d'un «convalescent [...] qui embrasse la vie comme quelque chose qu'il a failli perdre». Ni roman, ni essai, ni long poème en prose, cette ¿uvre inclassable est un peu tout cela à la fois. Dans les huit livres qui la composent, le narrateur, se réclamant d'un maître appelé Ménalque, s'adresse à un disciple qui répond au nom biblique de Nathanaël et qui représente le lecteur virtuel du texte. Le propos de l'ouvrage est donné dès l'Avertissement qui précède le premier livre: «Que mon livre t'enseigne à t'intéresser plus à toi qu'à lui-même, puis à tout le reste plus qu'à toi.» Puis, dans l'«Envoi» qui clôt le texte, l'auteur donne à son disciple ces ultimes conseils: «Nathanaël, à présent, jette mon livre. Quitte moi. [...] Ne t'attache en toi qu'à ce que tu sens qui n'est nulle part ailleurs qu'en toi-même, et crée de toi, impatiemment ou patiemment, ah! le plus irremplaçable des êtres.» Ce livre exalté, sensuel et lyrique célèbre la vie, la nature et le désir.
Cet ouvrage reproduit les notes prises par Gide lors des séjours successifs qu'il fit en Afrique de 1896 à 1904. On y trouve tel événement notable de la journée, telle image qui a ravi l'auteur, tel parfum qui le troubla ou encore telle réflexion que ses lectures lui inspirèrent. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyages ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Le roman est présenté comme le journal intime d'Éveline X, envoyé à un éditeur (supposément André Gide) par sa fille, Geneviève, après la mort de sa mère des suites d'une épidémie lors de la Première Guerre mondiale où Éveline s'est enrôlée comme infirmière. Il est composé de deux parties distinctes et d'un épilogue. Dans la première partie, Éveline, jeune femme naïve et idéaliste, raconte son admiration et son amour pour Robert, depuis leur rencontre jusqu'aux premières années de leur mariage qui se fait malgré l'hostilité première de son père visàvis de Robert. Éveline reprend son journal après une interruption de vingt ans dans une deuxième partie, où la femme mûre, mère de deux enfants et épouse malheureuse confie qu'elle n'a désormais plus d'illusions sur Robert, dont elle comprend enfin la médiocrité et l'opportunisme. Les deux romans suivants prolongent et élargissent ce procédé, en proposant des points de vue différents qui contrastent avec celui d'Éveline. Dans Robert (1930), André Gide donnera la parole au mari, qui propose une réfutation du point de vue d'Éveline. Il rapporte sa version des faits et la justification de ses excès de perfectionnisme qu'Éveline lui reproche. Dans Geneviève (1936), c'est leur fille qui prend la parole. Elle porte un regard désabusé sur le ménage de ses parents, rêvant d'un monde d'indépendance et d'émancipation des femmes, elle prend parti pour sa mère et critique les m¿urs de son père.
Fasciné par la machine judiciaire comme par les aperçus des replis de l'âme humaine que lui apporte son expérience de juré, l'écrivain André Gide assiste pendant plusieurs semaines à divers procès : affaires de m¿urs, infanticide, vols¿ Dans ce texte dense et grave, Gide s'interroge sur la justice et son fonctionnement, mais surtout insiste sur la fragile barrière qui sépare les criminels des honnêtes gens.
Si le grain ne meurt est un récit autobiographique de l'écrivain français André Gide. Il décrit la vie de l'auteur depuis sa première enfance à Paris jusqu'à ses fiançailles avec sa cousine Madeleine Rondeaux (appelée ici Emmanuèle) en 1895. Le texte a fait l'objet de publications partielles hors commerce dès 1920-1921 ; en 1924 l'¿uvre est publiée en intégralité en trois volumes, qui ne seront mis en vente qu'en 1926 ; en 1936 paraît l'édition définitive au tome X des ¿uvres complètes1.Le livre se compose de deux parties. Dans la première, l'auteur raconte ses souvenirs d'enfance : ses précepteurs, sa fréquentation discontinue de l'École alsacienne, sa famille, son amitié avec Pierre Louÿs, la naissance de sa vénération pour sa cousine, ses premières tentatives d'écriture.Dans la seconde partie, beaucoup plus courte, Gide retrace sa découverte du désir et de sa pédérastie lors d'un voyage en Algérie avec un jeune garçon, Ali.Gide fait le récit de l'échec total de sa vie conjugale avec Madeleine dans un autre récit autobiographique, écrit en 1938 peu après la mort de sa femme, publié en 1951 et intitulé Et nunc manet in te.Dans la première partie de ce récit autobiographique. Gide conte son enfance et son adolescence. Fortement marquée par une éducation puritaine, sa prime jeunesse se déroule dans un climat d'austérité religieuse et morale. Gide évoque le souvenir des séjours dans sa famille paternelle, languedocienne, et dans sa famille maternelle, normande. Il retrace le cours chaotique de sa scolarité, perturbée par la mort de son père et une fragilité nerveuse maladive. L'auteur décrit son goût très vif et précoce pour la lecture et la musique (à travers l'étude du piano). Il brosse le portrait des parents, des maîtres ou des amis qui ont compté dans la formation de son caractère et de son esprit. Dans la seconde partie, sont évoqués l'éveil au plaisir et la conquête de la liberté. Le jeune homme s'affranchit peu à peu de l'emprise religieuse et de l'autorité maternelle. Un long périple en Afrique où Gide, atteint par la tuberculose, frôle la mort, constitue l'étape décisive de cette évolution. Il découvre en lui l'empire du désir et se livre à ses premières expériences sexuelles. Comprenant que c'est dans l'homosexualité que sa sensualité trouve son vrai épanouissement, il brave progressivement les interdits de sa conscience puritaine et, sans parvenir tout à fait à faire taire la honte et le remords, il s'adonne au plaisir avec ardeur et bonheur. De retour en France, il a la douleur de perdre sa mère. Peu après, il se fiance avec sa cousine...
"Les Faux Monnayeurs" est un roman à la fois fascinant et surprenant. Ce livre est difficile à appréhender au premier abord.Construit avec minutie, il multiplie les personnages, les points de vue et intrigues secondaires diverses autour d'une histoire centrale.André Gide se détache de la tradition du roman littéraire classique, linéaire par sa liberté d'écriture et la multiplicité des regards sur une situation. Aujourd'hui, ce roman est considéré comme l'un des romans phares du 20ème siècle. En 1950, il fut intégré dans la liste Grand Prix des meilleurs romans du demi-siècle.Difficile à résumer tellement les intrigues et les personnages s'enchevêtrent les uns aux autres, les principaux thèmes abordés seront: l'amitié, l'amour, la mauvaise influence, la fugue, l'homosexualité, le désespoir, le suicide.Résumé:Lorsque Bernard, jeune lycéen découvre que son père, Alberic Profitendieu, juge d'instruction, n'est pas son père biologique et qu'il est en fait le fruit d'un accident de jeunesse de sa mère, il décide de quitter le foyer familial en laissant une lettre d'explication particulièrement dure et cruelle. Il sze fait héberger pour la nuit par son ami Olivier Molinier.A la lecture de la lettre, Alberic est profondément blessé. Il a toujours eu une préférence pour ce fils adoptif...Bonne lecture.....
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