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Dans l'univers, l'infiniment petit et le plus grand espace dépendent l'un de l'autre. Peut-être en vient-il de même pour la relation entre chacun de nous et notre monde terrestre ? A-t-on assez exploré l'effet de nos relations intimes, de nos paroles quotidiennes sur l'organisation de notre société-monde ? la façon dont nous nous rencontrons, la liberté que nous nos accordons -avant même d'échanger un mot-, joue sans doute plus que nous croyons sur celle dont se construisent nos accords, nos institutions, et finalement notre planète humaine. Il est possible que son avenir comme monde supportant nos pluralités et sa propre diversité soit étroitement lié à la respiration de nos atomes de relations sociales.
Le pire n'est jamais sûr, mais, ajoute Darwin dans "The Humain Descent", le progrès non plus. L'auteur explore ici, ce qui, à vue d'humains, peut apparaître comme de la merveilleuse avancée, bien que proche du précipice. Où se trouve le chemin qui se tient à distance respectueuse sans renoncer pourtant à avancer ? La question sera adressée surtout à la culture humaine en tant qu'elle est notre bagage spécifique, et de ce fait, contient notre outillage principal, avec ses qualités et ses défaillances possibles. Sera exploré particulièrement le trait qui nous différencie des autres animaux et de nos frères primates: la parole, à la fois collective et individuelle. Le problème est le suivant: si elle doit relier ces deux aspects inévacuables de l'Humain, pourquoi nous précipite-t-elle si aisément soit du côté du collectif de masse écrasant toute individualité, soit du côté d'un sujet solipsiste qui se regarde le nombril, indifférent aux autres ? En observant attentivement nos actes de parole, nous nous demanderons comment le lien entre respect mutuel, "non déterminateur de chacun par autrui", et intérêt général, voire universel, pourrait être préservé sur des durées suffisantes pour ne pas sombrer dans n'importe quelle ornière historique. Entre les rond-points où l'on discute par tous les temps sans s'agresser (à défaut d'arbres à palabre dans nos sociétés techniques) et les immenses cascades d'ordres informatisés qui nous régentent du haut des satellites et de leurs maîtres, la "solution" -protectrice des humains et de la nature ne passe-t-elle pas par un changement de la culture de la "parole-ensemble" ? Changement visant explicitement une ouverture sans bornes à la liberté de parole et une connaissance exigeante de nos nécessités d'espèce ?
Seeking answers to questions about crime and violence in America, the author of this text examines the country's fascination with violence, and why Jekyll and Hyde and the werewolf myth have such appeal in North American culture. He concludes that on-screen violence reflects deep insecurities.
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