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La présente édition (complète et augmentée) de l'ouvrage Psychopathologie descriptive I Essais sur les violences collectives constitue l'ensemble de mes travaux de recherche post-doctorale depuis février 2011: En complément à ma thèse de Doctorat La compulsion de répétition dans les violences collectives, Je propose aux lecteurs trois textes que j'ai publiés séparément mais qui constituent, chacun dans sa spécificité, un approfondissement des principaux thèmes que j'ai déjà présentés dans la thèse ci-dessus citée: Le premier texte, Rwanda: Crimes d'honneur et influences régionales, permet de situer la survenue des violences collectives au Rwanda dans le contexte historique régional; Le deuxième texte, Communautarisme et autochtonie, permet de situer la récurrence des violences collectives au Rwanda dans l'évolution de ses institutions sociopolitiques depuis les origines préhistoriques du pays à nos jours; Le troisième et dernier texte, Essai sur l'autosuggestion, est une réflexion sur la question du sujet en situation de violences collectives. Ainsi, dans la continuité de nos recherches en psychopathologie, l'objet de notre étude est celui de rendre compte de l'interaction entre individu et collectivité dans la survenue des événements historiques - les violences collectives en particulier. Cela à partir du cas précis du Rwanda.
Communautarisme et autochtonie est mon nouvel essai sur la problématique des violences collectives à partir du cas du Rwanda. Après ma thèse de Doctorat ( La compulsion de répétition dans les violences collective ) et le premier complément de recherche à cette thèse ( Rwanda: Crimes d'honneur et influences régionales ), cette nouvelle publication concerne l'évolution des institutions préhistoriques vers un État moderne - le Rwanda actuel. Cela pour mettre en évidence le rôle de la dimension historique entre individu et collectivité dans la survenue des conflits collectifs récurrents.
Dans cet ouvrage, je présente le texte original de ma thèse de Doctorat tel que je l'ai soutenu en février 2011. Une version remaniée de cette thèse a déjà été publiée sous le titre Rwanda: crise identitaire et violence collective aux Éditions L'Harmattan - ce dernier titre sera désormais édité par UMUSOZO. A partir de différentes observations auprès d'exilés ayant été victimes de violences collectives dans leurs pays d'origine, je me suis intéressé à la question des mécanismes psychiques individuels ainsi que les facteurs socioculturels quisurdéterminent la survenue des crimes de masse. Ainsi, c'est dans le cadre d'une thèse de doctorat (à l'Université Paris Diderot - Paris7) que j'ai formulé différentes hypothèses de réflexion sur la problématique des violences collectives. Cela à partir de certains concepts fondamentaux de la psychanalyse et de la psychopathologie. Cependant, afin de mener des recherches approfondies, il a été nécessaire de s'appuyer sur des travaux de divers domaines scientifiques permettant de prendre un certain recul par rapport aux événements. Plus particulièrement, j'ai privilégié non seulement la prise en compte de l'histoire collective en ce qui concerne la récurrence des conflits identitaires dans certains pays - le cas du Rwanda par exemple, mais aussi l'importance de l'histoire individuelle chez certains sujets: ceux qui soufrent des séquelles des violences de masse dont ils ont été directement victimes, et ceux qui transmettent à leur descendance l'héritage des traumatismes endurés dans le passé. Car, selon mon hypothèse de départ, il n'y a pas d'interaction entre individu et collectivité sans la dimension historique.
A partir de différentes observations auprès d'exilés ayant été victimes de violences collectives dans leurs pays d'origine, je me suis intéressé à la question des mécanismes psychiques individuels ainsi que les facteurs socioculturels qui surdéterminent la survenue des crimes de masse. Ainsi, c'est dans le cadre d'une thèse de doctorat (à l'Université Paris Diderot - Paris7) que j'ai formulé différentes hypothèses de réflexion sur la problématique des violences collectives. Cela à partir de certains concepts fondamentaux de la psychanalyse et de la psychopathologie. Cependant, afin de mener des recherches approfondies, il a été nécessaire de s'appuyer sur des travaux de divers domaines scientifiques permettant de prendre un certain recul par rapport aux événements. Plus particulièrement, j'ai privilégié non seulement la prise en compte de l'histoire collective en ce qui concerne la récurrence des conflits identitaires dans certains pays - le cas du Rwanda par exemple, mais aussi l'importance de l'histoire individuelle chez certains sujets: ceux qui soufrent des séquelles des violences de masse dont ils ont été directement victimes, et ceux qui transmettent à leur descendance l'héritage des traumatismes endurés dans le passé. Car, selon mon hypothèse de départ, il n'y a pas d'interaction entre individu et collectivité sans la dimension historique.
La présente recherche permet de présenter et de développer de nouvelles hypothèses de réflexion sur les facteurs socioculturels et historiques qui surdéterminent la survenue des violences collectives. Cela à partir du cas du Rwanda. Plus particulièrement, notre réflexion s'est appuyée sur les documents historiques de différents auteurs afin de rendre compte du fondement scientifique de nos observations. En effet, la crise identitaire au Rwanda se nourrit d'une autre crise, à savoir la destruction des repères identificatoires et d'appartenance par certains Rwandais eux-mêmes, mais aussi suite aux influences externes. Cependant, il appartient au peuple rwandais d'intégrer certains apports extérieurs qui sont porteurs de modernité et, en même temps, de s'interroger sur les différentes crises du passé. Cela permettra de corriger les erreurs là où la rencontre avec d'autres cultures aurait laissé des séquelles qui se transforment en conflits collectifs récurrents. N'oublions surtout pas que, au sein de la foule, c'est l'individu-sujet qui agit: la découverte de l'identité collective passe par la découverte de l'identité individuelle et inversement - à travers des faits historiques. C'est le principal enseignement à tirer des cas cliniques que nous avons présentés dans ce travail. Car, selon notre thèse de départ, il n'y a pas d'interaction entre individu et collectivité sans la dimension historique .
Le présent ouvrage est la suite du texte que j'ai publié en janvier 2015 sous le titre: Le génocide au Rwanda: postures et impostures génocidaires. Au sujet du génocide au Rwanda de 1994, différents experts et témoins directs de ces événements tragiques ont récemment donné leur avis sur une radio publique en France: dans le cadre de nos recherches sur les violences collectives à partir du cas du Rwanda, nous avons décidé de confronter nos hypothèses de réflexion à ce nouveau matériel historique concernant la survenue du génocide au Pays des Mille Collines en 1994. Par ailleurs, la présente publication constitue une modeste contribution de notre part au sujet du rôle de la Justice et de son application pour juger les auteurs de crimes de masse et/ou génocidaires. Pour cela, notre réflexion concerne non seulement des cas de crimes qui ont été commis pendant le génocide au Rwanda en 1994, mais aussi, des actes criminels dont certains Rwandais sont victimes depuis 1990 à nos jours. Cela, tout simplement parce qu'ils sont Rwandais.
Dans la continuité de nos travaux de recherche sur l'étiologie des violences collectives et leurs conséquences, nous venons de franchir un cap décisif qui permet de comprendre, à un degré jamais atteint à ce jour, la nature des circonstances historiques qui ont déclenché le génocide au Rwanda en 1994: Dans cet ouvrage, nous publions les différents témoignages récents qui permettent de comprendre ce qui s'est véritablement passé, du moins en partie, du 06 au 07 avril 1994 à Kigali. En effet, ce sont les événements de ces deux dates qui ont fait basculer l'histoire du Rwanda et celle de la région des Grands-Lacs d'Afrique en général. Par ailleurs, jusqu'à la date d'aujourd'hui en 2015, les mêmes événements du 06 au 07 avril 1994 au Rwanda continuent de peser sur les conditions existentielles des Rwandais: à l'occasion de cette nouvelle publication de nos travaux de recherche, nous présentons le cas paradigmatique des violences dont certains Rwandais sont victimes dans différents pays. Cette situation illustre parfaitement la difficulté de certains pays et/ou organismes à assumer leurs responsabilités historiques au Rwanda.
Le présent ouvrage, Essai sur l'autosuggestion, est le troisième et dernier complément à ma thèse de Doctorat que j'ai soutenue le 25 février 2011, à l'Université Paris Diderot - Paris 7, sous le titre: La compulsion de répétition dans les violences collectives. Depuis cette soutenance, j'ai déjà publié deux premiers compléments: Rwanda: Crimes d'honneur et influences régionales (2012) et Communautarisme et autochtonie - Du cas du Rwanda à l'universel (2013). Lors de la rédaction de ma thèse de Doctorat ci-dessus citée, les données cliniques, théoriques et historiques que nous avions rassemblées sur le Rwanda ne pouvaient pas être présentées dans un seul ouvrage. C'est pour cela que, afin de rendre compte des différents aspects du cas du Rwanda, nous avons préféré publier les résultats de notre recherche en plusieurs ouvrages. Ainsi, après avoir présenté le contexte géopolitique de la région des Grands-Lacs d'Afrique et ses conséquences sur le Rwanda, puis, dans la suite de notre dernière recherche sur la problématique des idéologies communautaristes qui ont influencé l'évolution des institutions socioculturelles au Rwanda, la présente réflexion est consacrée à la question du sujet en situation de violences collectives. Cela à partir de cas cliniques et de faits historiques précis. Car, sans la dimension historique, il n'y a pas d'interaction entre individu et collectivité.
A l'occasion de cette nouvelle publication, nous proposons à nos lecteurs un ensemble de trois textes sur les violences collectives et leurs conséquences; avec une attention particulière sur les génocides sociocides . Il s'agit d'études complémentaires de notre part, dans la suite de nos publications précédentes sur le même thème de recherche en psychopathologie - depuis la thèse de Doctorat que j'ai soutenue à l'Université Paris Diderot - Paris7 en 2011 et d'autres travaux de recherche que j'ai publiés sous le titre: Psychopathologie descriptive I: essais sur les violences collectives (2013 et 2014). Le premier texte, La méthode descriptive en psychopathologie, constitue la synthèse récapitulative - au stade actuel de nos recherches - sur la méthodologie scientifique qui est la nôtre. Le deuxième texte, Le génocide au Rwanda: postures et impostures génocidaires, est une ré-édition: le même texte a été publié pour la première fois en janvier 2015. Le troisième texte, Le Jugement de l'Histoire: effets du néocolonialisme multinational au Rwanda, est aussi une ré-édition car, le même texte a été publié pour la première fois en mai 2015. Ainsi, les trois textes ci-dessus réunis constituent le deuxième tome de nos essais sur les violences collectives sous le titre: Psychopathologie descriptive II: essais sur les génocides sociocides .
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