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Étude sur Shakspeare, est un livre classique et rare, qui a été considéré comme important tout au long de l'histoire de l'humanité, et pour que cet ouvrage ne soit jamais oublié, chez Alpha Editions, nous avons fait des efforts pour sa préservation en rééditant ce livre dans un format moderne pour les générations présentes et futures. . Tout ce livre a été reformaté, retapé et repensé. Ces livres ne sont pas constitués de copies numérisées de leur ¿uvre originale et leur texte est donc clair et lisible. Ce livre remarquable s'inscrit dans les genres de Language and Literatures, English literature
"... M. Guizot avait entrepris de retracer le cours de la civilisation européenne, depuis la chute de l'Empire romain et l'invasion des Barbares jusqu'à notre propre temps. Il a tour à tour passé en revue les principaux éléments de la société moderne, savoir: l'aristocratie féo-dale, l'église, les communes et la royauté. Il a observé leur développement successif ou paral-lèle, et les métamorphoses qu'ils ont subies à travers les siècles. Il a recherché quel avait été, dans chacun de ces éléments, le contre-coup des grands événements qui ont changé la face du monde, tels que les croisades, la révolution religieuse du seizième siècle, la révolution d'Angleterre au dix-septième. Il a décrit avec un soin particulier cette fusion secrète, cette transformation intérieure qui, dissolvant peu à peu tous les éléments du moyen âge longtemps en guerre, a enfin partagé les sociétés modernes en deux grandes forces, les peuples et les gouvernements. Le tableau du règne de Louis XIV et de sa lutte prolongée contre Guillaume III, celui du dix-huitième siècle en France, toujours le centre et le foyer de la civilisation européenne, ont surtout frappé les esprits. Ce n'est pas en quelques lignes que nous pouvons faire apprécier le mérite de ces leçons; le prodigieux empressement du public à les entendre et à les lire nous en dispense pleinement..."
"Contes pour la Jeunesse" de Pauline Guizot sont des récits destinés aux jeunes lecteurs, offrant des aventures et des leçons morales adaptées à un public plus jeune. Ces contes capturent souvent des valeurs éducatives, des leçons de vie et des récits enchanteurs conçus pour divertir tout en transmettant des messages édifiants. Guizot, par le biais de ses histoires, cherche à captiver l'imagination des jeunes lecteurs tout en leur inculquant des notions de morale, de courage, d'honnêteté et d'autres vertus. Ces contes pour la jeunesse peuvent contenir des éléments fantastiques, des personnages attachants et des situations éducatives, offrant ainsi un univers où divertissement et apprentissage se mêlent harmonieusement.
Les amis de la liberté politique sont tristes, et les raisons ne manquent pas à leur tristesse. Peut-être m'est-il permis de dire que j'aurais, plus que personne, quelque droit de m'y abandonner : je suis tombé avec les institutions et le régime que nous regardions comme le témoignage et le gage de la liberté politique; mais, en trouvant la tristesse légitime, je la trouve excessive et injuste envers notre temps et notre patrie. Je ne crois pas que la France ait renoncé à aucune de ses généreuses ambitions, ni qu'elle ait perdu tout moyen de les satisfaire, J'ai confiance dans l'avenir de mon pays et de la liberté politique de mon pays.Je ne me fais point d'illusion. Parmi les amis de la liberté politique, beaucoup sont découragés, et ne recommenceraient pas volontiers des efforts et des luttes ont ils n'espèrent plus la victoire. D'autres ont reporté sur le régime impérial leurs espérances, et s'en promettent, dans l'avenir, les satisfactions libérales qu'ils croient nécessaires ou possibles. Le public assiste, avec une indifférence sceptique, aux regrets languissants des uns et aux lointaines espérances des autres, uniquement préoccupé des intérêts de la vie civile et de son repos après tant d'orages...
" ...Mme Récamier entra dans le monde à une époque triste et impure, sous le régime du directoire, c'est-à-dire des conventionnels après le règne et la chute de la convention, républicains sans foi, révolutionnaires décriés, lassés et corrompus, mais point éclairés ni résignés, exclusivement préoccupés de leur propre sort, se sentant mourir et prêts à tout faire pour vivre encore quelques jours, des crimes ou des bassesses, la guerre ou la paix, ardens à s'enrichir et à se divertir, avides, prodigues et licencieux, et se figurant qu'avec l'échafaud de moins, un laisser-aller cynique et des fêtes interrompues au besoin par des violences, ils détourneraient la France renaissante de leur demander compte de leurs hontes et de ses destinées. Les désordres et les périls de la révolution avaient mis la famille de Mme Récamier en rapport avec quelques-uns des hommes importans de ce régime : Barrère venait chez ses parens, elle allait quelquefois aux fêtes de Barras. Sa nièce prend avec raison grand soin de dire qu'elle resta tout à fait étrangère au monde du directoire, surtout aux femmes qui en étaient les héroïnes. Pour une nature élevée, fine et honnête comme la sienne, c'était bien assez que les nécessités du temps lui en fissent entrevoir les hommes..."
" ...J'ai passé trente-quatre ans de ma vie à lutter, dans une bruyante arène, pour l'établissement de la liberté politique et le maintien de l'ordre selon la loi. J'ai appris, dans les travaux et les épreuves de cette lutte, ce que valent la foi et la liberté chrétiennes. Dieu permet que, dans le repos de ma retraite, je consacre à leur cause ce qu'il me conserve encore de jours et de force. C'est la plus salutaire faveur et le plus grand honneur que sa bonté me puisse accorder..."
" Un sérieux et habile philosophe, l'un des premiers naguère parmi les disciples, aujourd'hui parmi les maîtres de la grande école spiritualiste que MM. Royer-Collard, Maine de Biran, Cousin, Jouffroy et Rémusat ont relevée dans la patrie de Descartes, M. Janet a publié dans cette Revue et sous ce titre : Un Apologiste chrétien au dix-neuvième siècle, un examen de mes Méditations sur la religion chrétienne, examen accompli avec autant de convenance que de franchise. Je lui dois et je me dois à moi-même d'accepter et la discussion qu'il engage et le nom qu'il m'y donne. C'est en effet une apologie du christianisme, dans l'état actuel de la pensée, de la science et de la société humaine, que j'ai tenté d'esquisser. Et après le travail de M. Janet, toujours pénétré de la même conviction et dévoué à la même cause, c'est encore du christianisme que je voudrais marquer avec précision la place et le caractère, non pas en opposition, mais en regard du spiritualisme, son compagnon au point de départ, mais qui ne lui reste pas uni jusqu'au terme, c'est-à-dire jusqu'au but de la carrière, car qu'est-ce que le terme pour l'esprit humain sinon le but auquel il aspire en partant et en marchant ?..."
" ...Deux grands faits, l'un au XVIIIe siècle, l'autre de nos jours, ont profondément modifié, je devrais dire qu'ils ont détruit cette ancienne organisation des peuples allemands. Au XVIIIe siècle, par le génie politique et militaire d'un grand roi, Frédéric II, l'un des états confédérés, la Prusse, a grandi en étendue extérieure et en force intérieure au point de pouvoir disputer et de disputer en effet la prépondérance, dans la confédération allemande, à l'Autriche, qui la possédait depuis plusieurs siècles. La révolution française et Napoléon, par leurs idées et leurs guerres, ont suspendu cette rivalité des deux principales puissances allemandes, et abaissé tour à tour la Prusse et l'Autriche, la première encore plus que la seconde. Poussées à bout l'une et l'autre, elles se sont relevées ensemble dans le soulèvement général des populations allemandes pour s'affranchir du joug de Napoléon et dans la grande lutte qui a déterminé sa chute. La confédération germanique s'est relevée aussi alors, avec bien des mutilations et une organisation nouvelle, et au sein de la confédération la rivalité de la Prusse et de l'Autriche a reparu, mais atténuée et contenue par l'effet prolongé de leur récente alliance guerrière, par les sentiments personnels des princes, par leur crainte commune des révolutions et par l'aversion des populations allemandes contre toute influence de l'étranger, surtout de la France..."
Dans ce livre, l'historien et homme politique François Guizot analyse l'évolution du gouvernement en France depuis la Restauration et offre une critique du ministère en place à l'époque (1830). Il y évoque notamment les enjeux politiques et sociaux de la période, tels que le rôle de la bourgeoisie et la question de la représentation politique.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
" ...J'ai passé trente-quatre ans de ma vie à lutter, dans une bruyante arène, pour l'établissement de la liberté politique et le maintien de l'ordre selon la loi. J'ai appris, dans les travaux et les épreuves de cette lutte, ce que valent la foi et la liberté chrétiennes. Dieu permet que, dans le repos de ma retraite, je consacre à leur cause ce qu'il me conserve encore de jours et de force. C'est la plus salutaire faveur et le plus grand honneur que sa bonté me puisse accorder..."
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Histoire De La Civilisation En France Depuis La Chute De L'Empire Romain; Cours D'histoire Moderne; Histoire De La Civilisation En France Depuis La Chute De L'Empire Romain; François Guizot François Guizot Didier, 1846
Traduite du latin par François Guizot, cette Histoire des Croisades propose une description haletante de cette période de l'histoire durant laquelle on assista, au nom de Dieu et de la Religion, à une véritable Guerre des Civilisations.
" Un sérieux et habile philosophe, l'un des premiers naguère parmi les disciples, aujourd'hui parmi les maîtres de la grande école spiritualiste que MM. Royer-Collard, Maine de Biran, Cousin, Jouffroy et Rémusat ont relevée dans la patrie de Descartes, M. Janet a publié dans cette Revue et sous ce titre: Un Apologiste chrétien au dix-neuvième siècle, un examen de mes Méditations sur la religion chrétienne, examen accompli avec autant de convenance que de franchise. Je lui dois et je me dois à moi-même d'accepter et la discussion qu'il engage et le nom qu'il m'y donne. C'est en effet une apologie du christianisme, dans l'état actuel de la pensée, de la science et de la société humaine, que j'ai tenté d'esquisser. Et après le travail de M. Janet, toujours pénétré de la même conviction et dévoué à la même cause, c'est encore du christianisme que je voudrais marquer avec précision la place et le caractère, non pas en opposition, mais en regard du spiritualisme, son compagnon au point de départ, mais qui ne lui reste pas uni jusqu'au terme, c'est-à-dire jusqu'au but de la carrière, car qu'est-ce que le terme pour l'esprit humain sinon le but auquel il aspire en partant et en marchant ?..."
" ...Mme Récamier entra dans le monde à une époque triste et impure, sous le régime du directoire, c'est-à-dire des conventionnels après le règne et la chute de la convention, républicains sans foi, révolutionnaires décriés, lassés et corrompus, mais point éclairés ni résignés, exclusivement préoccupés de leur propre sort, se sentant mourir et prêts à tout faire pour vivre encore quelques jours, des crimes ou des bassesses, la guerre ou la paix, ardens à s'enrichir et à se divertir, avides, prodigues et licencieux, et se figurant qu'avec l'échafaud de moins, un laisser-aller cynique et des fêtes interrompues au besoin par des violences, ils détourneraient la France renaissante de leur demander compte de leurs hontes et de ses destinées. Les désordres et les périls de la révolution avaient mis la famille de Mme Récamier en rapport avec quelques-uns des hommes importans de ce régime: Barrère venait chez ses parens, elle allait quelquefois aux fêtes de Barras. Sa nièce prend avec raison grand soin de dire qu'elle resta tout à fait étrangère au monde du directoire, surtout aux femmes qui en étaient les héroïnes. Pour une nature élevée, fine et honnête comme la sienne, c'était bien assez que les nécessités du temps lui en fissent entrevoir les hommes..."
" Le testament du duc de Broglie, en date du 19 juin 1839, contient cette disposition: je lègue à mon ami M. Guizot un ouvrage de son choix à prendre dans ma bibliothèque de Broglie; je regarde notre longue amitié comme l'un des biens les plus précieux que Dieu m'ait accordés. C'est en janvier 1870, à la mort du duc de Broglie, et plus de trente ans après la date de son testament, que j'ai reçu de lui ce témoignage d'une amitié vieille alors de trente ans de plus, et toujours restée la même à travers un si long temps plein de si grands événemens qui ont changé si souvent les situations et les dispositions des hommes. J'ai à coeur de marquer ma place et ma part dans cette intimité mutuelle et persévérante. Je voudrais la faire connaître telle qu'elle a été et qu'elle s'est formée et maintenue au milieu, je puis dire au-dessus des épreuves de nos longues vies..." F. G.
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