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"L'Homme et les Sociétés" est une ¿uvre majeure de Gustave Le Bon, un psychologue social et sociologue français du XIXe siècle. Bien que cette ¿uvre ne porte pas spécifiquement sur la Révolution française, Gustave Le Bon a écrit sur les foules et les mouvements sociaux, ce qui pourrait inclure une analyse de la Révolution française dans le contexte de la psychologie des foules et des révolutions.L'une des idées clés de Gustave Le Bon, exposée dans ses travaux, est que les foules ont un comportement collectif différent de celui de l'individu isolé. Il a étudié comment les émotions, les croyances et les actions se propagent au sein des foules, et comment les foules peuvent être influencées par des leaders charismatiques ou des événements collectifs.Bien que le titre que vous avez fourni soit quelque peu ambigu, il est possible que Gustave Le Bon ait inclus des réflexions sur la Révolution française dans ses écrits sur la psychologie des foules et des révolutions. Cependant, pour une analyse spécifique de la Révolution française, il serait préférable de se tourner vers des ouvrages historiques dédiés à cet événement majeur de l'histoire.
" À mesure qu'on pénètre dans l'étude de cette civilisation, on voit les faits nouveaux surgir et les horizons s'étendre. On constate bientôt que le Moyen Âge ne connut l'antiquité classique que par Arabes; que pendant cinq cents ans, les universités de l'Occident vécurent exclusivement de leurs livres, et qu'au triple point de vue matériel, intellectuel et moral, ce sont eux qui ont civilisé l'Europe. Quand on étudie leurs travaux scientifiques et leurs découvertes, on voit qu'aucun peuple n'en produisit d'aussi grands dans un temps aussi court. Lorsqu'on examine leurs arts, on reconnaît qu'ils possédèrent une originalité qui n'a pas été dépassée. L'action des Arabes, déjà si grande en Occident, fut plus considérable encore en Orient. Aucune race n'y a jamais exercé une influence semblable. Les peuples qui ont jadis régné sur le monde: Assyriens, Perses, Égyptiens, Grecs et Romains ont disparu sous la poussière des siècles, et n'ont laissé que d'informes débris; leurs religions, leurs langues et leurs arts ne sont plus que des souvenirs. Les Arabes ont disparu à leur tour; mais les éléments les plus essentiels de leur civilisation, la religion, la langue et les arts, sont vivants encore, et du Maroc jusqu'à l'Inde, plus de cent millions d'hommes obéissent aux institutions du prophète."
"La guerre européenne représente les débuts d'une ère de bouleversements. Boule-versement de l'existence, bouleversement des sentiments, bouleverse-ment des pen-sées. Nous sommes arrivés peut-être à une de ces périodes de l'histoire où, comme au mo-ment de la Révolution française, les hommes changent leur idéal, leurs principes et aussi leurs élites. Les peuples sont rapidement poussés vers un avenir qu'aucune lueur n'éclaire encore. L'imprévisible les domine. Des conceptions politiques et morales, tenues pour inébranlables, semblent destinées à disparaître. Théories et doctrines s'éva-nouissent tour à tour. Plus de lendemains assurés. Les forces psy-chologiques qui s'entrechoquent dans les combats, commencent à peine leur oeuvre."
This Is A New Release Of The Original 1905 Edition.
" Tous les hommes d'État devraient étudier le livre de Gustave Le Bon. L'auteur n'a aucun respect pour les théories classiques concernant la Révolution, et ses inter-prétations psychologiques le conduisent à des conclusions très neuves. C'est ainsi qu'il expose avec un frappant relief le faible rôle joué par la masse du peuple dans les mouvements révolutionnaires, l'absolue contradiction entre les volontés individuelles et les volontés collectives des membres des assemblées, l'élément mystique qui conduisit les héros de la Révolution et à quel point ces héros furent peu influencés par la raison. Sans la Révolution il eût été très difficile de prouver que la raison ne saurait transformer les hommes, et que par conséquent une société ne se reconstruit pas à la volonté des législateurs, si complet que soit leur pouvoir. "
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This Is A New Release Of The Original 1896 Edition.
The institution of caste was not peculiar to India. In fact, the phenomena of caste are world-wide in their extent. In India the priests and nobles contended for the first place. India had progressed along the line of ethnic evolution from a loose confederacy of tribes into several nations, ruled by kings and priests, and the iron fetters of caste were becoming more rigidly welded. At first the father of the family was the priest. Then the chiefs and sages took the office of spiritual guide, and conducted the sacrifices. As writing was unknown, the liturgies were learned by heart, and handed down in families. The exclusive knowledge of the ancient hymns became hereditary, as it were. The ministrants increased in number, and thus sprang up the powerful priestly caste. Then the warrior class arose and grew strong in numbers and power, becoming differentiated from the agriculturists, and forming the military caste. The husbandmen drifted into another caste, and the three orders were rigidly separated by a cessation of intermarriage. At the bottom came the Sudras, or slave bands, the servile dregs of the population. In course of time, from various influences, the third class became almost eliminated in many provinces. From the cradle to the grave these cruel barriers still intervene between the strata of the people, relentless as fate and insurmountable as death.
The Crowd: A Study of the Popular Mind by French social theorist Gustave Le Bon is a short treatise on the principles of large gatherings of people. The ideas in Le Bon's book were popular at the time of the late 19th century but are no longer in vogue today. The reasons for this are obvious, as LeBon unpretentiously puts to fault all the rhetoric about "democracy," "equality," "fraternity," and "equality" as being mere catchphrases that self-serving demagogues use to control the spirit of the masses. He cites the French Revolution and the demands of Socialism and Communism during his time. Le Bon outlines the way crowds tend to think (in vivid images illogically connected), how they reason (they don't for all practical purposes), how they express exaggerated emotion, how they are very quick to take action without coherent thought and of the general extreme-conservatism and intolerance of crowds. The individual who becomes part of a crowd tends to loose himself, and feels invincible as he is aware of the similarity of mind and purpose of all those surrounding him.
Auteur du célèbre Psychologie des foules, Gustave Le Bon nous livre ici un excellent traité de l'éducation.Rédigé en 1910, l'analyse et les bons conseils de Le Bon sont toujours des plus intéressants.Un livre à recommander à tous les enseignants et à tous les parents.
In this fascinating book, Gustave Le Bon examines the psychology of crowds. He posits that crowds have personalities, just like individuals, and that individuals change when part of a crowd. "The most careful observations seem to prove that an individual immersed for some length of time in a crowd in action soon finds himself-either in consequence of the magnetic influence given out by the crowd, or from some other cause of which we are ignorant-in a special state, which much resembles the state of fascination in which the hypnotized individual finds himself in the hands of the hypnotizer. The activity of the brain being paralysed in the case of the hypnotized subject, the latter becomes the slave of all the unconscious activities of his spinal cord, which the hypnotizer directs at will. The conscious personality has entirely vanished; will and discernment are lost. All feelings and thoughts are bent in the direction determined by the hypnotizer." This edition has been completely reset in fresh type.
Si l'ouvrage La Psychologie des foules de Gustave Le Bon est toujours célèbre. On connaît moins La Psychologie politique (1910). Si le style a plus d'un siècle, l'analyse et la réflexion de Gustave Le Bon méritent une lecture attentive, tant certaines de ses idées sont prémonitoires de notre époque.Un livre indispensable à toute réflexion politique, sociale, syndicale...
Gustave Le Bon (1841-1931) eut un immense succès et inspira jusqu'à Freud. Véritable best-seller, Psychologie des Foules est considéré comme un des livres qui ont changé le monde au début du XXe siècle.Monument historique, il demeure une oeuvre pionnière de la psychologie sociale et la première à interroger brillamment le phénomène de masse qui allait tourmenter le XXe siècle. Moscovici le considère comme le Machiavel des sociétés de masses qui, le premier, aura compris l'importance du rôle (potentiellement destructeur) des foules.Ce livre est devenu un classique incontournable pour tous les sociologues et psychologues.Texte intégral et conforme à l'édition originale de 1895 (version 1.1 corrigée).
Gustave Le Bon (1841-1931) apparaît comme l'une des figures incontournables de la psychologie sociale, discipline qu'il contribua à populariser au début du XXeme siècle avec son étude restée célèbre sur la psychologie des foules dans laquelle il démontre que le comportement des hommes lorsqu'ils sont en groupe diffère fondamentalement de leur psychologie individuelle. L'influence de Le Bon sur le plan académique et scientifique dépasse d'ailleurs très largement le seul cadre de la psychologie sociale, ses pensées - souvent novatrices pour l'époque - sur le fonctionnement et l'évolution des sociétés humaines ayant imprégné en profondeur l'ensemble des sciences humaines. De la sorte, l'oeuvre de Gustave Le Bon reste incontournable, même si certaines de ces positions, racialistes parfois, méritent aujourd'hui d'être critiquées. Il n'en reste pas moins que sa pensée puisse être qualifiée de remarquable, au titre notamment du rôle qu'elle a joué dans l'histoire des sciences humaines et sociales. Le volume qui suit, présenté sous la forme d'un recueil d'aphorismes, résume à merveilles l'étendue des connaissances - philosophie, psychologie, politique...etc - concernées par les travaux de Gustave Le Bon.
The outbreak of World War I saw the collapse of socialist notions of class solidarity and reaffirmed the enduring strength of nationalism. The workers of the world did not unite, but turned on one another and slaughtered their fellows in what was then the bloodiest war in history. There have been many efforts to explain the outbreak of war in 1914, but few from so intimate a perspective as LeBon's. He examines such questions as why German scholars tried to deny Germany's obvious guilt in the war, and what explained the remarkable resolve of the French army to persevere in the face of unprecedented adversity.To such questions, LeBon proposes answers built upon principles well articulated in the larger body of his work. He transforms the character of the debate by demonstrating how psychological principles explain more persuasively both the causes of German academic ignominy and the origins of French valor. Convinced as he was that only psychology could illuminate collective behavior, LeBon dismisses purely economic or political interpretations as ill-conceived and inadequate precisely because they fail to appreciate the role of psychology in the collective behavior of national statesmen, prominent scholars, and ordinary soldiers.The Psychology of the Great War provides a bridge to study both crowd behavior and battlefield behavior by illustrating how ordinary people are transformed into savages by great events. This element in LeBon's thinking influenced Georges Sorel's thinking, as he had seen the same phenomenon in those who participated in general strikes and revolutions. And in a later period and different context, Hannah Arendt gave this strange capacity of the ordinary to be transformed into the extraordinary the name "banality of evil." The book will be of interest to social theorists, psychologists concerned with group behavior, and historians of the period.
" La pensée brève semble une forme littéraire bien adaptée aux besoins de l'âge actuel. Le champ de la connaissance est devenu si vaste et la spéciali-sation si étroite qu'il faut bien se résigner à n'aborder que les idées générales servant de soutien aux diverses branches du savoir. Elles constituent l'armature philosophique des choses, l'âme des phénomènes. Peu nombreuses à chaque époque, elles évoluent lentement et ne peuvent changer sans que les civilisations qu'elles orientaient soient transformées. Condensées en propositions concises, ces idées géné-rales et les réflexions qu'elles entraînent n'ont d'ailleurs d'intérêt qu'à la condition d'être la synthèse de faits nombreux. Elles disent alors beaucoup de choses en peu de mots et dispensent de longs discours. Leur rôle est surtout de faire penser et non de dé-montrer."
"Quand la lutte matérielle sera terminée, les idées, silencieuses aujourd'hui, entre-ront en conflit à leur tour. Le verbe remplacera l'action en attendant qu'il la dirige encore. Les peuples civilisés se trouvent à une de ces périodes critiques où des idées puissantes mais contradictoires sont aux prises. Le triomphe de l'idée d'hégémonie et d'asservissement étatiste entraînerait un retour à la définitive barbarie après des luttes incessantes. Celui de l'idée de liberté indivi-duelle aurait pour conséquence au con-traire la marche vers un lumineux progrès. Aux hommes de pensée va revenir la tâche d'orienter l'âme des peuples vers des idées capables d'éviter leur décadence. L'oeuvre est difficile. Elle n'est pas impos-sible. Les idées fausses sont les grandes dévastatrices de l'histoire. Ce n'est pas avec des armes matérielles qu'on les combat. Le canon n'est qu'un serviteur de la pensée. Des idées qui vont diriger les peuples dé-pendra leur destinée."
"Jamais la réflexion ne fut aussi nécessaire qu'aujourd'hui. On nous recommande sans cesse d'agir, mais que vaut l'action sans la pensée pour guide? Réfléchir conduit à prévoir et prévoir c'est éviter les catastrophes. Ils avaient longuement réfléchi, les trop rares écrivains qui, voyant venir l'inévitable conflit, conseillaient sans cesse de s'y préparer. Leur voix ne fut pas entendue. Les foules et leurs maîtres préférèrent écouter les assurances d'une légion de pacifistes affirmant, d'après les sûres lumières de leur raison, que les guerres étant devenues impossibles, il était inutile de s'y préparer."
"Les questions soulevées par la genèse des opinions étant du même ordre que celles relatives à la croyance doivent, être étudiées de la même façon. Souvent distinctes dans leurs effets, croyances et opinions appartiennent cependant à la même famille, alors que la connaissance fait partie d'un monde complètement différent. On voit la grandeur et la difficulté des problèmes abordés dans cet ouvrage. J'y ai rêvé bien des années sous des cieux divers. Tantôt en contemplant ces milliers de statues élevées depuis 80 siècles à la gloire de tous les dieux qui incarnèrent nos rêves. Tantôt perdu parmi les piliers gigantesques des temples aux architectures étranges, reflétés dans les eaux majestueuses du Nil ou édifiés sur les rives tourmen-tées du Gange. Comment admirer ces merveilles sans songer aux forces secrètes qui les firent surgir d'un néant d'où aucune pensée rationnelle n'aurait pu les faire éclore."
" Remontant bien au-delà des âges récents où commence l'histoire, nous chercherons les origines de l'homme dans les profondeurs ténébreuses d'un passé dont aucune tradition n'a gardé la mémoire, mais dont les débris épargnés par le temps permettent aujourd'hui de reconstituer la trame. Nous le prendrons à ses premiers débuts. Suivant pas à pas son développement, nous verrons comment naquirent l'industrie et les arts, la famille et la société, l'idée du bien et du mal; comment se formèrent ses institutions, ses religions et ses lois, et quelles furent, dans la suite des temps, les causes de leurs transformations. Nous montrerons que chaque époque et chaque peuple eurent leur façon spéciale de penser, comme ils eurent leurs croyances, leur morale et leur droit; qu'il n'y eut jamais de principes universels et absolus, mais seulement des principes d'une valeur relative. Ce n'est qu'en suivant ainsi le développement de l'humanité dans toutes ses phases, et tenant soigneusement compte de l'influence des milieux, de la race, de l'hérédité, de l'éducation, en un mot de tous les modificateurs de l'homme, qu'on peut arriver à concevoir clairement comment se sont formées les idées et les aptitudes d'un peuple, comment il a graduellement acquis sa structure et ses fonctions, et embrasser ainsi dans leur succession et leurs causes la série des événements qui constituent l'histoire."
Pourquoi tant de peuples surgis brusquement du néant, et remplissant le monde du bruit de leur grandeur ? Pourquoi ont-ils sombré ensuite dans un oubli si profond que pendant des siècles tout fut ignoré d'eux ? Comment naissent, évoluent et meurent les dieux, les institutions, les langues et les arts ? Conditionnent-ils les sociétés humaines, ou sont-ils au contraire conditionnés par elles ? Pourquoi certaines croyances comme l'Islamisme purent-elles s'édifier presque instantanément alors que d'autres mirent des siècles à s'établir ? Pourquoi le même Islamisme survécut-il à la puissance politique qui lui servait de support et s'étend-il toujours alors que d'autres religions comme le christianisme et le bouddhisme semblent décliner et côtoyer leur fin ?
" Remontant bien au-delà des âges récents où commence l'histoire, nous chercherons les origines de l'homme dans les profondeurs ténébreuses d'un passé dont aucune tradition n'a gardé la mémoire, mais dont les débris épargnés par le temps permettent aujourd'hui de reconstituer la trame. Nous le prendrons à ses premiers débuts. Suivant pas à pas son développement, nous verrons comment naquirent l'industrie et les arts, la famille et la société, l'idée du bien et du mal; comment se formèrent ses institutions, ses religions et ses lois, et quelles furent, dans la suite des temps, les causes de leurs transformations. Nous montrerons que chaque époque et chaque peuple eurent leur façon spéciale de penser, comme ils eurent leurs croyances, leur morale et leur droit; qu'il n'y eut jamais de principes universels et absolus, mais seulement des principes d'une valeur relative. Ce n'est qu'en suivant ainsi le développement de l'humanité dans toutes ses phases, et tenant soigneusement compte de l'influence des milieux, de la race, de l'hérédité, de l'éducation, en un mot de tous les modificateurs de l'homme, qu'on peut arriver à concevoir clairement comment se sont formées les idées et les aptitudes d'un peuple, comment il a graduellement acquis sa structure et ses fonctions, et embrasser ainsi dans leur succession et leurs causes la série des événements qui constituent l'histoire."
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