Gør som tusindvis af andre bogelskere
Tilmeld dig nyhedsbrevet og få gode tilbud og inspiration til din næste læsning.
Ved tilmelding accepterer du vores persondatapolitik.Du kan altid afmelde dig igen.
If you try to find, on any map of Flanders, ancient or modern, the small town of Quiquendone, probably you will not succeed. Is Quiquendone, then, one of those towns which have disappeared? No. A town of the future? By no means. It exists in spite of geographies, and has done so for some eight or nine hundred years.
Mais, au moment où le commandement du Franklin venait de lui être attribué, comment aurait-elle eu la pensée de le retenir ? Et puis, ne fallait-il pas songer aux nécessités du ménage, pourvoir aux besoins d'une famille qui ne se résumerait peut-être pas tout entière dans cet unique enfant ? C'était à peine le nécessaire que la dot de Dolly assurait à sa maison. Évidemment John Branican devait compter sur la fortune que l'oncle laisserait à sa nièce, et il eût fallu un concours d'invraisemblables circonstances pour que cette fortune lui échappât, puisque M. Edward Starter, presque sexagénaire, n'avait pas d'autre héritière que Dolly. En effet, sa cousine Jane Burker, appartenant à la branche maternelle de la famille, n'avait aucun degré de parenté avec l'oncle de Dolly ! Celle-ci serait donc riche... mais dix ans, vingt ans, se passeraient peut-être avant qu'elle ne fût mise en possession de cet héritage.
Le jeune marin Dick Sand est novice à bord du brick-goëlette Pilgrim commandé par le capitaine Hull. Après une saison de pêche calamiteuse, le baleinier repart de Nouvelle-Zélande pour rentrer en Amérique lorsque commence le récit en 1873. Au cours du voyage de retour, le capitaine ne résiste pas à chasser une jubarte ou baleine franche; mais la course au cétacé tourne au désastre et le jeune orphelin se retrouve seul maître à bord, avec la femme de l'armateur, Mistress Weldon et son jeune fils Jack à ramener à bon port...
Réussissez votre bac de français 2024 grâce à notre fiche de lecture du roman Une ville flottante de Jules Verne !Validée par une équipe de professeurs, cette analyse littéraire est une référence pour tous les lycéens.Grâce à notre travail éditorial, les points suivants n'auront plus aucun secret pour vous : la biographie de l'écrivain, le résumé du livre, l'étude de l'oeuvre, l'analyse des thèmes principaux à connaître et le mouvement littéraire auquel est rattaché l'auteur.
Réussissez votre bac de français 2024 grâce à notre fiche de lecture du Voyage au centre de la Terre de Jules Verne !Validée par une équipe de professeurs, cette analyse littéraire est une référence pour tous les lycéens.Grâce à notre travail éditorial, les points suivants n'auront plus aucun secret pour vous : la biographie de l'écrivain, le résumé du livre, l'étude de l'oeuvre, l'analyse des thèmes principaux à connaître et le mouvement littéraire auquel est rattaché l'auteur.
Los hombres de este siglo XXIX viven en medio de un espectáculo de magia continua, sin que parezcan darse cuenta de ello. Hastiados de las maravillas, permanecen indiferentes ante lo que el progreso les aporta cada dÃa. Siendo más justos, apreciarÃan como se merecen los refinamientos de nuestra civilización. Si la compararan con el pasado, se darÃan cuenta del camino recorrido. Cuánto más admirables les parecerÃan las modernas ciudades con calles de cien metros de ancho, con casas de trescientos metros de altura, a una temperatura siempre igual, con el cielo surcado por miles de aerocoches y aeroómnibus. Al lado de estas ciudades, cuya población alcanza a veces los diez millones de habitantes, qué eran aquellos pueblos, aquellas aldeas de hace mil años, esas ParÃs, esas Londres, esas BerlÃn, esas Nueva York, villorrios mal aireados y enlodados, donde circulaban unas cajas traqueteantes, tiradas por caballos. ¡SÃ, caballos! ¡Es de no creer! Si recordaran el funcionamiento defectuoso de los paquebotes y de los ferrocarriles, su lentitud y sus frecuentes colisiones, ¿qué precio no pagarÃan los viajeros por los aerotrenes y sobre todo por los tubos neumáticos, tendidos a través de los océanos y por los cuales se los transporta a una velocidad de 1500 kilómetros por hora? Por último, ¿no se disfrutarÃa más del teléfono y del telefoto, recordando los antiguos aparatos de Morse y de Hugues, tan ineficientes para la transmisión rápida de despachos?
Afin d'échapper à un mariage avec l'ennuyeux scientifique Aristobulus Ursiclos, Helena Campbell déclare à ses oncles Sib et Sam qu'elle ne se mariera qu'après avoir vu le Rayon vert qui, selon les légendes écossaises dont la jeune fille est friande, permettrait à ceux qui l'ont observé de voir clair en leur coeur ainsi qu'en celui des autres...
The story begins in May 1863, in the Lidenbrock house in Hamburg, Germany, with Professor Lidenbrock rushing home to peruse his latest purchase, an original runic manuscript of an Icelandic saga written by Snorri Sturluson ("Heimskringla"; the chronicle of the Norwegian kings who ruled over Iceland). While looking through the book, Lidenbrock and his nephew Axel find a coded note written in runic script. (This was a first indication of Verne's love for cryptography. Coded, cryptic or incomplete messages as a plot device would continue to appear in many of his works and in each case Verne would go a long way to explain not only the code used but also the mechanisms used to retrieve the original text.) Lidenbrock and Axel transliterate the runic characters into Latin letters, revealing a message written in a seemingly bizarre code. Lidenbrock attempts a decipherment, deducing the message to be a kind of transposition cipher; but his results are as meaningless as the original. Le narrateur est Axel Lidenbrock, neveu d'un éminent géologue et naturaliste allemand, le professeur de minéralogie Otto Lidenbrock. L'histoire commence le 24 mai 1863 à Hambourg et plus exactement dans la rue Königstrasse, où est située la maison du Pr Lidenbrock. Le professeur, amateur de vieux livres, a acheté le manuscrit original d'une saga islandaise, Heimskringla, écrite par Snorri Sturluson au XIIe siècle. Il y découvre un parchemin codé, rédigé en caractères runiques islandais. Lidenbrock se passionne aussitôt pour ce cryptogramme et tyrannise toute la maison tant qu'il lui résiste. Axel, d'abord peu enthousiaste, se prend peu à peu au jeu et finit par découvrir la clé du message par un coup de chance. Le parchemin se révèle être un message d'un certain Arne Saknussemm, un alchimiste islandais du XVIe siècle, rédigé en latin mais écrit en runes. Celui-ci affirme avoir découvert un passage qui l'aurait mené jusqu'au centre de la Terre, via l'un des cratères d'un volcan éteint d'Islande, le Sneffels (l'actuel Snæfellsjökull). Le professeur Otto Lidenbrock est un homme enthousiaste et impétueux. Il décide de partir dès le lendemain pour l'Islande, emmenant avec lui son neveu Axel, beaucoup plus réticent. L'oncle et le neveu sont en désaccord sur la possibilité pratique d'un tel voyage, qui va à l'encontre de la théorie la plus répandue sur la composition de l'intérieur de la planète, la théorie de la chaleur centrale, soutenue notamment par Siméon Denis Poisson: Axel s'en fait le défenseur, tandis que Lidenbrock, plus influencé par les théories de Humphry Davy selon qui les températures profondes sont moins élevées, est déterminé à mettre l'hypothèse de la chaleur centrale à l'épreuve des faits. Par ailleurs, Axel est retenu à Hambourg par les sentiments qui le lient à la pupille de Lidenbrock, Graüben, une Virlandaise avec qui il s'est fiancé à l'insu du professeur; mais celle-ci l'encourage au contraire à accomplir ce voyage, espérant qu'ils se marieront à son retour. Deux jours à peine après le déchiffrement du message, Lidenbrock et Axel se mettent donc en route, non sans de fiévreux préparatifs de la part du professeur, qui se pourvoit d'un matériel abondant correspondant au dernier cri technologique de l'époque (notamment les appareils de Ruhmkorff fournissant un moyen d'éclairage sûr, et le fulmicoton, un puissant explosif). Lidenbrock se hâte, car les indications fournies par Saknussemm sur l'emplacement exact du cratère à emprunter se fondent sur l'ombre projetée par un pic rocheux à la fin du mois de juin, et le trajet jusqu'en Islande leur prendra du temps.
Fortune faite, la famille Cascabel, artistes forains, veulent quitter l'Amérique pour rejoindre leur Normandie natale. Par malheur, deux aigrefins les volent, leur enlevant tout espoir de pouvoir payer leur traversée de l'Atlantique. César, le chef de famille, décide de regagner le sol natal en roulotte, d'abord par le détroit de Bering pris dans les glaces, puis en regagnant la Sibérie et la Russie. La marche est émaillée d'aventures...
Alors une voix puissante déchira l'air, et ces mots retentirent: Dehors tout ce qui pèse!... tout! et à la grâce de Dieu! Telles sont les paroles qui éclataient en l'air, au-dessus de ce vaste désert d'eau du Pacifique, vers quatre heures du soir, dans la journée du 23 mars 1865.
It has been some time since the end of the American Civil War. The Gun Club, a society based in Baltimore and dedicated to the design of weapons of all kinds (especially cannons), meets when Impey Barbicane, its president, calls them to support his idea: according to his calculations, a cannon can shoot a projectile so that it reaches the moon. After receiving the whole support of his companions, a few of them meet to decide the place from where the projectile will be shot, the dimensions and makings of both the cannon and the projectile, and which kind of powder are they to use. An old enemy of Barbicane, a Captain Nicholl of Philadelphia, designer of plate armor, declares that the enterprise is absurd and makes a series of bets with Barbicane, each of them of increasing amount over the impossibility of such feat. The first obstacle, the money, and over which Nicholl has bet 1000 dollars, is raised from most countries in America and Europe, in which the mission reaches variable success (while the USA gives 4 million dollars, England does not give a farthing, being envious of the United States in matters of science), but in the end nearly five and a half million dollars are raised, which ensures the financial feasibility of the project. Après la fin de la Guerre de Sécession, le Gun Club de Baltimore, club d'artilleurs, végète par manque d'activité. Son président, Impey Barbicane, propose très sérieusement d'envoyer un boulet de canon sur la Lune. Après plusieurs réunions, le Gun Club s'organise et lance une collecte de fonds en direction de toute la planète. Après avoir récolté l'argent nécessaire, le projet prend forme sous la forme d'un gigantesque canon d'une conception inspirée des Columbiad américains. La volonté du club est de mener l'expérience sur le territoire des Ãtats-Unis. Après s'être renseigné auprès de l'observatoire de Cambridge pour connaitre les contraintes physiques (vitesse, date, lieu) favorisant leur projet, les membres du club déterminent les caractéristiques du canon, du projectile et de l'explosif. Ils choisissent également un site près de Tampa en Floride pour y préparer le tir. Un télescope est enfin construit dans les Rocheuses afin de pouvoir observer au mieux le projectile durant son vol. Le Gun Club reçoit un télégramme du Français Michel Ardan, qui propose de fabriquer un projectile creux (au lieu du boulet plein prévu) dans lequel il pourrait prendre place afin d'aller sur la Lune. Après avoir vérifié l'existence de ce Français, Barbicane suspend la fabrication du projectile. Arrivé aux Ãtats-Unis, Ardan convainc l'opinion publique de la possibilité de son idée. Seul Nicholl, adversaire et rival de Barbicane, s'oppose à ce projet, de la même façon qu'il s'était opposé au projet initial de Barbicane. Ardan résout le conflit en persuadant les deux hommes d'entreprendre avec lui ce voyage vers la Lune. Le tir est un succès. Sur Terre, après l'enthousiasme arrive l'inquiétude, car il est impossible de suivre le projectile à cause des nuages. Au bout de quelques jours, celui-ci est finalement découvert en orbite autour de la Lune et c'est cette partie qui sera contée dans la suite.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ The Demon Of Cawnpore; Volume 1 Of The Steam House; Jules Verne Jules Verne Scribner, 1881
A scholar and explorer, Dr. Samuel Fergusson, accompanied by his manservant Joe and his friend professional hunter Richard "Dick" Kennedy, sets out to travel across the African continent - still not fully explored - with the help of a balloon filled with hydrogen. He has invented a mechanism that, by eliminating the need to release gas or throw ballast overboard to control his altitude, allows very long trips to be taken. This voyage is meant to link together the voyages of Sir Richard Burton and John Hanning Speke in East Africa with those of Heinrich Barth in the regions of the Sahara and Chad. The trip begins in Zanzibar on the east coast, and passes across Lake Victoria, Lake Chad, Agadez, Timbuktu, Djenné and Ségou to St Louis in modern day Senegal on the west coast. The book describes the unknown interior of Africa near modern day Central African Republic as a desert, when it is actually savanna. Un savant et explorateur, le Dr Samuel Fergusson, accompagné de son serviteur Joe et son ami chasseur professionnel Richard "Dick" Kennedy, décident de survoler l'Afrique orientale, de Zanzibar aux sources du Nil - pas encore totalement explorée - à bord d'un ballon gonflé à l'hydrogène, le "Victoria". Il a inventé un mécanisme qui, en éliminant la nécessité de libérer du gaz ou de jeter de lest pour contrôler son altitude, permet de très longs trajets à prendre. Ce voyage est destiné à relier les voyages de Sir Richard Burton et John Hanning Speke en Afrique de l'Est avec celles de Heinrich Barth dans les régions du Sahara et du Tchad. Le voyage commence à Zanzibar sur la côte est, et passe à travers le lac Victoria, le lac Tchad, Agadez, Tombouctou, Djenné et Ségou à St Louis dans le jour moderne Sénégal sur la côte ouest. Le livre décrit les multiples et dangereuses aventures que vont vivre les trois hommes.
En l'année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens, - maison dans laquelle Shéridan mourut en 1814, - était habitée par Phileas Fogg, esq., l'un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du reform-club de Londres, bien qu' il semblât prendre à tâche de ne rien faire qui pût attirer l' attention. À l'un des plus grands orateurs qui honorent l'Angleterre, succédait donc ce Phileas Fogg, personnage énigmatique, dont on ne savait rien, sinon que c'était un fort galant homme et l'un des plus beaux gentlemen de la haute société anglaise. On disait qu'il ressemblait à Byron, - par la tête, car il était irréprochable quant aux pieds, - mais un Byron à moustaches et à favoris, un Byron impassible, qui aurait vécu mille ans sans vieillir. Anglais, à coup sûr, Phileas Fogg n'était peut-être pas londonner. On ne l' avait jamais vu ni à la bourse, ni à la banque, ni dans aucun des comptoirs de la cité. Ni les bassins ni les docks de Londres n'avaient jamais reçu un navire ayant pour armateur Phileas Fogg. Ce gentleman ne figurait dans aucun comité d'administration.
The story starts in London on Tuesday, October 1, 1872. Fogg is a rich English gentleman living in solitude. Despite his wealth, Fogg lives a modest life with habits carried out with mathematical precision. Very little can be said about his social life other than that he is a member of the Reform Club. Having dismissed his former valet, James Foster, for bringing him shaving water at 84 °F (29 °C) instead of 86 °F (30 °C), Fogg hires a Frenchman by the name of Jean Passepartout as a replacement. At the Reform Club, Fogg gets involved in an argument over an article in The Daily Telegraph stating that with the opening of a new railway section in India, it is now possible to travel around the world in 80 days. He accepts a wager for £20,000 (equal to about £1.6 million today) from his fellow club members, which he will receive if he makes it around the world in 80 days. Accompanied by Passepartout, he leaves London by train at 8:45 P.M. on Wednesday, October 2, 1872, and is due back at the Reform Club at the same time 80 days later, Saturday, December 21, 1872. Le Tour du monde en quatre-vingts jours est un roman d'aventures de Jules Verne, publié en 1872. Le roman raconte la course autour du monde d'un gentleman anglais, Phileas Fogg, qui a fait le pari d'y parvenir en quatre-vingts jours. Il est accompagné par Jean Passepartout, son serviteur français. L'ensemble du roman mêle récit de voyage (traditionnel pour Jules Verne) et données scientifiques comme celle utilisée pour le rebondissement de la chute du roman. Ce voyage extraordinaire est rendu possible grâce à la révolution des transports qui marque le XIXe siècle dans le contexte de la Révolution industrielle. Le développement de nouveaux modes de transport (chemin de fer, machine à vapeur) et l'ouverture du canal de Suez en 1869 raccourcissent les distances, ou du moins le temps nécessaire pour les parcourir. Le premier tour du monde en quatre-vingts jours fut effectué par George Francis Train en 1870.
Uncle Prudent et Phil Evans sont respectivement président et secrétaire du Weldon-Institut de Philadelphie, mais aussi d'intimes ennemis. Le Weldon-Institute est un club rassemblant tous ceux qui pouvaient s'intéresser à l'aérostatique, mais amateurs enragés et particulièrement ennemis de ceux qui veulent opposer aux aérostats les appareils plus lourds que l'air . Ces ballonistes en sont à se disputer la meilleure manière de diriger un aérostat, lorsqu'un homme, Robur, fait irruption dans la salle de séance du Weldon-Institut: il provoque la fureur de ses membres en disant que l'avenir appartient non pas aux ballons, mais aux machines volantes. Pour prouver ses dires, il enlève Prudent et Evans et les embarque à bord de l'Albatros, une machine volante digne du Nautilus. Robur commence un périple autour du monde, prouvant à Prudent et Evans qu'une machine volante mue par l'électricité se contrôle beaucoup mieux qu'un ballon gonflant.
Having been fired out of the giant Columbiad space gun, the Baltimore Gun Club's bullet-shaped projectile, along with its three passengers, Barbicane, Nicholl and Michel Ardan, begins the five-day trip to the moon. A few minutes into the journey, a small, bright asteroid passes within a few hundred yards of them, but luckily does not collide with the projectile. The asteroid had been captured by the Earth's gravity and had become a second moon. The three travelers undergo a series of adventures and misadventures during the rest of the journey, including disposing of the body of a dog out a window, suffering intoxication by gases, and making calculations leading them, briefly, to believe that they are to fall back to Earth. During the latter part of the voyage, it becomes apparent that the gravitational force of their earlier encounter with the asteroid has caused the projectile to deviate from its course. Ce roman décrit les aventures des trois hommes (Nicholl, Barbicane et Michel Ardan) qui sont montés dans un obus tiré par un immense canon pour les envoyer vers la Lune. En dépit de ses invraisemblances et de ses erreurs (lancement par un canon, pesanteur présente sauf au "point neutre", etc), le roman s'est avéré étonnamment prémonitoire par rapport à la mission Apollo 8: l'initiative du voyage dans la Lune a bien été prise par les Américains, le départ de la mission américaine a eu lieu à Cap Canaveral, à quelques centaines de kilomètres seulement de l'endroit choisi par Verne en Floride, non pour les raisons qu'offre l'auteur, mais parce que la vitesse supérieure de rotation de la terre à cet endroit y est plus favorable. Il y a bien eu trois astronautes à bord de la capsule, et la mission a duré un peu moins d'une semaine, comme celle de Michel Ardan et ses amis. Enfin au retour, l'engin se retrouve dans l'océan après avoir effectué une orbite lunaire.
L'apparition d'une bête monstrueuse en 1866 aux quatre coins des mers défraie la chronique. L'animal, rapide, fusiforme et phosphorescent, est responsable de plusieurs naufrages, brisant le bois des navires avec une force colossale. De retour d'une expédition dans le Nebraska, Pierre Aronnax, professeur suppléant au Muséum d'histoire naturelle de Paris, émet l'hypothèse d'un narval géant.
El doctor Samuel Fergusson, sabio y explorador inglés, acompañado por su criado Joe y por su amigo Dick Kennedy, decide atravesar el continente africano, que hasta ese momento sólo era conocido de modo fragmentario, usando un globo hinchado con hidrógeno. Un dispositivo de su invención, que permite subir o bajar a voluntad sin perder gas o echar lastre en busca de corrientes favorables, convierte al globo en un aparato dirigible. La idea de este viaje es unir las exploraciones realizadas por Burton y Speke en el Ãfrica Oriental con las de Heinrich Barth en las regiones del Sahara y el Chad, y hallar las fuentes del Nilo. Los tres aeronautas parten de la isla de ZanzÃbar en el globo Victoria y recorren durante cinco semanas los Montes de la Luna (donde sucede la aventura del elefante remolcador), el lago Victoria (que reconocen como la fuente del Nilo), el Nilo, los montes AurÃferos (donde suceden las aventuras del misionero, de la codicia y de la sed), el lago Chad (donde el globo es deshecho y Joe se pierde), el desierto del Sahara (el huracán), el rÃo NÃger (donde el nuevo Victoria comienza a fallar y ocurre el ataque de los talibas) hasta las cataratas de Güina en el rÃo Senegal, antes de volver a Inglaterra, donde son recibidos con entusiasmo y ganan la medalla de oro por la mejor aventura del año 1862. Un savant et explorateur, le Dr Samuel Fergusson, accompagné de son serviteur Joe et son ami chasseur professionnel Richard "Dick" Kennedy, décident de survoler l'Afrique orientale, de Zanzibar aux sources du Nil - pas encore totalement explorée - à bord d'un ballon gonflé à l'hydrogène, le "Victoria". Il a inventé un mécanisme qui, en éliminant la nécessité de libérer du gaz ou de jeter de lest pour contrôler son altitude, permet de très longs trajets à prendre. Ce voyage est destiné à relier les voyages de Sir Richard Burton et John Hanning Speke en Afrique de l'Est avec celles de Heinrich Barth dans les régions du Sahara et du Tchad. Le voyage commence à Zanzibar sur la côte est, et passe à travers le lac Victoria, le lac Tchad, Agadez, Tombouctou, Djenné et Ségou à St Louis dans le jour moderne Sénégal sur la côte ouest. Le livre décrit les multiples et dangereuses aventures que vont vivre les trois hommes.
Journey to the Centre of the Earth is an 1864 science fiction novel by Jules Verne. The story involves German professor Otto Lidenbrock who believes there are volcanic tubes going toward the centre of the Earth. He, his nephew Axel, and their guide Hans descend into the Icelandic volcano Snæfellsjökull, encountering many adventures, including prehistoric animals and natural hazards, before eventually coming to the surface again in southern Italy, at the Stromboli volcano.
La famille Zermatt, comptant deux parents et trois enfants est victime d'un naufrage au large de l'Indonésie. Ils échouent sur une île déserte, plutôt paradisiaque et vont s'y installer petit à petit avec courage et détermination, pour atteindre un réel confort sur cette grande île où ils ne manquent de rien car animaux, fruits et plantes abondent... La famille Zermatt vit aujourd'hui des jours heureux sur son île la Nouvelle-Suisse, bien qu'espérant toujours qu'un navire les récupère. Ce navire arrive enfin: il s'agit de la Licorne, vaisseau de guerre britannique...
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
Le capitaine Len Guy, de Liverpool, était, pour les trois cinquièmes, propriétaire de l'Halbrane qu'il commandait depuis six années environ. Il trafiquait dans les mers méridionales de l'Afrique et de l'Amérique, allant d'îles en îles et d'un continent à l'autre. Si sa goélette ne possédait qu'une douzaine d'hommes, c'est qu'elle se consacrait uniquement au commerce. Pour la chasse des amphibies, phoques et veaux marins, il eût fallu un équipage plus nombreux avec les engins, harpons, foënes, lignes, exigés pour ces rudes opérations. J'ajoute qu'au milieu de ces parages peu sûrs, fréquentés à cette époque par des pirates, et aux approches des îles qui doivent être tenues en défiance, une agression n'eût pas pris l'Halbrane au dépourvu: quatre pierriers, une suffisante quantité de boulets et de paquets de mitraille, une soute aux poudres convenablement garnie, des fusils, des pistolets, des carabines accrochés aux râteliers, enfin des filets de bastingage, cela garantissait sa sécurité.
This narrative will comprehend not only all the explorations made in past ages, but also all the new discoveries which have of late years so greatly interested the scientific world. In order to give to this work-enlarged perforce by the recent labours of modern travellers, -all the accuracy possible, I have called in the aid of a man whom I with justice regard as one of the most competent geographers of the present day: M. Gabriel Marcel, attached to the Bibliothèque Nationale. With the advantage of his acquaintance with several foreign languages which are unknown to me, we have been able to go to the fountain-head, and to derive all information from absolutely original documents. Our readers will, therefore, render to M. Marcel the credit due to him for his share in a work which will demonstrate what manner of men the great travellers have been, from the time of Hanno and Herodotus down to that of Livingstone and Stanley. JULES VERNE.
Le bourgmestre était un personnage de cinquante ans, ni gras ni maigre, ni petit ni grand, ni vieux ni jeune, ni coloré ni pâle, ni gai ni triste, ni content ni ennuyé, ni énergique ni mou, ni fier ni humble, ni bon ni méchant, ni généreux ni avare, ni brave ni poltron, ni trop ni trop peu, - ne quid nimis, - un homme modéré en tout; mais à la lenteur invariable de ses mouvements, à sa mâchoire inférieure un peu pendante, à sa paupière supérieure immuablement relevée, à son front uni comme une plaque de cuivre jaune et sans une ride, à ses muscles peu saillants, un physionomiste eût sans peine reconnu que le bourgmestre van Tricasse était le flegme personnifié. Jamais, - ni par la colère, ni par la passion, - jamais une émotion quelconque n'avait accéléré les mouvements du coeur de cet homme ni rougi sa face; jamais ses pupilles ne s'étaient contractées sous l'influence d'une irritation, si passagère qu'on voudrait la supposer.
The Underground City by Jules Verne; includes 45 illustrations by Jules-Descartes Férat. Also published as The Child of the Cavern; or Strange Doings Underground, Black Diamonds, Black Indies, Child of the Cavern, or Strange Doings Underground. The fortunes of the mining community of Aberfoyle near Stirling, Scotland. Receiving a letter from an old colleague, mining engineer James Starr sets off for the old Aberfoyle mine, thought to have been mined out ten years earlier. Starr finds mine overman Simon Ford and his family living in a cottage deep inside the mine. Mysterious and unexplained happenings start to occur around the main characters, attributed initially to goblins and fire-maidens. Suspicious, Harry continues his explorations of the cavern system, where down a deep shaft, he discovers a young orphan girl named Nell. Over the course of the next few years Nell is adopted by Simon and Madge but reveals nothing of where she came from, only that she had never been out of the mine.
We are happy to announce this classic book. Many of the books in our collection have not been published for decades and are therefore not broadly available to the readers. Our goal is to access the very large literary repository of general public books. The main contents of our entire classical books are the original works. To ensure high quality products, all the titles are chosen carefully by our staff. We hope you enjoy this classic.
Le canot suivit donc le littoral à une distance de deux encâblures au plus, en évitant les écueils dont ces atterrages étaient semés et que la marée montante commençait à couvrir. La muraille allait en s'abaissant depuis l'embouchure de la rivière jusqu'à la pointe. C'était un amoncellement de granits, capricieusement distribués, très-différents de la courtine, qui formaient le plateau de Grande-Vue, et d'un aspect extrêmement sauvage. On eût dit qu'un énorme tombereau de roches avait été vidé là. Point de végétation sur ce saillant très-aigu qui se prolongeait à deux milles en avant de la forêt, et cette pointe figurait assez bien le bras d'un géant qui serait sorti d'une manche de verdure.
"The Palik Series of Jules Verne, Published in conjunction with the North American Jules Verne Society, Edited by Brian Taves"Long before Verne stories had formed the basisfor such movies as Around the World in 80 Days,many of his plays were theatrical blockbusters onthe 19th century stage. Expert scholarly researchintroduces four of Verne's plays written in his youth,translated by Frank Morlock. Verne's themes rangefrom romantic comedies to a scientist's discovery thatthere may not be such a difference between humanand ape after all!
Tilmeld dig nyhedsbrevet og få gode tilbud og inspiration til din næste læsning.
Ved tilmelding accepterer du vores persondatapolitik.