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Dans ce livre, Marcelle Sauvageot est attentive aux murmures de l'âme, aux destructions amoureuses les plus ténues, aux faux-fuyants et ... à l'hypocrisie des hommes. Commentaire aurait dû être une date dans la littérature féminine écrit Clara Malraux dans ses Mémoires, Premier livre écrit par une femme qui ne soit pas de soumission, précis comme un oeil masculin, l'oeil s'y pose sur l'ami-ennemi sans servilité . Le texte est attachant par ce mélange de lucidité et de sensibilité. Un petit volume si amer, si pur, si noble, si lucide, si élégant, si sévère et d'une tenue si haute dans son allure désolée et déchirée. On serait presque tenté de dire que c'est là un des chefs-d'oeuvre de la plume féminine, confie Paul Claudel, s'il n'était inconvenant d'introduire une idée de littérature dans cette confession d'une fierté clairvoyante et meurtrie. . Et le sanatorium devient sous la plume de Marcelle Sauvageot un théâtre d'ombres, pour ce monologue évoquant par exemple ces toux incessantes qui hachent les nuits . Puis rajoutant: Et moi-même, je tousse en réponse pour vérifier l'état de mes poumons. Vais-je sentir ce creux, ce vide de soufflet crevé ? .
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