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"Les Portes de l'Enfer" présente une série de nouvelles horrifiques explorant des thèmes sombres et macabres. Chaque récit plonge le lecteur dans des univers où règnent l'étrangeté, le surnaturel et l'angoisse.Maurice Level, reconnu pour sa capacité à créer des atmosphères inquiétantes, utilise son talent pour captiver le lecteur à travers des histoires souvent teintées de mystère, de terreur et de finales surprenantes. Les récits abordent des sujets variés allant de la vengeance à l'obsession en passant par le paranormal."Les Portes de l'Enfer" s'inscrit dans la tradition littéraire du fantastique et de l'horreur en offrant une plongée dans des mondes terrifiants et dérangeants. Maurice Level y dépeint des scènes souvent cauchemardesques qui continuent de captiver les lecteurs à la recherche de frissons littéraires.
Assis dans un large fauteuil près de la cheminée, les coudes aux genoux, les mains tendues au feu, il parlait d'une voix lente, s'arrêtant brusquement pour murmurer: Oui... oui..., comme s'il avait eu besoin de reconnaître ses souvenirs et d'approuver sa mémoire fatiguée, puis reprenait la phrase interrompue. Sur la table traînaient des papiers, des chiffons, des livres. La lampe éclairait mal; je ne voyais de lui que sa face un peu grise, et ses mains qui, sous la flamme du foyer, faisaient deux longues taches.
Extrait: ...maladroite parfois, redoutable toujours, qui a nom La Justice. Il etait un peu comme un oiseau qui verrait tomber sur lui, lentement, de tres haut, un filet gigantesque, dont les mailles se resserreraient a tout instant, et qui pourrait comprendre que c'est le piege inevitable destine a tomber finalement sur lui. Il reflechit qu'en dehors de la scene terrible de la nuit, il n'avait rien fait, et que le temps passait; qu'il etait necessaire d'agir, et qu'il ne devait pas, s'etant engage deliberement dans cette voie, attendre tout du hasard. Il n'ignorait point les erreurs des enquetes de police, mais n'allait pas jusqu'a les croire si certaines qu'il n'eut qu'a les attendre patiemment. Son depart du Monde pouvait servir de base a un vague soupcon: il importait de preciser sa culpabilite apparente. Il lut, tout en marchant, plusieurs journaux. Tous etaient remplis de details futiles ou faux sur le crime. Deja, quelques-uns annoncaient que la police tenait une piste serieuse. Cela le fit sourire. Au Monde, un nomme Bejut, la veille encore charge de la Chambre des Deputes, avait pris sa succession. Sans doute, s'autorisant de l'information sensationnelle parue dans le journal, il avait revu le Commissaire de police, car il precisait avec une autorite ou l'on devinait le renseignement puise a la bonne source. Quand il eut fini sa lecture, Coche replia les journaux, et les mit dans la poche de son pardessus. Ainsi, pensa-t-il, il a suffi de deux ou trois meubles deplaces, de ma mise en scene maladroite, pour tout fausser! Ainsi la police qui est payee pour avoir du flair, se laisse prendre au premier appeau place sur son passage! Ainsi, a cote de tout ce qui aurait du avoir un poids reel dans la balance, a cote de la disparition de l'argenterie, a cote de la position meme du cadavre qui indiquait avec une effrayante nettete que le crime a ete commis au moins par deux hommes, on n'a vu...
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
Le gosse: pièce en un acte / de Maurice Level et Jean-José Frappa. et Le baiser dans la nuit: pièce en deux actes / de Maurice LevelDate de l'édition originale: 1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work was reproduced from the original artifact, and remains as true to the original work as possible. Therefore, you will see the original copyright references, library stamps (as most of these works have been housed in our most important libraries around the world), and other notations in the work.This work is in the public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.As a reproduction of a historical artifact, this work may contain missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
Un soir, boulevard Lannes à Paris, un journaliste aperçoit sous un lampadaire trois personnes suspectes. Il les observe dans l'ombre. L'un a le visage entaillé et les mains couvertes de sang. Un autre porte une boîte sous son bras et jette des coups d'œil par dessus l'épaule. Pourquoi semblent-t-ils avoir quelque chose à se reprocher ?Curieux, le journaliste remonte la piste et tombe sur un cadavre encore chaud. Il lui vient alors une idée brillante : falsifier les preuves laissées par les meurtriers et en créer de nouvelles pour écrire l'article de sa vie — des indices pouvant le conduire à être arrêté comme meurtrier…Premier roman de Maurice Level, « L'Épouvante » renouvelle le genre du roman policier. L'accusé est à la fois l'innocent et le coupable, le héro et le criminel de l'histoire.Maurice Level (1875-1926) est écrivain français et le cousin de Marcel Schwob. Après des études de médecine, il préfère devenir journaliste et s’intéresse à l’écriture. S’il aborde tous les genres, Maurice Level se spécialise dans le roman policier, le fantastique et la littérature d'épouvante. Il est l’auteur de « L'Épouvante », son premier roman, de « Lady Harrington » et « La Cité des voleurs ». Comme dramaturge, il publie « La Malle sanglante », pièce créée au Grand Guignol qui adapte souvent ses ouvrages. Il est considéré à bien des égards comme l’héritier du symbolisme, de Maupassant ou d’Edgar Allan Poe, mais innove le genre de l’épouvante par l’utilisation des photographies, la médecine, et les faits divers.
«... Philippe ne partit pas le mardi, et bien d’autres mardis suivirent, sans que l’idée de fuir le préoccupât de nouveau. D’abord espacées, ses relations avec M. Chanteleu étaient devenues fréquentes. Le voisinage, les occasions sans cesse renouvelées de se voir, avaient resserré leur intimité. Tout lui était prétexte pour aller à la maison aux toits rouges, et l’automne approchait sans qu’il s’aperçût que les arbres perdaient leurs feuilles. Un moment, il avait craint les journées brèves, les soirées longues ; maintenant, il aimait l’heure où l’on allumait les lampes, chez lui, parce qu’elle le rapprochait du lendemain, chez M. Chanteleu, parce que, dans l’intimité de la maison tiède, il voyait la lumière passer dans les cheveux d’Anne-Marie. Assis près d’elle, il évoquait les souvenirs de l’été disparu, leur première rencontre, leur retour de la gare et les promenades en forêt...»
"I am neither a roué nor a degenerate; yet there are days when certain visions rise so definitely before me and I am a prey to such violent desires, that if, hitherto, I have been able to resist their attraction, it is impossible for me to say whether, an hour hence, I shall be able to do so. At other times, I feel strangely weary, as though I had just accomplished some gigantic task. I feel that my bones are broken, my muscles torn, and it is when I wake up that I feel this-when I wake up, after eight hours' sleep and rest, following no excess and troubled by no dreams. . . . I also have fits of inexplicable rage; of fury that would urge me to any crime; preconceived dislikes; I am so sensitive and excitable, that a word, a gesture, are sufficient to unhinge me: I suffer almost physically from all these things."
Barrabas, premier roman-feuilleton de Maurice Level dans Le Journal, y paraît en 83 épisodes du 27 février au 20 mai 1920, parallèlement à la projection du film de Louis Feuillade sur les écrans. Conteur et chroniqueur depuis 1901 dans ce quotidien, Maurice Level n'intervient qu'à la demande du Journal, lequel aura été approché par Feuillade. Frêle vieillard - du moins en apparence - au faîte de sa puissance néfaste, Barrabas (Strelitz) est un chef de bande impitoyable. Fourbe et déloyal, il s'empare de la fortune du banquier Mortimer et tente ensuite de corrompre l'avocat Jacques Varèse qui commence à s'intéresser à ses activités. Ne parvenant pas à retourner celui-ci, une lutte féroce s'engage alors entre eux. Dans sa postface, Jean-Luc Buard revient longuement sur la réalisation du film. Une galerie photographique provenant des archives de M. Champreux, petit-fils de Feuillade, ainsi qu'un inventaire de 110 ciné-romans publiés en feuilletons dans les quotidiens de 1915 à 1927 terminent ce volume.
Après l'obtention de son diplôme de médecine, Maurice Loewel dit Level commence à écrire des contes et nouvelles. Le succès venant, il se consacre principalement à l'écriture, collaborant à de nombreux journaux et revues. Il reste connu comme un maître de la peur . En 1923, il publie La Cité des voleurs dans le magazine Lecture pour tous.Un jeune fils de famille entièrement ruiné, François de Guerlant, se voit forcé d'entrer dans une immense et ténébreuse affaire que dirige un extraordinaire patron : M. Dassy de Tharn. Dans cette affaire étrange, les gens n'ont aucun nom, mais de simples numéros. Piégé par son employeur, le jeune homme, sentant qu'il ne pourra jamais prouver son innocence, s'enfuit au Klondike où il se rallie à une bande d'individus louches se dirigeant vers une cité mystérieuse ignorée de tous les gouvernements, mais connu de tous les voleurs : une cité inquiétante, où vit la plus redoutable des associations disposant de ramifications innombrables dans le monde.
Après l'obtention de son diplôme de médecine, Maurice Loewel dit Level commence à écrire des contes et nouvelles. Le succès venant, il se consacre principalement à l'écriture, collaborant à de nombreux journaux et revues.Ce volume réunit pour la première fois les quarante contes que Maurice Level a publiés dans le quotidien sportif L'Auto, de 1904 à 1910, d'abord sous le pseudonyme de Hemelle. Journal littéraire méconnu dirigé par Henri Desgrange, L'Auto accueillait les plus importants écrivains-journalistes de son temps, tels Maurice Leblanc, Jean Richepin ou J.-H. Rosny qui se donnaient pour mission de promouvoir et de défendre l'éthique sportive par la littérature, contes, chroniques ou articles.Alternant conte bouffon ou tragique, Maurice Level cherche surtout des situations burlesques impliquant automobilistes ou cyclistes.Complété d'une bibliographie, ce volume a été préparé par Jean-Luc BUARD (co-fondateur et rédacteur en chef de la revue Le Rocambole).
Maurice Level (1875-1926) est connu comme un maître de la peur . Deux ans après sa mort, Le Matin publie en feuilleton son dernier roman, Le Marchand de secrets , resté inachevé et terminé par Jean Prudhomme.Dans la principauté de Salz et Béclar la police s'inquiète d'une infiltration de révolutionnaires étrangers. Des mesures sont prises pour que soit surveillée la région de Bellavista. Là se dresse un ancien rendez-vous de chasse, dans lequel le grand-duc Éric, escorté de son officier d'ordonnance, Wolfram d'Oxet, se rencontrerait fréquemment avec une femme. Or le jeu des alliances veut que le grand-duc Éric se marie avec Stéphanie de Weisbourg, archiduchesse d'Harreluise, un état voisin. Mais Éric aime Claudie, fille de François de Porquerolles, son grand-écuyer, et décide alors de s'enfuir avec elle. On les retrouve, peu de temps après, tous deux morts au rendez-vous de Bellavista. Les recherches s'égarent. Le mystère reste impénétrable.
L'épouvante / Maurice LevelDate de l'édition originale: 1908Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
WORK IS IN FRENCH This book is a reproduction of a work published before 1920 and is part of a collection of books reprinted and edited by Hachette Livre, in the framework of a partnership with the National Library of France, providing the opportunity to access old and often rare books from the BnF's heritage funds.
L'alouette: roman / Maurice LevelDate de l'édition originale: 1918Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work was reproduced from the original artifact, and remains as true to the original work as possible. Therefore, you will see the original copyright references, library stamps (as most of these works have been housed in our most important libraries around the world), and other notations in the work.This work is in the public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.As a reproduction of a historical artifact, this work may contain missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
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