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Il y avait autrefois un jeune seigneur qui aimait le jeu tant et si bien qu'il perdit un jour tout ce qu'il possédait et fut forcé de se retirer dans sa dernière demeure, un petit manoir dans les collines de Cava.Trois ans s'étaient écoulés depuis qu'il vivait dans la solitude. La journée il chassait, le soir il jouait aux cartes avec le métayer.Un jour, en revenant d'une chasse, Frederigo fit une incroyable rencontre : Jésus-Christ suivi de ses apôtres vint frapper à la porte de son manoir.«Federigo» est un conte qui allie mythologie grecque et religion catholique. Il raconte l'histoire de Frederigo, un joueur de carte capable de berner la mort.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Le professeur Wittembach se rend un jour en Lituanie au château du comte Szémioth pour y étudier d'anciens manuscrits.À peine le professeur s'installe-t-il au château que déjà on lui raconte des histoires à glacer le sang. La comtesse serait devenue folle de peur après s'être fait lacérer par les griffes d'un ours ; un homme se serait fait agresser à son tour par une bête féroce...Et peu à peu ce que le professeur croit être des histoires devient réalité...Inspirée par la fameuse légende de Jean de l'Ours, «Lokis» est la dernière nouvelle écrite par Prosper Mérimée. Empreinte de fantastique, elle relate le séjour d'un philologue en Lituanie, et l'apparition d'un homme-ours à la suite d'un sombre évènement. «Jean de l'Ours».Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Il y a bien longtemps, le village d'Hamelin fut envahi par des rats aussi tenaces qu'agressifs. Les terres devinrent noires et grouillantes. Pas un grain de blé n'avait échappé au fléau. On avait pourtant tout essayé: les chats, le poison, les pièges. Rien n'y faisait.Alors que les habitants mourraient de faim, un étrange personnage se présenta devant le bourgmestre de la ville. Il portait un chapeau pointu, un pourpoint rouge, et affirmait pouvoir délivrer Hamelin des rats à l'aide d'une flute en bronze.Le conte «Le Preneur de Rats» raconte l'histoire d'un magicien capable de prodiges, à condition d'être justement rémunéré.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Monsieur Seguin avait perdu six chèvres de la même façon. Elles s'ennuyaient accrochées à leur corde. Un matin, elles la cassait, s'en allaient dans la montagne et profitaient de leur liberté. Là-haut, le loup les dévorait.Cette fois-ci, Monsieur Seguin avait choisi une jeune et jolie chèvre, Blanquette, et l'avait attachée au plus bel endroit du pré, en lui laissant beaucoup de corde et des buissons d'aubépines. Elle ne s'ennuierait pas ainsi...Mais blanquette, comme toutes les autres, préféra un jour la montagne et sa bruyère au pré vert et sa sécurité.Parue dans les «Lettres de mon Moulin», «La chèvre de Monsieur Seguin» est une histoire émouvante aux senteurs de province — un classique incontournable. Alphonse Daudet (1840-1897) naît et grandit en Provence. Suite à la ruine de son père, il devient maître d'étude à Alès pour subvenir aux besoins de sa famille. Cette période difficile lui inspirera «Le Petit Chose» (1868). Il se rend ensuite à Paris, où il acquiert une notoriété littéraire. Il devient journaliste et publie un recueil de poèmes «Les Amoureuses». Suite à des relations avec l’entourage de l'impératrice Eugénie, il contracte la syphilis, maladie qu’il subira jusqu’à la fin de sa vie. En 1862, Alphonse Daudet publie 17 pièces de théâtre, puis il se rend en Provence afin de s’inspirer de sa région d’enfance pour écrire ses célèbres contes des «Lettres de mon Moulin» (1866). Durant la fin de sa vie, il subit les complications de la syphilis. Il est aussi sollicité par Edmond Goncourt pour fonder un groupe littéraire qui décernera chaque année un prix à un ouvrage écrit en prose — le prix Goncourt.
Un couple d'amant s'était donné rendez-vous à la gare. Tous deux prirent le train en direction d'un hôtel où ils avaient réservé une chambre sous de faux noms.Alors qu'ils se croyaient seuls dans le compartiment du train, un Anglais habillé de noir, l'air grave, entra et s'installa dans un coin. Dans son sac, le couple aperçut une grosse liasse de billets.Le train s'arrêta, et les amants impatients rejoignirent la chambre dite «bleue», non sans être témoins des colères de l'Anglais sur le quai, et de son entrée dans la chambre accolée à la leur.Qu'importe, les amants profitèrent de leur soirée le visage rayonnant, heureux de se retrouver finalement seuls. Quand soudain, dans la chambre voisine, un cri retentit, suivi d'un lourd fracas...La nouvelle «La Chambre Bleue» raconte l'histoire d'un Anglais suspect, et d'une soirée amoureuse perturbée par ses mystérieux agissements.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
XIXe. Cette nuit-là, la lune est rouge et le sang coule. Un jeune homme à peine sorti de l'école militaire s'est retrouvé dans le chaos d'une bataille. Les Français lancent leur assaut contre les fortifications Russes. L'artillerie, la fumée, les débris et les sifflements des balles : tout rend la progression aussi héroïque que dangereuse.Publiée en 1829 dans «La Revue Française», la nouvelle «L'Enlèvement de la Redoute» est un récit, inspiré de faits réels, sur les horreurs des guerres du XIXème siècle.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Une vénus en bronze est retrouvée dans la petite ville d'Ille. A peine sortie de terre, on ne peut qu'être admiratif à la vue de ses formes douces et voluptueuses. Mais qu'est-elle vraiment? Si elle déchaîne les passions, une froide rudesse semble émaner de son éternel charme. Tandis que les noces de M. Alphonse et de Mlle de Puygarrig se préparent, ce serait une erreur d'ignorer l'inscription sur le socle... Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
À peine de retour Corse, Orso della Rebbia doit choisir malgré lui: «schioppetto, stiletto o strada», le fusil, le stylet ou la fuite. Sa sœur Colomba, gardienne des traditions, lui rappelle son devoir de chef de famille: venger leur père assassiné deux ans plus tôt par une famille ennemie. Orso doit faire face aux provocations et aux ruses de Colomba, tiraillé entre dignité et honneur, à la frontière de l'irréparable.Inspiré par son voyage en Corse, Mérimée nous entraîne au cœur de ses vendettas et de ses mœurs.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
En 1817, un mysterieux criminel surnomme Jean Diable seme la terreur. Gregory Temple, le Superintendant de Scotland Yard reconnu comme un des meilleurs detectives est a sa poursuite. Tous les indices le menent progressivement au milieu de l'ocean Atlantique, a Sainte-Helene, la prison de Napoleon. Considere comme l'un des premiers detectives d'Europe, Gregory Temple arrivera-t-il a dejouer les plans d'un adversaire qui se veut insaisissable?Jean Diable inventera, bien avant Sherlock Holmes et Lecoq, un genre moderne: le thriller.-
Lettres à une autre inconnue / par Prosper Mérimée, ...; Avant-propos par H. Blaze de BuryDate de l'édition originale: 1875Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Tamango, un guerrier Sénégalais, a pour métier d'échanger les hommes comme l'on marchande du bétail. Un jour, sous l'effet de l'alcool et de la colère, Tamango vend par erreur sa femme au capitaine Ledoux. Ce dernier prendra le large avec les esclaves qu'il a acheté. Les rôles s'inverseront pour Tamango, bien décidé à embarquer à bord de l'Espérance pour réparer un geste qu'il regrette.À travers cette nouvelle saisissante, Mérimée aborde au XIXe siècle la traite négrière, pourtant interdite depuis 1815, sous l'angle critique: c'est un véritable réquisitoire contre l'esclavagisme.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Aux abords du Nil, dans la vallée des Rois, un jeune aristocrate anglais et un égyptologue allemand font la découverte d'un tombeau jusqu'alors scellé depuis 3 500 ans. A l'intérieur, gît la momie impeccablement conservée d'une jeune fille à la beauté bouleversante. A ses côtés, un papyrus raconte son histoire au temps des Pharaons. Elle s'appelle Tahoser, est fille d'un grand prêtre d'Egypte, et elle voue un amour inconditionnel pour un hébreux, esclave de Pharaon. Un Pharaon qui, riche et puissant, saura manifester sa jalousie.Théophile Gautier reconstitue, grâce à l'imagination et une documentation précise, une Egypte antique qu'il romance en une œuvre révélatrice de la splendeur de la civilisation du Nil.Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique «La Cafetière», genre qu’il utilisera aussi dans «Avatar» en 1856, et «Le Roman de la momie» en 1858. En 1852, il publie «Émaux et Camées», un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie «Les Fleurs du Mal».
George Sand est grand-mere, et c'est pour faire rever ses petites-filles qu'elle redige dix contes merveilleux. D'ailleurs, c'est toujours d'un enfant dont il s'agit, un peu dans la lune, et surtout reveur. Ici, Emmi est protege dans le creux d'un chene, et la, Elsie aux gros yeux voit des insectes danser. S'il revent, on ne peut que croire a ce monde vivant, a ce monde peuple d'esprits qui nous veulent du bien. Les fleurs parlent, les montagnes s'animent, et les grenouilles sont parfois reines. Les histoires sont delicates, emplies de conseils qui colorent la vie des enfants, comme des adultes. L'on apprend a voler de ses propres ailes, a suivre ses ambitions en ecoutant les statues parler, a accepter les montagnes endormies, et a entendre les nuages chanter.Contes d'une Grand-mere c'est un moment doux, reposant, mais surtout, des reveries de grand-mere qui n'ont de cesse de faire songer.-
Un jour d'automne, les parents de Fortunato partent dans le maquis de Porto-Vecchio, en Corse, visiter un de leurs troupeaux. Fortunato, lui, garde la maison familiale. Mais à peine a-t-il le temps de profiter de sa solitude qu'il entend des coups de feu au loin. Un certain Gianetto, blessé à la cuisse, le supplie de le cacher en échange d'or. Et peu après, six hommes armés font irruption, et lui demande de leur indiquer la cachette de Gianetto en échange d'une belle montre. Fortunato doit choisir. Et bientôt, son père—Mateo Falcone—sera de retour...Dans cette nouvelle, Prosper Mérimée décrit une Corse qu'il n'a vu qu'en livre ; et dans un univers sombre, il pousse à son comble l'honneur et la honte.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Indiana, une jeune femme mariee au colonel Delmare, est contrainte a vivre sous l'autorite et la rudesse de son epoux. Elle manque de nouveaute, d'une fougue qui puisse la faire echapper a cette routine monotone et parfois violente. Tout la disposait a etre sauve par un amour naissant, par un homme seduisant: Raymon. Mais le desir du jeune homme semble jour apres jour trop intense, devorant son entourage et Indiana. Raymon n'est-il pas aussi rude que le colonel?Oppresse par son mariage, et cette nouvelle relation destructrice, Indiana est le symbole d'un genre. George Sand denonce, pour la premiere fois camouflee derriere un pseudonyme masculin, les conditions de vie des femmes du XIXe siecle."e;J'ai ecrit Indiana avec le sentiment non raisonne, mais profond et legitime, de l'injustice et de la barbarie des lois qui regissent encore l'existence de la femme dans le mariage, dans la famille et dans la societe ."e;-
Carmen est une femme sauvage, sans tendresse, qui suscite la passion au premier regard. C'est le cas du narrateur, personnage que le mythe a delaisse, un savant francais ensorcele par la belle gitane, mais aussi de Don Jose qui lui voue un amour merveilleux et funeste. Carmen est insaisissable, envoutante. C'est une incarnation de la litterature, un symbole de la liberte dans l'amour, de la corrida du langage - mais l'aimer conduit au pire destin.Prosper Merimee revisite avec ironie un monument de la litterature francaise: une Espagne romantique aux bohemiens transis d'amour.-
En 1720, Nicolas Treml de La Tremlays voit chaque jour sa terre natale, la Bretagne, mise a mal par le pouvoir royal. Soutenu par tous les pauvres gens de la foret de Tremlays, le marquis fait une tentative desesperee: defier en duel le regent de France. Mais pendant son absence, son heritier, Georges, disparait alors qu'il chassait, et c'est le severe Herve de Vaunoy qui s'empare du domaine. Une periode de chaos s'installe alors...Mais un jour, surgit de la foret le Loup Blanc, un mysterieux justicier bien decide a retablir l'ordre.-
Il ricco proprietario terriero De Peyhorrade scopre delle statue di bronzo di Venere sulla sua proprietà. De Peyhorrade domanda ad un esperto di antiquariato, che esamina le statue e ne conferma il buono stato. Al suo arrivo, l’esperto è che colpito dalla bellezza di Clara, la nipote di Mr De Peyhorrade, che assomiglia in modo impressionante alla statua... Da questo libro fu tratto un film omonimo in Italiano diretto da Lamberto Bava nel 1981.Prosper Mérimée è stato uno scrittore, storico e archeologo francese. I suoi racconti sono intrisi di una sobria tragicità e hanno uno stile nitido e classico, anche se mantengono il loro carattere fantastico rivelando la forza dello scrittore. Mérimée amava il misticismo, la storia e l’inconsueto e fu influenzato dai romanzi di Sir Walter Scott e dai drammi psicologici di Alexander Pushkin. Fu amico di Stendhal e condusse una vita da bohémien.
Korsika, Anfang des 19. Jahrhunderts. Mateo Falcone ist ein respektierter und angesehener Mann und lebt zusammen mit seiner Frau und seinem Sohn Fortunato auf einem Gutshof. Als Mateo Falcone und seine Frau eines Tages aufbrechen, um nach einer Schafherde zu sehen, lassen sie ihren zehnjährigen Sohn auf dem Gut zurück. Wenig später taucht ein angeschossener Bandit auf dem Gut auf, der sich vor der Polizei verstecken möchte. Fortunato versteckt ihn daraufhin in einem Heuhaufen. Als die Polizei eintrifft, verneint Fortunato den Banditen gesehen zu haben. Mit einer List entlocken die Polizisten dem Jungen sein Geheimnis und der Bandit wird festgenommen. Als Mateo zurückkehrt und von der Schmach erfährt, die sein Sohn über die Familie gebracht hat, sieht er nur einen Ausweg, die Ehre der Sippe zu retten: Der Verräter muss getötet werden.Prosper Mérimée (1803-1870) war ein französischer Schriftsteller. Er studierte Archäologie und Philosophie, war mit dem Autor Stendhal befreundet, besuchte die literarischen Salons in Paris und verkehrte mit dem Kaiserpaar. Zu literarischer Berühmtheit gelangte er mit seinen phantasievollen Novellen. Neben Novellen, Balladen und einem historischen Roman verfasste er auch literaturkritische und kunsthistorische Studien und half Napoleon III. bei der Abfassung seiner historischen Werke.
Inhalt: • Die etruskische Vase • Die Venus von Ille • Das Gäßchen der Madama Lucrezia • Djuman • Die Seelen des Fegefeuers • Die etruskische Vase ist eine Novelle aus dem Jahr 1830. Zur Handlung: Ein junger Mann aus der besten Pariser Gesellschaft muss erkennen, die Zweifel an der Treue der Geliebten waren unzutreffend. Er bestraft sich für seinen Wankelmut. • Die Venus von Ille: Der Ich-Erzähler wird von dem Grundbesitzer Monsieur de Peyrehorade in der nahegelegenen französischen Gemeinde Ille zu einer Hochzeitsfeier eingeladen. Ganz in der Nähe des Herrenhauses, neben einem Ballspielplatz, steht die Statue einer bronzenen Venus. Glück bringt dieses Relikt aus der Römerzeit des Roussillon dem kunstinteressierten Besitzer nicht. Der Hochzeitsgast aus Paris beschaut sich die Venus ganz aus der Nähe und bemerkt in dem "unglaublich schönen Antlitz" so etwas wie den Ausdruck feinen Hohns; ja Grausamkeit sogar. Höllischer Hohn spricht aus den mit "Silber eingelegten, gleißenden Augen". • Das Gäßchen der Madama Lucrezia ist eine Novelle aus dem Jahr 1846. Der Ich-Erzähler, ein junger Mann aus Paris, wird in Rom mit seinem italienischen Gastfreund verwechselt. • Prosper Mérimée (1803-1870) war ein französischer Dramatiker, Historiker, Archäologe und Autor von Kurzgeschichten.
Aus dem Buch: "Einerseits hatten sich hohe Verwandte die Beine abgelaufen, um die Interessenangelegenheiten zu regeln. Andererseits gehörte Chaverny einer guten Familie an. Damals war er noch nicht zu dick, war munter, und, in der ganzen Ausdehnung des Wortes das, was man einen guten Jungen nennt. Mit Vergnügen sah Julie ihn bei ihrer Mutter verkehren, weil er sie zum Lachen brachte, indem er ihr Geschichten aus seinem Regimente mit einer Komik erzählte, die nicht immer von gutem Geschmack war." Prosper Mérimée (1803-1870) war ein französischer Schriftsteller.
Carmen is the most famous novella of French author Prosper Merimee, it formed the basis of the composer Bizet's acclaimed opera of the same name, and is presented here in hardcover.The titular Carmen is a Romani woman of astounding beauty, attracting many would-be suitors and romantic partners with both her physical charms and intense knowledge of fortune telling. The fast-paced and high-blooded drama combines lustful romance with tragedy, whereby jealousy and anger combine to form three episodes fitfully cascading with tension. The final part of the book is a non-fictional account of the Romani people, with whom Merimee held a fascination. It was through study of the customs and practices of the Romani that he wrote this book, which itself became a scholarly source as well as the inspiration for Bizet's world famous operatic composition.
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