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"En Juin 2001, alors que j'étais assistante sociale dans un office HLM, mon univers a basculé suite à une grave agression dans le cadre de mon travail. Agressée par un locataire avec une hache et blessée grièvement, je raconte le parcours du combattant pour se reconstruire, affronter les administrations, la justice et comment petit à petit je retrouve le goût de vivre.L'émotion et l'humour se côtoient dans une courte promenade pour raconter, la violence physique et morale, les blessures visibles et invisibles".
Langue millénaire, le yiddish a été le vernaculaire des populations juives d'Europe rhénane et orientale jusqu'au génocide nazi. Caractérisée par une fusion de langues « souches », cette langue, à l'important substrat germanique et s'écrivant en caractères hébraïques, a toujours été minorisée. C'est aujourd'hui une langue « en danger », selon la classi cation de l'UNESCO et il est difficile d'avancer avec précision le nombre actuel de yiddishophones, on l'estime à plus ou moins un million de personnes en 2010. Cette recherche porte sur un phénomène encore peu documenté en France : la fréquentation de cours de yiddish. Tandis que le contexte des échanges européens est propice à une idéologie de l'« utilité » de la langue étrangère, ici c'est le rapport subjectif aux langues qui a été exploré. Basée sur une enquête de terrain précise et à partir de sept entretiens et d'une enquête par questionnaire, la recherche est à la croisée de questions sociolinguistiques (le langage en tant que fait social), didactiques (enseignement/apprentissage) et anthropologiques (les univers de relations qui constituent un groupe social).Cet ouvrage est lauréat du Prix scientifique L'Harmattan.
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