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Si la démocratie représentative a été pendant longtemps l¿idée maîtresse et la référence pour diriger les hommes, elle tend à ne plus l¿être depuis l¿émergence de la gouvernance et de la démocratie participative. Aujourd¿hui, les États et les entreprises recourent à ces concepts pour assurer la stabilité sociale et pour se développer. Pour cette raison, la gouvernance a le vent en poupe et est devenue une référence pour conduire une entreprise et la société en général. Plusieurs idées sont discutées dans ce livre qui s¿adresse à toute personne qui cherche à reculer les limites de ses connaissances sur les concepts de gouvernance, d¿action publique et de démocratie participative ou qui est appelée à diriger des femmes et des hommes. La gouvernance a l¿avantage de rendre effective et directe la participation des citoyens ordinaires à l¿exercice du pouvoir. Mais qüest-ce que la gouvernance ? Pourquoi revendique-t-on ce concept pour gouverner les Républiques modernes ? Dans ce livre, l¿auteur propose la création d¿un quatrième pouvoir qüil appelle « pouvoir délibératif » en plus de trois pouvoirs que nous connaissons. Ce quatrième pouvoir sera détenu par les citoyens (peuple).
Le questionnement sur l¿identité nationale et la forte médiatisation des accommodements raisonnables ont semblé créer des remous sur des aspects d¿appartenance au Québec. Comment certaines communautés culturelles se positionnent-elles par rapport à l¿identité nationale québécoise ? Pour trouver des réponses à cette question, nous avons réalisé des entrevues semi-dirigées avec des informateurs clefs chez trois communautés culturelles du Québec; arménienne, juive et rwandaise. Cette recherche constate que les répondants des communautés qui ont en mémoire le souvenir d¿un génocide ont des opinions variées sur le débat de la « nation québécoise ». Certains encouragent fortement la promotion de cette identité, tandis que d¿autres n¿y voient qüun débat inutile et interminable. De plus, les participants des communautés culturelles se lient au plan de l¿appartenance à un ou à des pays qui sont représentatifs de leur identité. Dans cette perspective, s¿identifier à la « nation québécoise » signifierait appartenir à plus d¿une nation.
Cet ouvrage se concentre sur les phénomènes de l¿inclusion et de l¿exclusion à l¿intérieur de l¿identité nationale. En fait, chaque identité entraîne une inclusion et une exclusion. Celles-ci peuvent être considérées comme étant la distinction fondamentale de l¿identité. À propos de l¿identité nationale, l¿exclusion a une portée éthique et politique, les exclus ne possédant pas toujours les ressources et les droits nécessaires à leur épanouissement. Les solutions apportées par les chercheurs pour résoudre le problème de l¿exclusion due au nationalisme, que ce soit une nouvelle conception de la nation ou un régime de citoyenneté pluraliste, n¿ont pas porté fruit. Cela serait dû au fait que ceux-ci mettent en avant une identité allant automatiquement exclure une partie de la population. Cet ouvrage s¿intéresse plus particulièrement au cas de l¿identité nationale québécoise. Le Québec est une minorité au sein de l¿ensemble canadien, mais aussi une majorité devant faire face aux revendications de groupes minoritaires.
Cette étude interroge la possibilité de modifier l'action publique locale par le recours à la participation citoyenne. L'auteur adopte pour ce faire une approche pragmatiste afin de déterminer les conditions réelles de la mise en ¿uvre des dispositifs participatifs et de leurs effets concrets en s'appuyant sur l'exemple de la ville de Nancy et du Conseil général de Meurthe-et-Moselle. Les conditions de l¿émergence d¿une norme participative guidant l¿action publique paraissent indiquer une certaine retenue, caractérisée par la restriction du champ d¿application des procédures participatives ou des savoirs citoyens mobilisés. Les effets de l¿application de la norme participative sur l¿espace public local suscitent également des interrogations. Les dispositifs étudiés semblent très éloignés des cadres théoriques délibératifs et participatifs. Le défaut d¿inclusion, la persistance de logiques de politisation propres au système représentatif interrogent en définitive sur la capacité de la démocratie participative à relever les défis qüelle se propose de surmonter.
Cet ouvrage s¿attache à analyser la politique étrangère du Maroc envers Israël opéré de 2000 à 2010 par Mohammed VI. Dans un premier temps, nous relevons les éléments les plus marquants de l¿histoire des relations maroco-israéliennes afin de dresser un tableau des diverses positions déjà adoptées par le Maroc. Selon nous, la politique actuelle du Maroc est ferme mais demeure ouverte envers Israël. En conséquence, notre second objectif sera de mettre en lumière les facteurs qui motivent le régime marocain à adopter une ligne de conduite modérée. Pour ce, nous analyserons plusieurs éléments externes déterminants, mis en avant par les écoles de pensée théorique libérale, réaliste et identitaire, pour expliquer l¿ouverture dont fait preuve le royaume chérifien vis-à-vis de l¿Etat hébreux. Notre objectif final est donc de dresser un panel théorique actualisé des facteurs déterminants de la politique étrangère du Maroc envers Israël.
Au Mali depuis l'avènement du multipartisme au début des années 1990 à nos jours, le taux de participation électorale n¿a jamais atteint 50% des électeurs inscrits. Tout notre propos a tourné autour de la question cruciale, à savoir : Quels sont les facteurs explicatifs de l¿abstentionnisme électoral au Mali de 1992 à 2007. ? Ainsi, compte tenu des contraintes d¿ordre matériel et temporaire dont toute recherche scientifique est assujettie, nous avons délimité le cadre de cette étude dans le temps et dans l¿espace en vue de mieux atteindre nos objections. Il s¿agissait de rechercher, de comprendre et d¿expliquer les principales motivations des abstentionnistes voire également les variables objectives qui sous-tendent l¿abstention électorale au Mali. Le comportement électoral en général et l¿abstentionnisme électoral en particulier ne peut être réellement perçu qüà travers la méthode sociologique. C¿est pourquoi, dans cette étude, nous avons emprunté d¿une part la méthode quantitative c'est-à-dire l¿enquête par questionnaire sur un échantillon représentatif de la population, et d¿autre part la méthode qualitative en procédant à des entretiens exploratoires.
L¿étude analyse et compare la diversité nationale au sein de la famille sociale-démocrate européenne. Elle présente l¿émergence et les évolutions politiques et idéologiques des partis sociaux-démocrates en Europe centrale et orientale jusqüau lendemain de l¿adhésion des pays à l¿Union européenne. L¿analyse compare ces partis avec les identités politiques et idéologiques des sociaux-démocrates occidentaux. Les partis dans les nouvelles démocraties à l¿Est apparaissent au cours de la période dite de « crise » de la social-démocratie occidentale et sont en même temps sujets à des influences des facteurs locaux, régionaux et au niveau global. L¿analyse des partis tchèque, bulgare et polonais souligne l¿importance des processus de l¿européanisation mais aussi des facteurs nationaux liés à l¿histoire et à la culture politique nationales. Les trois partis des PECO sont au gouvernement au moment de l¿adhésion à l¿UE, mais subissent des échecs après l¿intégration. Avec la crise, les sociaux-démocrates européens: occidentaux et des nouveaux pays membres, sont à la recherche commune de projets nouveaux réalistes.
Cet ouvrage porte sur le Cameroun, qui à bien des égards résume la situation d¿«une démocratie bloquée» en Afrique. L¿objectif principal est de répondre à la question : comment le fonctionnement de la démocratie est-il entravé au Cameroun ? Notre hypothèse est la présence du néo-patrimonialisme. Celui-ci, par l¿intermédiaire du présidentialisme et le clientélisme, sape le respect des règles démocratiques dans ce pays. Cette recherche qui s¿appuie sur l¿approche néo-institutionnaliste montre clairement que le néo-patrimonialisme est une composante de la gouvernance au Cameroun. Le président Paul Biya a instauré un régime hyperprésidentialisé, archaïque, autoritaire et néo-patrimonial. Il use de tous les moyens pour se maintenir éternellement au pouvoir. Le clientélisme est érigé en mode de régulation de la vie politique. Les pouvoirs législatifs et judiciaires sont aphones, aux ordres, phagocytés et constituent des bras séculiers d¿un régime pro-diluvien. La presse est muselée et l¿opposition officielle marginalisée. Si la contagion du printemps arabe peut difficilement se produire au Cameroun malgré la situation crisogène, un scénario à «l¿ivoirienne» est à craindre.
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