Bøger udgivet af Pleamar

Remplacer l'homme par un robot est un pléonasme, puisque l'homme en lui-même est déjà un robot conditionné soumis au règne du numérique. C'est pourquoi le poème, si poème est possible, doit être conçu comme un dérèglement, comme une négation qui se glisse à l'intérieur du cerveau de cet humanoïde parfait si cher aux transhumanistes. Je propose ainsi le poème-virus, qui donne envie au robot que nous sommes d'éteindre le système, fermer les yeux, les ouvrir, regarder la mer, se saouler à mort, l'envie aussi de se supprimer ou faire l'amour quand il en a envie et point barre !

Guiado por el fuego, su enemigo, he constituido esta antología dedicada al agua, el más fecundo elemento de la creación. Esencial a la vida en algunos confines de nuestra pisoteada tierra, empieza a escasear, lo que deja presagiar épocas horrendas. La poesía es tal vez uno de los mejores canales para invocarla, purificarla y hacerla brotar.

Notre vie, même immobile, est un perpétuel voyage. Je n'est plus un autre, prose en vers, pour ne pas dire pas en vers, est un récit de voyage, journal intime également, ainsi que un témoignage acerbe des réalités, utopies et rêves vécus par l'auteur pendant la période de sa vie comprise entre le printemps et l'automne de l'année 2013. Voyage aussi géographique qui nous amène à la côte Atlantique du Portugal, au nord de l'Espagne et bien évidement au sud de la France, pays ou l'auteur réside.

A force de se croiser dans la rue, PMP et JMDM, finissent par faire connaissance. Drôle et caustique, Déjà vu, est une pièce ayant pour thème l'amitié, l'amour. La quête de deux hommes solitaires que le destin amène à un face à face inévitable. Parviendront-ils à échanger leurs clefs ? A se libérer de l'appréhension qui les taraude ? La peur de l'autre, l'impossibilité d'aimer. Partiront-ils ensemble sur la route qui ne mène nulle part ? Tant des questions sans réponse... Sans tracer une ligne certaine, Déjà vu parvient à nous procurer encore une espérance, à nous montrer des routes encore inexplorées dans le vaste désert de la solitude qui précède l'oasis de l'amitié.

Froid ou pas froid ? Voilà la question.Pourquoi chaque jour il faut s'habiller ?On était si bien avant, nus comme Adam, bordel !Mais malheureusement, avec ce foutu péché tout est compliqué.Et la faute à qui ? Au maudit serpent !Eve n'est qu'une salope, voilà !Et on appelle ça la vie: on se réveille, on s'habille, on se déshabille, et tout ça jusqu'à l'infini !

La palabra, puesto que de ella se trata, es un eco que galopa en uno, cuando hay viento, su fluido autoriza la salida de aves cantoras, de aviones sin motor. Del interior viene, entra en la casa todavía en penumbras, parecida a esos mausoleos donde de noche, sólo se oye, el aleteo penitente de algunos murciélagos.

El objeto central de este poema no es el tango ni el vallenato, es el puro acordeón, como instrumento musical que con su fuelle es para mí una réplica perfecta del plexo solar. El órgano de la emoción.

"Inquiero más y más sonidos erguido en la espera añoro lo que jamás llega raudal de mi sangre resuello de oboes portentosa fuga de Bach corazón en cascada su latido clama se interrumpe torpe vuelve a palpitar no sabe hasta cuando incesante espera araño el silencio zumbo tarareo áridas palabras entran y se van aunque no a mi gusto las escribo ya".Libro de los mensajes, Athaix thoix pixel, mas que un poemario es un receptáculo de signos sonoros, a sabiendas que desde la antigüedad, poetas y filósofos como Pitágoras, se dieron a la tarea de medir la música de esferas.