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Le petit roman libertin que nous rééditons en ces pages eut, dès le jour de son apparition, un succès incontestable, quoique discret. Discret, car le livre ne méritait pas de retentissement, et que sans doute quelques contemporains, notoires dans les alcôves vénales, y étaient malignement égratignés. Incontestable, car de 1745 à 1803 il a reparu fréquemment sous des titres différents.
" ... François Fard atteignait déjà le premier étage, lorsqu'il arriva sur le palier. Mais plus courageux que le jeune fiancé, il résolut de se vêtir sur-le-champ. Hélas, par la plus extravagante des fatalités, il possédait exactement sa veste, une robe en tissu éponge, une fine chemise de batiste, mais point de pantalon. Il demeura une minute atterré. Cependant, en honnête homme, il préféra descendre les cuisses au vent plutôt que de s'approprier une jupe ne lui appartenant pas. Il eut même l'attention de l'accrocher au bouton de la porte, où une voisine la chipa le lendemain matin..."
... La jolie madame de Condoux, par une précaution contraire, et quoiqu'on ne la vît ni danser ni disparaître, donna beaucoup à penser à ceux qui remarquaient que dans une loge du haut, en dehors de laquelle on la voyait se pencher beaucoup, elle recevait coup sur coup des visites de gens appelés auxquels elle ne disait pourtant qu'un mot lorsqu'ils entraient, et presque rien quand ils faisaient retraite. Ce manége, qui n'avait peut-être au plus d'incivil que les apparences, avait duré toute la nuit...
Un valet d'auberge, chargé de jeter dans la boîte la première de ces lettres, et supposant, d'après le volume, qu'elle pouvait contenir quelque chose de mystérieux, la porta chez un jeune homme attaché, en sous ordre, à l'un des bureaux ministériels, et qui logeait dans l'hôtel. Ce commis, abusant de la circonstance, ouvrit le paquet ; mais au lieu de secrets d'État, il n'y trouva que des folies, qu'il transcrivit pour son amusement. Cette copie, qui a circulé, nous est parvenue, et c'est d'après elle que nous avons imprimé...
" ... Elle alla frapper d'abord à la chambre de Pasithée, qui, faisant semblant de dormir, fut quelque temps à répondre. Enfin voyant qu'on continuait de frapper, et entendant la voix de madame, elle se leva promptement du lit et nous vint ouvrir la porte. L'abbesse lui dit d'un ton résolu qu'elle voulait faire à l'heure même une visite générale de tout le couvent, et qu'elle était assurée qu'il y avait un homme qui s'était caché en quelque part..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.
... Il se complaisait à cette défloration morale, parce qu'il la trouvait jolie, avec ses petits seins ronds qui tendaient l'étoffe de la blouse, ses hanches dont la chair résistait sous la pression des doigts, ses cuisses fuselées qu'il se figurait tièdes et charnues. Quand il la serrait un peu plus fort, elle avait pour lui un regard languide qui disait tout son désarroi sensuel, toute sa rage effrénée de connaître entièrement le grand secret qui l'intriguait...
... Comme elle perdait haleine, ses seins remuèrent sous le léger corsage blanc. Il était bien tentant d'y porter la main. M. Hervart osa, et son geste fut accueilli sans indignation. Ils se regardèrent, désirant parler, mais ne trouvèrent pas de paroles. Alors leurs bouches se joignirent encore. M. Hervart pressait doucement le sein de Rose et une petite main serrait son autre main. Le moment était périlleux. M. Hervart le sentit et voulut mettre fin à ce contact. Mais la petite main serra plus étroitement sa main, cependant qu'un genou, s'ouvrant d'un mouvement légèrement convulsif, venait battre sa jambe. L'arc, à ce contact, se détendit. Les mains retombèrent, les lèvres se déjoignirent et, pour la première fois après un baiser, Rose ferma les yeux...
" ... Tout en parlant une de ses mains, égarée sur son amant, cherche à faire une diversion utile ; mais l'obstacle des situations contrarie ses desseins ; d'Arnance, par un mouvement officieux, et sans rien perdre de ses avantages, en facilite l'exécution, et ouvre un champ nouveau à de nouvelles tentatives. Toutes les barrières s'abaissent à l'envi sous les doigts de Zulmé ; l'Amour, impatient du joug, vole au-devant de sa libératrice, et sourit en voyant son flambeau dans les mains de sa mère. Elle en ressent bientôt les brûlants effets : les jouissances passives ne suffisent plus à ses désirs. Elle prend, à côté de son amant, une attitude plus commode, le presse sous le poids des baisers, et sa bouche de rose se prête pour un moment, à son tour, à la plus ravissante illusion..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.
" ... Absolument fou, il repoussa batiste et dentelles, mit à nu le délicieux buste de la jeune femme, la dépouilla de ses derniers voiles, goulûment, de ses lèvres asséchées, lui fit un vêtement magnétique et... après lui avoir fait courir sur tout le corps un long baiser de feu, prit possession de la voluptueuse créature qui, renversée sur les coussins de sa chaise longue, se pâmait, se tordait sous ces caresses passionnées..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.
" ... Lucy avait le visage empourpré, non de pudeur offensée, elle branlait sans trop de façons les grandes qui couraient après pour la joliesse de sa personne et de ses traits, mais parce qu'elle se sentait mâtée, et que de plus, elle n'éprouvait pas du tout le goût de gamahucher un con, quelle que fut la fille le portant. Mais elle se reconnaissait la plus faible : elle voyait Lisbeth relever de plus en plus les jupes, sortir son pantalon de ses pieds, se bien poser sur les reins pour prendre une attitude bien cochonne, étaler à ses yeux ses cuisses bien ouvertes, avec le con bâillant sur ses lèvres assez gonflées, avec les poils du minet blond châtain embroussaillés : elle suivait avec une humeur récalcitrante le doigt impératif qu'elle appliquait sur sa sexualité pour indiquer où elle désirait ses caresses ; Elle eut peur de la correction, elle s'approcha avec lenteur, se pencha petit à petit, étudiant cette féminité qui s'imposait, dans ses moindres replis, et Lisbeth ne sentit pas plus tôt son souffle sur ses cuisses, qu'elle lui lança les jambes autour du cou et la colla à sa moniche..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.
" Sous un ciel gris s'étend une plaine immense. À l'horizon, les objets confus nagent dans un cercle de brume de trois cent trente degrés, brisé seulement vers le sud par un mamelon verdoyant surmonté d'un clocher. Quoique parsemée de massifs et de bois, cette plaine couverte d'une haute chevelure de brandes et de bruyères, de loin semble inhabitée ; mais en la traversant on découvre çà et là, au détour d'un bouquet d'ormeaux, le toit d'une petite métairie avec son champ rougeâtre et son pré, dont le vert joyeux tranche sur le fond sombre de la lande ; le long du chemin, au bruit de vos pas, des juments, presque enfouies dans l'épaisseur de cette végétation sauvage, relèvent la tête et font cliqueter leurs entraves en sautant lourdement, tandis qu'au-dessus des bruyères, en même temps, surgit une cornette blanche, accompagnée d'une quenouille et de deux yeux noirs effarouchés et curieux..."
Dans le pénitencier russe de l'île Sakhaline, une Française, connue de ses infortunées collègues sous le numéro 1313, va mourir après avoir supporté patiemment, pendant vingt-cinq ans, des souffrances sans nom.Sur son lit de mort, elle appelle un jeune homme à son chevet, pour lui dire ses dernières volontés. Elle lui dévoile son passé, ce qu'elle attend de lui quand il quittera le bagne. Ce jeune homme s'appelle Dodekhan. Il est le fils de Dilevnor, que la mourante a connu. Il s'engage à retrouver le mari et le fils de la moribonde, dont celle-ci n'a pas eu de nouvelles depuis un quart de siècle.Dodekhan réussira-t-il à accomplir sa promesse, à retrouver les êtres chers de celle qui a mis en sa parole son ultime espoir...
Dominique et Patrice Martyl fêtent chaque année, avec une dévotion rituelle, l'anniversaire de leur mariage par un dîner, en tête à tête, dans le même restaurant du bois.Sur le chemin du retour, ils décident de s'arrêter chez leurs amis Antoine et Richard qui passent le week-end dans un pavillon du bord de l'Oise.Après avoir bu plus que de raison, être partis en virée, leur automobile se perd dans un petit chemin forestier du bois de St Germain.Soudain dans la lueur des phares, apparaissent trois danseuses et un homme semblant se livrer à une danse d'un charme poétique et sensuel...
... J'obéis. Un instant après, j'exhibais la splendeur de mon corps jeune aux yeux épatés de M. Jules. Il me contempla un moment, en connaisseur. Je m'étais approchée du divan sur lequel il reposait et, serrée contre lui, j'essayais de le griser sous la caresse profonde du baiser. Il me tenait dans une étreinte forte et ses mains douces palpaient les chairs de mes cuisses, mes seins fermes et durs, mon ventre aux lignes pures. Tout à coup, il se souleva, et tirant un paquet de ficelles de sa poche, il me le tendis...
Ce recueil comporte 4 nouvelles policières: Le gong mystérieux, Le fantôme de la villa Estève, Le chiffre fatal et L'homme sans nom. Elles mettent en scène un savant, le Professeur Auguste Bajolin (Van Dusen dans la version originale anglaise), qui résout des énigmes en grande partie par la puissance logique de son raisonnement scientifique et psychologique. Il est assisté d'un reporter astucieux, Henri Hatche (Hutchinson), pour les enquêtes de terrain préliminaires. Cette aide lui permet de tester ses hypothèses et d'agencer les différents éléments menant à la résolution des affaires qui lui sont soumises.
1775 : Lucie retrouve son père,le docteur Manette, injustement emprisonné pendant 18 ans à la Bastille. 1780 : Lucie Èpouse Charles Darnay qui avait été inculpé de haute trahison sur une dénonciation calomnieuse. Il est en réalité le neveu de l'odieux marquis d'Evremonde qui avait fait enfermer le docteur. Charles révèle à son futur beau-père ses origines aristocratiques, dont il refuse les avantages pour vivre en simple citoyen. 1792 : Charles retourne en France pour sauver un domestique injustement condamné, arrêté comme émigrant sur dénonciation du couple Defarge, des révolutionnaires qui veulent se venger des exactions commises par les Evremonde...De rebondissements en rebondissements, le roman dénonce la corruption, les abus, l'inhumanité de certains nobles mais aussi la vengeance aveugle des révolutionnaires et les excés de la Terreur.
"... La conclusion générale qui se dégage des considérations particulières développées dans les chapitres précédents peut être formulée ainsi : certaines insuffisances de notre fonctionnement psychique (insuffisances dont le caractère général sera, avec plus de précision, défini tout à l'heure) et certains actes en apparence non-intentionnels se révèlent, lorsqu'on leur applique l'examen psychanalytique, comme parfaitement motivés et déterminés par des raisons qui échappent à la conscience..."
On était envahi par le flot des bas-bleus !!La révolte éclata sous la tente d'Achille.Les auteurs masculins doués d'humeur hostileDéchirèrent, faut voir, le nouvel ennemi,Raillant pattes-de-mouche et petit doigt noirci.Est-ce dans l'encrier que la femme prépareLe pot-au-feu bourgeois, l'anguille à la tartare ?...
Ce roman d'aventure nous amène en Nouvelle-Guinée en compagnie d'individus plus ou moins louches à la recherche d'un trésor volé, caché dans une contrée sauvage. Macquart est un aventurier sans scrupules qui entraîne un petit groupe attiré par l'or.Naïveté, duplicité, vengeance et amour accompagnent les acteurs de ce voyage dangereux au cours duquel les caractères des personnages se dévoilent au fur et à mesure des difficultés qu'ils rencontrent.
La guerre aura sans doute amené l'humanité à détester davantage la guerre ; elle aura peut-être préparé la Société des Nations.Mais elle aura certainement démontré avec force le rôle des facteurs économiques dans la vie du monde et que ce qui mène d'abord les hommes, c'est la sécurité des moyens de vivre, la conquête du bien-être matériel et le souci du pain quotidien. La recherche du progrès économique se place en tête des aspirations des peuples. On croit toujours que le moyen d'être heureux est de posséder la force économique...
... L'homme exagère sa force et son courage, comme la femme exagère sa faiblesse et sa timidité. Il n'y a que l'ennui que les femmes redoutent ; l'ennui seul les fatigue, l'ennui seul les tue. Une femme ne meurt jamais que d'ennui ; à soixante-quinze ans une femme ne meurt pas parce qu'elle est vieille, mais parce qu'on ne l'amuse plus. Une femme qui s'amuse est de fer et d'airain ; il n'y a pas de portefaix capable de suivre tout un hiver dans le monde la plus frêle, de nos femmes, si elle est jolie, si elle a beaucoup de toilettes fraîches, si elle a du succès ; à la moitié de la saison, le portefaix, exténué, demandera à aller porter des sacs de farine pour se reposer, et rétablir sa santé. Nous ne sommes le sexe fort que parce que nous ne sommes pas le beau sexe ; sans la faiblesse qu'affichent les femmes adroites, notre force paraîtrait piteuse, et nous ne serions plus rien du tout...
C'est une consolation pour les malheureux de raconter leurs chagrins, de se repaître de leurs douleurs. C'est un renouvellement de plaisir que de s'occuper des jouissances passées. Femme, jeune encore, je profite d'un moment de repos des sens pour retracer quelques unes de mes aventures : dans leur narration je trouverai plaisir et douleur, mais je me consolerai de l'une par le souvenir de l'autre.On ne demande pas à une jolie femme de qui elle a reçu le jour : il lui suffit d'être aimable, d'inspirer le plaisir et de le faire goûter ; ainsi je passerai rapidement sur mon origine et sur mon éducation, quoiqu'elles aient toutes les deux beaucoup d'influence sur le reste de la vie. Comme je ne trace pas ici un cours complet de morale pratique, je n'examinerai pas combien l'une et l'autre agissent et réagissent sur nos actions...
... Ses bras cherchaient à m'enlacer, sa main pénétrait à travers ma veste... Je lui laissais prendre mes seins. Puis je sentis ses doigts monter le long de mes cuisses. Je comprenais son désir. Ce spectacle, ces lumières étranges, cette musique sensuelle. Sa main fouaillait dans le plus secret de mon corps. Elle se plaisait à picorer, comme un oiseau, dans la mousse. À mon tour, je rabattis le pantalon de son pyjama, ses cuisses m'apparurent tendres et dorées, sa virilité fine, juvénile, si fragile. Je la pris. Je m'amusais à la caresser. La jeune femme nous regardait...
... Elle contemple ce corps charmant qui tressaille... sa poitrine aux seins petits et fermes, ses bras harmonieux, ses jambes fines... ses cuisses encore meurtries de la flagellation, cette croupe frémissante... Oui, elle est belle, et elle excuse les fous qui le lui disent. Mais la vraie folie n'est-elle point d'embrasser au lieu de battre, n'est-elle point de tenir dans une étreinte la chair de la femme et de la couvrir de baisers...
... C'était une petite femme blonde, mince, et quoique jouissant d'une quarantaine d'années, avec ses cheveux bouclés, ses robes à la vierge, on l'eût prise pour la s¿ur de ses filles, car elle avait trois filles. - Trois filles et sept amants me direz-vous ? C'est beaucoup !...
... Et se jetant sur lui, elle le prit entre ses lèvres, lui donnant de petits coups de langue, promenant celle-ci sur toute la longueur, essayant de mettre l'un après l'autre mes globes d'amour dans sa bouche trop petite ; puis, revenant au gland, elle l'absorba tout entier avec la colonne qui le supporte et se mit à le sucer doucement, comme pour mieux le savourer. Moi, pendant ce temps, j'avais passé une main dans sa chemise ouverte et je chatouillais les boutons de ses seins que je sentais durs et fermes...
... Eh bien ! ma chère Polumnie, lui dis-je, lorsque je vins le lendemain lui rendre chez elle mes amoureux devoirs ; cette touchante tristesse, très-fondée, que vous avez imprudemment cherchée la nuit dernière, s'est-elle dissipée par la réflexion?... Mais plutôt n'en parlons plus, continuai-je, je prétends respecter votre douleur et laisser au temps ce que le raisonnement n'obtient jamais dans ce genre de chagrins... - Polumnie, appuyée sur l'oreiller d'un sofa élégant, ne me répondit que par une molle inclination de tête ; un nuage épais étendu sur son beau front, ne laissait que trop juger de l'impression cruelle que lui avait causée la funeste découverte de la veille...
... Je résolus donc enfin de ne me rapporter qu'à moi seule du soin de pénétrer les secrets de Monrose, s'il en avait. À cet effet, un certain jour je fis défendre ma porte, sous quelque prétexte qu'on voulût me voir. Puis, retenant après dîner mon cher pensionnaire seul et clos avec moi (ce qui d'abord lui parut devoir aboutir à tout autre chose qu'à l'enquête méditée), il y eut entre nous une longue et bien instructive conversation qu'on voudra bien me permettre de renvoyer aux chapitres suivants...
... Les travaux de la nuit avaient un peu pâli mon aimable élève. Ses yeux battus peignaient la douce langueur de la volupté : il était ravissant. Je lui conseillai cependant de se plaindre de quelque indisposition, afin de prévenir tout soupçon jaloux de la part de Sylvina. En effet, l'altération visible des couleurs de Monrose ne put lui échapper. Elle en témoignait la plus vive inquiétude. J'en fis autant, et nous nous tirâmes d'affaire...
... La Ricanière ne s'éloigne pas sans vomir un torrent d'imprécations atroces contre celui qui ci-devant était son bienfaiteur. Diavolo pris, était le plus pusillanime des hommes, il suppliait, on le huait : et sa détresse égayait de quelque comique ce que cette tragédie avait de farouche...Quant aux imprudentes femelles, après les avoir bien grondées d'une partie de plaisir, qui déposait contre leur vertu, Monroc fit à leur égard ce qu'il y avait à faire. Il hâta leurs mariages en leur composant une petite fortune. Les amans masculins se seraient peut-être volontiers dispensés pour lors d'épouser, mais le Caton seigneur tint ferme auprès des familles, pour que le scandale fut réparé par une union indissoluble...
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