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... Quels cheveux merveilleux ! Quelles dents, quel cou ! Laissez-moi baiser les boutons de vos seins. Vous allez me trouver hideuse, j'en suis sûre ; je n'oserai pas me déshabiller devant vous ; quelle peau de satin ! je vais avoir l'air d'une négresse, et ce flocon de poil couleur de feu ! Quelle merveille, je serais un véritable charbonnier près de vous...
... Étendu sur le dos, les deux femmes la tête sur ses cuisses, Stanislas vécut une minute inoubliable ; elles lui baisaient la queue, se la repassait de bouche à bouche, se pigeonnaient les lèvres collées au bord du gland, se chatouillaient mutuellement le clitoris, entrecroisaient leurs jambes, unissaient leurs seins...
¿ Ein Actenband, den die Verfolgung einer allem Anschein nach weit verzweigten Gaunerbande seit einigen Wochen bis zur Unbequemlichkeit des pflichtmäßigen Lesers aufgeschwellt hatte, hielt mich an meinem Arbeitstische bis zur Abenddämmerung fest, die der unfreundlichen Herbstwitterung wegen früher einbrach, als mein Diener um diese Jahreszeit mir Licht zu bringen gewohnt war. Das Bedürfniß einer kleinen Erholung für den Geist und für die Augen bestimmte mich, diesen Zeitpunkt in meinem Armsessel abzuwarten... "
¿ In dem geräumigen Schwurgerichtssaale befand sich eine zahlreiche Zuschauermenge. Sie gehörte meist den höheren Ständen aus der Stadt und der Nachbarschaft an. Der Fall, der verhandelt werden sollte, hatte in der Gegend eine Berühmtheit erlangt und betraf Personen und Verhältnisse der höheren Stände. Ein adliger Gutsbesitzer der Gegend hatte bei seiner schönen Frau einen jungen Officier betroffen und ihn niedergeschossen. Er hatte dem Paare, gegen das ihm schon seit einiger Zeit Verdacht erweckt war, aufgelauert; er war daher der vorbedachten Tödtung, des Mordes, angeklagt, und seine Strafe war, wenn die Geschworenen ihn schuldig erklärten, die Strafe der Hinrichtung durch das Beil... "
... Grande, svelte, bien cambrée, sa taille souple, comme d'instinct, prenait une pose voluptueuse ; les boutons de ses seins de vierge se dressaient effarés, tachetant de leurs fraises roses la neige qui les environnait. Julia personnifiait le type de ces brunes blanches, nerveuses, au sang chaud, mais dont les ardeurs, concentrées à l'intérieur, ne rougissent point habituellement la peau...
¿ Auf dem schönen, weiten Platze vor dem Kurhause zu Wiesbaden war ein bewegtes glänzendes Leben. Es war an einem Sonntag Nachmittag der Badesaison. An einem kleinen Tische saßen ein Herr und zwei Damen. Der Herr war ein rüstiger Fünfziger, indeß so wohl erhalten, daß man ihn auch für einen Vierziger halten konnte. Die beiden Damen standen in der Blüthe der Jugend und Schönheit. Freilich sah die eine, ältere, etwas leidend, abgehärmt aus, und man konnte meinen, ihre Schönheit sei jetzt gerade wieder im neuen Aufblühen begriffen. Desto frischer, lebendiger und schelmischer blühete die Schönheit der jüngeren... "
Ce volume contient le texte exact et sûr des discours les plus importants prononcés par Léon Blum depuis le mois de mai 1936.Il s'agit d'une période trop proche, trop présente à toutes les mémoires, pour qu'aucun commentaire soit nécessaire. On nous permettra cependant, en quelques mots, de justifier le titre de ce livre et d'en expliquer le plan.
... Jacques et Annette roulèrent en bas des fauteuils. L'attaque s'engageait passionnée ; sous la vaillante chevauchée d'amour, Annette râlait dans un désordre incomparable ; c'était à croire que jamais son mari ou d'autres, s'ils la labourèrent, ne surent provoquer ses vibrations à un tel degré. Elle s'épanouissait sous la puissance de cet homme, qui, la queue dans son vagin, la patouillait aux seins et aux fesses, lui léchait la bouche, lui meurtrissait le ventre sous la rudesse de ses secousses. Il ne décessait pas de la man¿uvrer ; le sperme jaillissait à grosses gouttes épaisses et gluantes ; elle le recevait dans la matrice, elle se mourait, elle ne voulait pas laisser Jacques s'évader de ses bras, elle le pressait de toutes ses forces contre sa poitrine, elle le mangeait de baisers, elle lui susurrait dans l'oreille les plus doux propos, elle l'encourageait à tout oser, et il la bourrait de nouveau de gros coups de queue...
¿ Die Probe des ¿Columbus" floss heute fehlerlos dahin. Die Soli, die Chöre, die Tänze, alles sass. Majestätisch strömte die prunkhafte, in leidenschaftlichen Szenen oft zu echt menschlichem Geschehen gestaltete Opernrevue dahin. Das Finale des zweiten Aktes setzte ein. Der beglückende Sopran der Königin Isabella stieg wie eine weisse funkelnde Rakete empor. Der weiche Alt der Donna Felipa, des klagenden Weibes des Columbus, fing die niederrieselnden Silbersterne dieser Stimme auf und schwebte tragisch umflort über dem Abschiedsbilde. Dann strahlte der Tenor des Columbus auf... "
Dodin Bouffant est un ancien magistrat à la retraite dans une petite ville du Jura. Il est renommé comme gastronome émérite, pour son goût raffiné en matière de haute cuisine, sachant marier artistiquement les saveurs. Seuls quelques privilégiés et disciples épicuriens sont invités régulièrement à sa table...
... Elle se laissa aller dans ses bras, ils se trouvèrent agenouillés l'un contre l'autre, elle lui tendit les lèvres, il y posa les siennes. Le baiser qu'ils échangèrent parut ne devoir jamais se terminer ; l'abbesse disparaissait derrière la femme ; elle sentit autour de sa taille ses mains qui tremblaient, la pressant avec plus de passion; elle dégrafa la grande croix d'or qui fermait le corsage et le haut de la jupe, elle lui guida la main vers les seins ronds et fermes, elle lui dit...
"... Quant aux femmes que l'on fouette, et qui sont généralement des filles de service, on éprouve un sentiment délicieux à les traiter en gamines. Avec ces délinquantes, pourvues d'ordinaire de somptueux appas résistants, la correction peut être sévère, s'exercer sur toute la surface et sur les charmes voisins, plus tendres et plus sensibles ; on peut aussi avec ces délinquantes se livrer à des improvisations variées. Par exemple, si je suis d'avis qu'on doit respecter les chastes oreilles des jeunes filles dont on nous confie l'éducation, je pense qu'il ne faut guère se gêner avec les filles qui sont à notre service, et l'emploi des expressions les plus chaudes me semble propre à augmenter l'agrément de la fouetteuse et à l'exciter. En appelant les choses par leur nom, on peut tout dire et se soulager en même temps..."
... Comme une lionne en colère, elle allait dans le boudoir, les mains appuyées sur ses hanches rebondies et riches, dessinant la splendeur de ses formes. Libres, ses seins se dressaient sous l'étoffe et y marquaient leurs pointes. Courts et noirs ses cheveux reposaient sur ses épaules et encadraient son visage d'ébène luisante. Les mains et les chevilles seules révélaient la roture de cette délicieuse fille devenue reine d'amour à Paris, après avoir satisfait deux ans les habitués d'une maison de tolérance marseillaise, cachée dans une ruelle du Vieux-Port, et pendant un an, tous ceux qui l'avaient voulue lorsqu'elle chantait dans les bouisbouis de Bordeaux...
... Pendant cette période, délaissant le roman, qui est l'Histoire inventée, l'auteur ne passa pas une journée sans écrire un article sur un des incidents, grands et petits, de la vie de Paris ; elle assista à bien des drames, à bien des mouvements de la rue, à des fêtes brillantes, à des scènes navrantes, à des joies de la foule, à de nombreuses douleurs privées, et elle a rendu compte de toutes ces émotions diverses, notant au passage les mille aspects de Paris, changeants et divers...
Peut-on faire confiance à Jabez North, maître d'études à l'académie du docteur Tappenden et enfant trouvé? Or c'est Richard Marwood qui revient chez sa mère après des années d'absence qui se voit accusé de l'assassinat de son oncle et du vol de sa bourse... Cependant, des morts sillonnent le parcours de North...
Avec Charlotte, découverte héritière de la succession Hayghart à la fin des volumes des Oiseaux de proie, on peut imaginer que l'histoire est achevée. Alors que viennent faire dans ce récit Gustave Lenoble, le normand, et son épouse anglaise dont on nous décrit la triste histoire? C'est que les oiseaux de proie n'ont pas renoncé à leurs projets.Car ce serait oublier le document qu'a fait signer Sheldon à Charlotte... ou les recherches intensives effectuées par Horatio Paget, le père de Diana, pour trouver un autre héritier au révérend Hayghart... Les amoureux ne sont pas au bout de leurs peines et la vie de Charlotte pourrait ne tenir qu'à un fil.
Qu'exigez-vous, mon cher Armand ? Quoi ! vous voulez que j'écrive ma vie ! Songez que, malgré les droits que l'amour vous a donnés sur moi, vous n'avez pas celui de me demander un pareil sacrifice : vous savez, mon ami, qu'il est mille choses pardonnables, lorsqu'on les couvre du voile du mystère ; mais paraissent-elles au grand jour, on vous blâme, on vous décrie, et ce sont souvent les plus criminels qui se déchaînent avec le plus de violence...
Les nouvelles présentées ici dans leur ordre chronologique de parution originale ont été écrites entre 1894 et 1905 et traduites en français entre 1895 et 1912. Elles marquent le premier contact du public francophone avec Schnitzler. Cet auteur est l'un des grands auteurs de langue allemande de la première moitié du XXe siècle. Longtemps méconnu dans le monde francophone, ses ¿uvres sont redécouvertes dès les années 1980 au fur et à mesure de leurs traductions.
Milicent épousera-t-elle son cousin Darrell? Ils s'aiment depuis leur plus jeune âge. Mais son père la force à épouser le capitaine Duke, commandant du Vautour. Milicent se résigne auprès de ce mari brutal et absent. Absent ? mais voilà sept ans qu'il a disparu... Et les langues marchent au sujet des campagnes de ce navire... Milicent pourra-t-elle enfin épouser Darrell?...
... Et là enfin l'océan était grand ouvert devant nous, tandis que Rouge cherchait à se l'imaginer, parce que, nous, on a bien de l'eau, mais elle est petite. Cent kilomètres tout au plus dans un sens, dix ou douze dans l'autre, une eau petite qui n'est qu'un lac et tout entouré de montagnes ; et Rouge cherchait à se représenter là-bas cet espace non limité, ces autres eaux sans fin, coupées à ras du ciel en rond comme avec des ciseaux dans de la toile bleue...
... À 5 heures, nous sommes à Richmond, où règne une tempête de neige. Nous allons souper chez le curé, M. Quinn, puis repartons à 6 1/2 heures. Il nous fallut changer de train à Newport, après y avoir attendu plus d'une heure, à la gare. Ce fut assez ennuyeux ; heureusement je trouvai là un jeune homme de Lévis, qui a voyagé beaucoup, au Mexique, au Texas et autres endroits : il me donna une foule de détails intéressants. Vers minuit, nous repartons...
... L'aviation... À vrai dire, je n'y songeais pas encore. C'était une de ces choses qui demeurent dans le domaine féerique de la fantaisie ou de la légende. Mais je suppose que ce désir d'être marin exprimait la nostalgie des espaces qui était en moi, ce besoin d'évasion, ce goût d'infinis que le regard ne mesure pas...
Dans cette histoire d'héritage romantique, découvrez les amoureux, Charlotte et Valentin. Découvrez aussi Les Oiseaux de proie, qui cerclent autours de riches héritages. Diana, l'amie de Charlotte au pensionnat devenue sa demoiselle de compagnie est protégée par Valentin, un ami qui vient la rejoindre à Londres. Il rencontre Charlotte.Car Charlotte est la fille de Tom et Georgy Halliday. Tom qui avait du bien et le léguait à sa femme, est décédé d'un banal refroidissement. Son médecin, Philippe Sheldon, ruiné faute de clientèle, épousa alors Georgy. Valentin, qui trouve une place chez un attroney spécialisé en recherches généalogiques pour retrouver des héritiers est chargé des enquêtes sur le terrain. Il s'intéresse à celui de Charlotte...
... Le problème de l'évolution de l'univers a toujours excité l'intérêt du monde pensant. Il conservera, sans nul doute, la première place parmi toutes les préoccupations intellectuelles qui n'ont pas une portée pratique immédiate. Les solutions qui, de loin en loin, ont été formulées à ce problème favori donnent une image fidèle de l'état de la pensée concernant les sciences naturelles, et de leur développement. J'ai le vif espoir que l'exposé contenu dans les pages de ce volume, correspondra au magnifique développement que nous ont présenté les sciences physiques et chimiques à la fin du siècle dernier...
Aux yeux de qui a le moindrement vécu, senti et observé les êtres, l'Amour, mettant en jeu d'innombrables ressorts physiques et psychiques, doit pouvoir prendre des formes infiniment complexes et contradictoires. Cette vérité, au vrai simplette, paraît pourtant avoir échappé à Messieurs de la Littérature. Ils ont, en effet, décidé depuis des siècles, que l'amour et le triangle équilatéral ne comportaient qu'un seul type.Abrogeons cette loi absurde. Dans le domaine des passions comme en mathématiques, il existe une géométrie Riemanienne et une Lobatchewskienne, qui complètent toutes deux les vieux principes Euclidiens ; c'est ce qu'il me faut faire admettre à l'orée de ce roman. J'y étudie, en effet, une forme d'affection, non point rare, mais étrange, multiple et aimablement déséquilibrée. Toutefois, l'amour est-il jamais susceptible d'équilibre ?...
Pas une histoire ceci, - je n'étais pas un des personnages, pas même un confident des personnages - j'étais un citoyen, m'occupant, me préoccupant, regardant, écoutant, parmi les moins mal renseignés. J'étais un thermomètre appendu dans un coin...
... Nous, Français, nous savons comme eux, et mieux qu'eux, que les trois Couchants se ressemblent par le sol, les biens de la terre, les plantes, les animaux, les races d'hommes, la communauté d'histoire et les mêmes fatalités d'avenir. L'Algérie n'est qu'un embryon : à son plein développement naturel, elle aura dans ses limites la Tunisie, le Maroc, Tripoli peut-être. Elle sera devenue l'Afrique du Nord ou l'Afrique Mineure...
Ce récit, fortement autobiographique, conte la vie d'une jeune Française, Françoise Joran, mariée à un banquier qui n'aime que les chiffres, et sa passion pour un jeune ingénieur, Bruno d'Arvallaz. Derrière ces noms, on reconnaît sans peine Marguerite Burnat-Provins, Adolphe Burnat son mari, et Paul de Kalbermatten, son amant. Leur rencontre passionnelle et passionnée en 1906 va sceller leur destin.
Amande est fort belle, elle est moderne et aime à flirter. Comme vous le voyez, elle a toutes les vertus. De ces vertus qui sont plaisantes au c¿ur et agréables à l'intelligence. Amande est blonde et ses cheveux jettent autour d'eux des reflets légèrement pourprés. Quelles délices ! Ils sont d'ailleurs courts, ces cheveux, comme ceux d'un jeune garçon sportif et l'idée ne viendra certes à personne de faire mieux que les admirer... Combien cela seul place Amande loin de jadis... Alors la chevelure était comparable à tout au monde, pourvu que ce fut vaste et poétique : la mer, les nuages, un glacier ou une forêt vierge...
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