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"L'Ãtrange Défaite" est un ouvrage majeur de l'historien français Marc Bloch. Ce livre a été écrit pendant la Seconde Guerre mondiale et publié après la mort de Bloch. Il s'agit d'une analyse rétrospective et critique de la défaite française face à l'Allemagne nazie en 1940. Bloch, qui avait une profonde connaissance de l'histoire et une expérience personnelle dans la Première Guerre mondiale, explore les causes et les circonstances qui ont conduit à la défaite de la France en 1940. Il examine les erreurs politiques, stratégiques et sociales, ainsi que les facteurs profonds qui ont affaibli la capacité de la France à résister à l'invasion allemande. "L'Ãtrange Défaite" est salué pour son analyse pointue et sa capacité à mettre en lumière les faiblesses structurelles qui ont conduit à la chute rapide de la France face à l'Allemagne nazie. C'est également un ouvrage majeur pour comprendre la pensée historique de Marc Bloch et son approche de l'histoire contemporaine.
Cet essai passionnant explore le génie de Charles Baudelaire, poète maudit et figure emblématique du dandysme. Plus d'un demi-siècle après sa mort, Baudelaire reste une présence vivace et provocante dans la littérature française.Ernest Raynaud analyse avec finesse la personnalité complexe du poète, tiraillé entre révolte et aspiration à l'idéal. Il retrace son parcours tumultueux, de sa jeunesse rebelle à sa consécration littéraire.L'ouvrage met en lumière la "religion du dandysme" de Baudelaire, cette quête esthétique et existentielle qui a façonné son style unique. À travers l'étude de ses ¿uvres majeures, des Fleurs du Mal au Spleen de Paris, Raynaud révèle l'âme tourmentée et visionnaire de Baudelaire.Un livre incontournable pour comprendre l'un des plus grands poètes français, qui a révolutionné la poésie moderne. Ernest Raynaud signe un essai érudit et sensible, qui éclaire d'un jour nouveau la vie et l'¿uvre sulfureuses de Baudelaire.
Pre-Darwinian Evolutionists¿Causes which led to the speedy triumph of the theory of Natural Selection¿Nature of the opposition which Darwin had to overcome¿Post-Darwinian biology¿Usually accepted classification of present-day biologists as Neo-Lamarckians and Neo-Darwinians is faulty¿Biologists fall into three classes rather than twöNeo-Lamarckism: its defects¿Wallaceism: its defects¿Neo-Darwinism distinguished from Neo-Lamarckism and Wallaceism¿Neo-Darwinism realises the strength and weakness of the theory of Natural Selection, recognises the complexity of the problems which biologists are endeavouring to solve. Darwinism and evolution are not interchangeable terms. On this fact it is impossible to lay too much emphasis. Charles Darwin was not the originator of the theory of evolution, nor even the first to advocate it in modern times. The idea that all existing things have been produced by natural causes from some primordial material is as old as Aristotle. It was lost sight of in the mental stagnation of the Middle Ages. In that dark period zoological science was completely submerged. It was not until men shook off the mental lethargy that had held them for many generations that serious attention was paid to biology. From the moment when men began to apply scientific methods to that branch of knowledge the idea of evolution found supporters.
"Marnix de Sainte-Aldegonde" d'Edgar Quinet est une ¿uvre consacrée à la biographie de Philippe de Marnix, seigneur de Sainte-Aldegonde, une figure marquante du XVIe siècle dans les Pays-Bas. L'auteur, Edgar Quinet, écrivain, historien, philosophe et poète, ainsi que professeur au Collège de France et député, offre une analyse approfondie de la vie et de l'¿uvre de Marnix.Dans cet ouvrage, Quinet explore les divers aspects de la vie de Marnix, notamment son rôle en tant que poète, homme politique et diplomate dans le contexte des luttes religieuses qui ont caractérisé cette période. Marnix était un personnage clé lors des guerres de religion aux Pays-Bas, et son engagement politique et son ¿uvre littéraire ont laissé une empreinte durable.Quinet met en lumière les idées religieuses et politiques de Marnix, soulignant son influence dans la lutte pour l'indépendance des Provinces-Unies vis-à-vis de l'Espagne et son engagement en faveur du protestantisme. En explorant le contexte historique complexe de l'époque, l'auteur offre une vision éclairante de la vie de Marnix, mettant en avant son héritage intellectuel et politique.En somme, "Marnix de Sainte-Aldegonde" propose une biographie complète et détaillée de cette figure historique, offrant aux lecteurs une compréhension approfondie du contexte politique, religieux et culturel du XVIe siècle aux Pays-Bas.
" Biographie de Blaise Cendrars. "La vie et l'¿uvre de Cendrars sont si e¿troitement lie¿es, que la moindre e¿tude sur ses poe¿mes, sur ses romans et ses chroniques qui en re¿sument le contenu spirituel, en me¿me temps qu'elles constituent un genre litte¿raire absolument nouveau, est tenue de se reporter ä sa biographie. Sans les e¿claircissements que celle-ci nous apporte, bon nombre de pages risqueraient de demeurer lettre morte, ou tout au moins, de nous parai¿tre les fruits d'une imagination excessive, alors qu'elles ne sont le plus souvent que des souvenirs ä peine romance¿s. Il serait vain, sans se re¿fe¿rer ä elle, de vouloir rechercher tous les e¿le¿ments he¿te¿roge¿nes et encore mal isole¿s par les critiques, dont se compose cette masse poe¿tique e¿tincelante. L'histoire de cette ¿uvre est donc en me¿me temps celle de la vie multiforme, ardente et de¿sordonne¿e en apparence seulement, de ce poe¿te dont l'¿uvre grandit ä mesure qu'il recule dans le temps. Quant ä l'histoire de sa vie, elle tient tout entie¿re dans ses livres. Mais elle ne s'y pre¿sente pas sous la forme de ces confessions qui permettent ä certains e¿crivains de refaire tant de pathe¿tiques itine¿raires ä notre usage. Si les moindres e¿pisodes de sa biographie nous ont e¿te¿ conserve¿s par une prodigieuse me¿moire qui se souvient, apre¿s un demi-sie¿cle, de la couleur du ciel d'Alexandrie ou de Naples, ou¿ il passa ses premie¿res anne¿es, et de la perle baroque du soleil dans la brume plombagine, derrie¿re les facades ve¿nitiennes, c'est au hasard de son ¿uvre qu'ils sont re¿partis, pe¿le-me¿le dans cette ine¿puisable re¿serve d'anecdotes, d'histoires incroyables dont un grand nombre attendent encore d'e¿tre raconte¿es ä leur tour. Blaise Cendrars annonce tant de livres que les renseignements qu'il nous donne sur sa propre vie dans les premiers, nous parai¿tront biento¿t rudimentaires." ¿ Louis Parrot."
"Les Goncourt furent "un grand e¿crivain". Ils en eurent tous les caracte¿res : l¿originalite¿, la fe¿condite¿, et la diversite¿. L¿originalite¿ est le don premier, myste¿rieux et formidable ; sans lui, toutes les autres qualite¿s de l¿e¿crivain sont ste¿riles, nuisibles, et me¿me un peu ridicules, le jour oü l¿homme de lettres laborieux et intelligent, mais pas davantage, fier de multiples aptitudes, se veut dresse¿ en statue sur un pie¿destal de tomes. Plus digne de gloire est le ge¿nie intermittent ou soudain qui se manifeste par de capricieux e¿clairs ou par la lueur inattendue d¿un rayon seul et qüon ne reverra pas. Les Goncourt appartiennent ä la caste des ge¿nies continus et sans de¿faillance ; s¿ils ne doivent pas e¿tre nombre¿s parmi les demi-dieux, ils le seront parmi les he¿ros qui accumule¿rent un total de belles actions e¿gal ä une ¿uvre unique et grandiose. Chacun des livres des Goncourt fut une de ces belles actions, chacune d¿une beaute¿ diffe¿rente et neuve. Historiens, appliquant aux e¿ve¿nements d¿hier la me¿thode documentaire d¿Augustin Thierry, ils restitue¿rent, en place d¿une vision de parade, un XVIIIe sie¿cle vivant et since¿re, rajeuni par la typique anecdote, e¿claire¿ par le sourire des femmes, explique¿ par le costume, par le billet, par l¿estampe, par le cri de la rue, par l¿e¿pigramme, par le mot. Cette sorte d¿histoire n¿est pas toute l¿histoire, mais c¿est peut-e¿tre la seule qui puisse inte¿resser de¿sormais des esprits devenus sceptiques par trop de lectures et plus curieux de comprendre les diffe¿rences que de ramener ä l¿unite¿ la diversite¿ des e¿ve¿nements. Si l¿on ne retient de l¿histoire que les faits les plus ge¿ne¿raux, ceux qui se pre¿tent aux paralle¿les et aux the¿ories, il suffit, comme disait Schopenhauer, de confe¿rer avec He¿rodote le journal du matin : tout l¿interme¿diaire, re¿pe¿tition e¿vidente et fatale des faits les plus lointains et des faits les plus re¿cents, devient inutile et fastidieux ; Bossuet le rejette. Ce fut la premie¿re originalite¿ des Goncourt de cre¿er de l¿histoire avec les de¿tritus me¿mes de l¿histoire."
Dans "La Petite Peur du XXe Siècle", le philosophe français Emmanuel Mounier explore les angoisses et les peurs inhérentes au XXe siècle. Mounier, figure majeure du personnalisme, examine les défis et les dilemmes éthiques de son époque, abordant des thèmes tels que la technologie, la politique et les questions sociales. L'ouvrage propose une réflexion profonde sur la condition humaine à l'ère moderne, mettant en lumière les tensions entre la liberté individuelle et les pressions collectives. Mounier offre une perspective critique tout en appelant à une réflexion personnelle et à une action responsable face aux enjeux contemporains. "La Petite Peur du XXe Siècle" reste une contribution significative à la pensée philosophique du XXe siècle.
La Logique de la Science" de Charles Sanders Peirce est une ¿uvre majeure dans le domaine de la philosophie de la science et de la logique. Peirce, philosophe, logicien et scientifique américain, développe sa théorie pragmatique de la signification et de la connaissance. Il explore les fondements logiques du processus scientifique, introduisant des concepts tels que la sémiotique et l'abduction. L'ouvrage offre une approche novatrice de la méthode scientifique, mettant en avant l'idée que la vérité et la signification émergent de l'expérience et de l'interaction avec le monde réel. Cette ¿uvre est une contribution majeure à la philosophie de la science et continue d'influencer la pensée contemporaine.
Le régime féodal de la Chine ancienne est très mal connu. Les documents contemporains sont rares et peu explicites : les inscriptions, difficiles à déchiffrer, et le plus souvent d¿une brièveté qui les rend très obscures, ne sont pas toujours compréhensibles pour nous, lorsqüelles sortent des formules banales et parlent de faits que nous ignorons. Quant aux documents littéraires (101), remontant à l¿époque féodale, Yi-king (Livre de Divination), Che-king (Livre des Odes), Chou-king (Livre des Documents), ils ne mentionnent les institutions qüen passant. Confucius et Mo-tseu ont vu la fin des temps féodaux, mais Confucius n¿a laissé aucun écrit et ses Entretiens (Louen-yu) ont été rédigés par ses disciples un siècle au moins après sa mort ; et quant à Mo-tseu, son ¿uvre a été retouchée par ses disciples pendant les deux siècles suivants. Les textes historiques les plus anciens, Tch¿ouen-ts¿ieou et Tchou-chou ki-nien, sont, au plus tôt des derniers temps de ce régime, alors qüil n¿en subsistait plus guère que quelques formes extérieures ; et d¿ailleurs, ce sont des chroniques très sèches qui ne nous apprennent presque rien. Les livres qui fournissent le plus de renseignements sont les Rituels (Li-ki, Tcheou-li) et les grands ouvrages historiques (Tso-tchouan, Kouo-yu) ; mais ils sont très tardifs (IIIe siècle A. C.) et au temps où ils furent écrits, le régime féodal antique avait entièrement disparu. Le Li-ki (Mémoires sur les Rites) est un recueil d¿opuscules ritualistes confucéens rédigés, les plus anciens, à la fin du IVe siècle, les plus récents, au début du Ier siècle avant notre ère ; les lettrés qui les ont composés ont utilisé les traditions relatives à l¿antiquité pour construire un régime utopique de gouvernement en complétant systématiquement en séries régulières les faits conformes à leurs théories, et en laissant de côté les autres. Le Tcheou-li (Rituel des Tcheou), d¿autre part, est une glorification du pouvoir royal qui lui aussi pousse la systématisation très loin, mais qui a l¿avantage de ne pas avoir fait subir aux faits de déformation confucianiste. Le Tso-tchouan et le Kouo-yu apportent des documents moins travaillés ; ils sont fondés en grande partie sur des ouvrages plus anciens ; et comme ils ne cherchent pas à faire du ritualisme systématique, ils déforment moins les faits que les Rituels. De tous ces ouvrages, le plus facile à consulter est le Li-ki dont certains chapitres, surtout avec leurs Commentaires, sont très clairs et très précis ; aussi est-ce de lui qüon s¿est le plus souvent servi pour décrire les institutions féodales chinoises anciennes. Mais, en dehors des rites et des cérémonies usuels et courants, c¿est la source la moins sûre : s¿il contient certainement des faits vrais, nous n¿avons aucun critérium pour les distinguer des faits d¿imagination. J¿ai donc entièrement laissé de côté ce livre ; je me suis servi avant tout des inscriptions, ainsi que du Che-king, du Chou-king, du Yi-king, documents contemporains des faits étudiés, et même aussi des historiens (y compris le Tso-tchouan, malgré sa date récente), en ne tenant compte que des faits matériels, mais non des interprétations et des explications qüils peuvent donner.
Frédéric Le Play: Textes Choisis" par Louis Baudin propose une sélection d'écrits de l'éminent sociologue et économiste Frédéric Le Play. Sous la direction de Louis Baudin, professeur à la Faculté de Droit de Paris, cet ouvrage offre un aperçu des idées clés et des contributions de Le Play au domaine de la sociologie et de l'économie.Frédéric Le Play est connu pour ses études sur la famille et l'organisation sociale, en particulier pour sa méthode sociologique basée sur l'observation empirique. Les textes choisis présentent probablement des extraits de ses ¿uvres les plus significatives, mettant en lumière sa pensée sur la structure sociale, le travail, et la famille.L'ouvrage inclut des commentaires de Louis Baudin, visant à contextualiser les textes et à fournir des informations sur le contexte historique et intellectuel dans lequel Le Play a développé ses idées. "Frédéric Le Play: Textes Choisis" offre une compilation soigneusement sélectionnée des écrits de Le Play, permettant aux lecteurs d'explorer les fondements de sa pensée sociologique et économique. Cet ouvrage constitue une ressource précieuse pour ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension des idées de Frédéric Le Play et de l'évolution de la sociologie au XIXe siècle.
"Le Personnalisme" d'Emmanuel Mounier est une exploration profonde et passionnée des concepts fondamentaux du personnalisme, une philosophie qui met l'accent sur la dignité, la liberté et la responsabilité de l'individu au sein de la société.Mounier commence par établir les bases philosophiques du personnalisme, mettant en lumière la centralité de la personne humaine dans sa quête de sens et de réalisation. Il souligne la nécessité de reconnaître chaque individu comme une personne unique, dotée de valeur intrinsèque.L'auteur examine ensuite les implications éthiques du personnalisme, en mettant en avant la responsabilité individuelle et sociale. Il explore la manière dont les relations interpersonnelles et la vie en communauté peuvent être enrichies par une compréhension approfondie de la dignité personnelle.Mounier aborde également des questions sociopolitiques, proposant une vision personnaliste de la société qui valorise la justice, la solidarité et le respect des droits individuels. Il critique les systèmes qui déshumanisent l'individu et plaide en faveur d'une vision plus humaine et éthique de la politique.L'ouvrage conclut en mettant en avant l'idée que le personnalisme peut être une réponse philosophique et sociale aux défis contemporains, offrant une alternative aux idéologies qui négligent la dimension personnelle de l'existence."Le Personnalisme" d'Emmanuel Mounier demeure une référence essentielle pour ceux qui s'intéressent à la philosophie personnaliste, offrant une vision éclairante de la dignité et de la valeur de chaque individu dans le contexte de la vie sociale.
L¿auteur a eu surtout en vue dans ce travail d¿exposer, selon ses moyens, les idées que le lettré moderne puise dans ses livres, dès les jours de sa première éducation.Ces livres, personne ne l¿ignore, sont le moule commun où se forme, depuis bien des siècles, l¿intelligence du peuple chinois. Obscurs par eux-mêmes, à raison de leur antiquité et de leur concision, ils sont accompagnés d¿un commentaire classique rédigé dans un style généralement coulant et limpide. Le commentaire officiellement reconnu, et faisant loi aux examens publics, est l¿¿uvre du célèbre Tchou Hi. Beau diseur autant que philosophe détestable, cet homme est parvenu à imposer, depuis bientôt six siècles, à la masse de ses compatriotes une explication toute matérialiste des anciens livres.
"Le Matérialisme Historique" d'Antonio Labriola offre une exploration approfondie et critique du concept central dans la pensée de Karl Marx. L'ouvrage examine la base épistémologique du matérialisme historique, mettant en avant la primauté des conditions matérielles et économiques dans le développement historique. Labriola explore les concepts marxistes tels que les forces productives, les rapports de production et la lutte des classes, démontrant comment ces éléments influent sur la dynamique de l'histoire.L'auteur propose également une réflexion critique sur les développements contemporains de la pensée sociale, soulignant la pertinence et l'originalité du matérialisme historique face aux autres théories philosophiques de l'époque. Labriola aborde la question de la conscience et de la superstructure idéologique, montrant comment ces aspects sont déterminés par les relations matérielles et économiques de la société.L'ouvrage conclut en examinant les implications politiques du matérialisme historique, notamment la vision marxiste du changement social, de la révolution prolétarienne et de la transition vers une société sans classes. Dans l'ensemble, "Le Matérialisme Historique" demeure un texte significatif qui a contribué à la diffusion et à la compréhension des idées marxistes, offrant une analyse critique et approfondie du matérialisme historique.
"La Commune de 1871" est une ¿uvre de Karl Marx et Friedrich Engels qui traite de la Commune de Paris de 1871. La Commune de Paris était une expérience révolutionnaire éphémère durant laquelle le peuple de Paris a pris le contrôle de la ville en réponse à la défaite de la France face à la Prusse et à la capitulation du gouvernement français.Contexte : Rédigé dans le contexte de la Commune de Paris de 1871, cet ouvrage de Marx et Engels est une analyse politique de cet événement majeur dans l'histoire politique et sociale.Analyse de la Commune : Marx et Engels analysent la Commune de Paris en détail, explorant les circonstances de sa création, sa structure, et ses actions pendant la courte période de son existence.Révolution sociale : Ils considèrent la Commune comme une tentative de révolution sociale et explorent comment elle a remis en question l'ordre social existant. La Commune a été caractérisée par des tentatives d'autogestion et d'organisation politique directe.Critique du capitalisme : Marx et Engels profitent de l'occasion pour critiquer le capitalisme et ses institutions, soulignant comment la Commune de Paris a défié les structures bourgeoises traditionnelles.Leçon pour le mouvement ouvrier : Pour Marx et Engels, la Commune de Paris offre des leçons importantes pour le mouvement ouvrier. Ils soulignent les aspects positifs de la Commune tout en tirant des enseignements critiques pour guider les mouvements futurs.Héritage : Bien que la Commune de Paris ait été réprimée dans le sang par le gouvernement français, son héritage a continué à inspirer les mouvements socialistes et communistes ultérieurs."La Commune de 1871" est une ¿uvre essentielle pour ceux qui s'intéressent à la pensée politique de Marx et Engels ainsi qu'à l'histoire des mouvements ouvriers et socialistes.
"L¿Idéologie allemande" est une ¿uvre philosophique majeure écrite par Karl Marx et Friedrich Engels. Dans cet ouvrage, les deux penseurs analysent de manière critique la philosophie allemande contemporaine, particulièrement celle de Feuerbach, Bruno Bauer, et d'autres contemporains de l'époque.Voici un résumé général :Contexte : Rédigé entre 1845 et 1846, pendant leur exil à Bruxelles, "L¿Idéologie allemande" n'a été publié qu'en 1932, bien après la mort de Marx et Engels.Analyse de la philosophie allemande : Les auteurs critiquent diverses tendances de la pensée philosophique allemande, notamment l'idéalisme allemand et la philosophie hégélienne. Ils dénoncent également l'idéologie de la bourgeoisie.Matérialisme historique : Marx et Engels introduisent le concept de matérialisme historique, une théorie qui postule que les conditions matérielles et économiques d'une société déterminent sa structure sociale et son idéologie. C'est un aspect clé de leur analyse socio-économique.Aliénation et révolution : Les auteurs développent leur concept d'aliénation, expliquant comment la classe ouvrière est aliénée dans une société capitaliste. Ils plaident pour une révolution prolétarienne qui renverserait l'ordre établi."L¿Idéologie allemande" est considérée comme un texte fondamental pour la compréhension de la philosophie et de la pensée de Marx et Engels. Il pose les bases du matérialisme historique, une idée centrale dans leur analyse critique du capitalisme et dans leur plaidoyer en faveur d'une transformation révolutionnaire de la société.
Nul homme ne fut peut-être mieux préparé que Mirabeau à la carrière oratoire. Ces conditions de savoir universel réclamées par les anciens, il les remplissait mieux que personne en 1789. Sa lecture était prodigieuse, grâce aux longues an- nées qüil avait passées en prison. Ni au château d¿If, ni au fort de Joux, ni au donjon de Vincennes, les livres ne lui furent interdits. Il en demande et en obtient de toutes sortes : romans, histoire, journaux, pamphlets, traités de géométrie, de physique, de mathématiques affluent dans sa cellule, et, si on tente de les lui refuser, son éloquence irrésistible séduit et conquiert geôliers et gardiens. Loin d¿être isolé, par sa captivité, du mouvement des idées, il reste en contact quotidien avec le développement intellectuel de son époque. C¿est peu de lire : il prend des notes, fait des ex- traits, envoie chaque jour à Sophie un journal où ses impressions de lecteur tiennent autant de place que ses effusions d¿amoureux, commente et traduit Tacite, compose son Essai sur les lettres de cachet et sur les prisons d¿Etat, un essai sur la Tolérance, et, pour l¿éducation de l¿enfant que va lui don- ner sa maîtresse, une mythologie, une grammaire française, un cours de littérature ancienne et moderne ; enfin, pour dé- cider Sophie à vacciner cet enfant, un traite de l¿inoculation. Ce ne sont là que ses griffonnages de prisonnier.
Beaubrun Ardouin (1796-1865) était un historien et écrivain haïtien. Son ¿uvre majeure est "Études sur l'histoire d'Haïti", qui comprend plusieurs volumes traitant de l'histoire politique et sociale d'Haïti.En ce qui concerne la géographie, Beaubrun Ardouin a également contribué avec "Géographie de l'île d'Haïti". Cet ouvrage est une tentative de décrire les aspects géographiques, topographiques et environnementaux d'Haïti, ainsi que ses caractéristiques naturelles.Dans "Géographie de l'île d'Haïti", Ardouin pourrait aborder des sujets tels que la topographie, le climat, la végétation, les ressources naturelles, et d'autres aspects géographiques pertinents pour comprendre la réalité physique et environnementale de l'île.
Gabriel Tarde (1843-1904) était un sociologue et criminologue français, souvent associé à la tradition de la sociologie criminelle et à la théorie des interactions sociales. Il a écrit plusieurs ouvrages influents, dont "Études pénales et sociales".Dans "Études pénales et sociales", Tarde explore des thèmes liés à la criminologie et à la société, en mettant l'accent sur la compréhension des causes du comportement criminel, les réponses sociales à la criminalité et les dynamiques sociales sous-jacentes aux actes déviants.Le travail de Tarde a influencé le développement de la sociologie criminelle et de la théorie sociale, en particulier ses idées sur l'imitation sociale et la diffusion des comportements criminels au sein de la société. Il a également contribué à l'analyse des processus sociaux, influençant des penseurs ultérieurs tels que Émile Durkheim et d'autres théoriciens de la sociologie.
Si l'on veut glacer tous les esprits, il suffit de prononcer le mot de métaphysique. Cette science, affectée à l'étude de l'âme, est un objet d'effroi pour quiconque possède une âme ; elle figure dans le monde savant comme la ronce dans un bouquet. Bien différents de Midas qui changeait le cuivre en or, les métaphysiciens ont eu l'art de changer l'or en cuivre, et de reléguer au dernier rang leur science qui devait tenir le sceptre du monde scientifique. C'était à eux de dissiper les charlataneries de la superstition, de la politique et de la morale, qui prétendent diriger les affaires sociales ; c'était à eux de censurer les opérations de Dieu, déterminer les devoirs de Dieu envers nous et ses plans sur l'ordre des sociétés humaines. Mais à quoi la métaphysique s'est-elle arrêtée ? À des arguties sur les sensations, les abstractions et les perceptions, Cette broutille méritait-elle d'occuper la science chargée de résoudre le grand problème des destinées, le problème de l'harmonie universelle ?
"What can we expect from the study of Chinese philosophy ?« In the philosophical systems of the Hindoos and the Chinese there are still hidden treasures, in which the anticipation of scientific discoveries, the results of thousands of years of occidental research, is most striking.Such are the words of Edward von Hartmann, the most famous living German philosopher1. Much labour has been spent in Europe on the Indian Vedanta philosophy, which had such a marked influence on Arthur Schopenhauer.« The Upanishads, says the author of the Parerga and Paralipomena, are the outcome of the highest human wisdom.... They afford the most remunerative and sublime reading possible in this world, which has been the consolation of my life, as it will be that of my death 2.I do not see why the many germs scattered over the vast field of Chinese philosophy should not have a similar fertilizing influence on some philosophical European mind also. The deep impression caused by the Tao-tê-king will support my view. But much work remains to be done before Chinese philosophy will take its proper place in the history of philosophy. The burden of this task lies with us who are living in China and studying her language and literature, for, while great care is bestowed on all her sister languages in Europe and America, Chinese, the oldest of all, but the youngest in the curriculum of our high-schools, is treated as a step-child by public opinion. This paper is meant as a move in the direction just indicated."
"De la force du gouvernement actuel de la France et de la nécessité de s'y rallier" est un discours politique écrit par Benjamin Constant (1767-1830), un écrivain, homme politique et intellectuel français. Ce discours a été prononcé à la Chambre des députés le 19 février 1815.Dans ce discours, Constant aborde la question de la légitimité du gouvernement français de l'époque, marquée par les soubresauts politiques liés à la Révolution française et à la chute de Napoléon Bonaparte. Il plaide en faveur de la nécessité de soutenir le gouvernement en place pour garantir la stabilité et la cohésion nationale.Constant était un penseur libéral et un défenseur des idées constitutionnelles. Ce discours reflète son engagement en faveur de la construction d'institutions politiques stables et de l'importance de la légitimité dans le maintien de l'ordre social.
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