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" Walter Benjamin avait émigré d' Allemagne en 1933 . Avec le livre Deutsche Menschen , imprimé en Suisse sous le pseudonyme « Detlef Holz » en 1936 , il entendait, entre autres, présenter l'Allemagne, gouvernée par le national-socialisme , comme un meilleur exemple de bourgeoisie éclairée et humaniste . Les lettres et les commentaires avaient déjà paru dans le Frankfurter Zeitung en 1930/31 . Le "titre camouflage" (selon Benjamin) "Peuple allemand" visait également à faire passer le livre en contrebande sur le marché allemand, en contournant les censeurs nationaux-socialistes."
" Pourquoi le célèbre chirurgien Desplein, qui se dit athée, fait-il célébrer une messe quatre fois par an en l¿église Saint-Sulpice ? On rencontre dans cette nouvelle le docteur Bianchon, familier de La Comédie humaine, présenté ici à ses débuts, alors qüil est étudiant¿ « Desplein n¿était pas dans le doute, il affirmait. Son athéisme pur et franc ressemblait à celui de beaucoup de savants, les meilleurs gens du monde, mais invinciblement athées, athées comme les gens religieux n¿admettent pas qüil puisse y avoir d¿athées. [...] »
Médecin érudit, Élie Faure compose en une vingtaine d'années (1909-1927) une monumentale Histoire de l'art, de la préhistoire au début du XXe siècle. Issu de conférences données à l'université populaire du 3e arrondissement de Paris, ce travail, sans cesse remanié, n'est pas l'oeuvre d'un universitaire mais celle d'un passionné guidé par ses émotions, qui souhaite partager son enthousiasme.
Si le grain ne meurt est un récit autobiographique de l'écrivain français André Gide. Il décrit la vie de l'auteur depuis sa première enfance à Paris jusqu'à ses fiançailles avec sa cousine Madeleine Rondeaux (appelée ici Emmanuèle) en 1895. Le texte a fait l'objet de publications partielles hors commerce dès 1920-1921 ; en 1924 l'¿uvre est publiée en intégralité en trois volumes, qui ne seront mis en vente qu'en 1926 ; en 1936 paraît l'édition définitive au tome X des ¿uvres complètes1.Le livre se compose de deux parties. Dans la première, l'auteur raconte ses souvenirs d'enfance : ses précepteurs, sa fréquentation discontinue de l'École alsacienne, sa famille, son amitié avec Pierre Louÿs, la naissance de sa vénération pour sa cousine, ses premières tentatives d'écriture.Dans la seconde partie, beaucoup plus courte, Gide retrace sa découverte du désir et de sa pédérastie lors d'un voyage en Algérie avec un jeune garçon, Ali.Gide fait le récit de l'échec total de sa vie conjugale avec Madeleine dans un autre récit autobiographique, écrit en 1938 peu après la mort de sa femme, publié en 1951 et intitulé Et nunc manet in te.Dans la première partie de ce récit autobiographique. Gide conte son enfance et son adolescence. Fortement marquée par une éducation puritaine, sa prime jeunesse se déroule dans un climat d'austérité religieuse et morale. Gide évoque le souvenir des séjours dans sa famille paternelle, languedocienne, et dans sa famille maternelle, normande. Il retrace le cours chaotique de sa scolarité, perturbée par la mort de son père et une fragilité nerveuse maladive. L'auteur décrit son goût très vif et précoce pour la lecture et la musique (à travers l'étude du piano). Il brosse le portrait des parents, des maîtres ou des amis qui ont compté dans la formation de son caractère et de son esprit. Dans la seconde partie, sont évoqués l'éveil au plaisir et la conquête de la liberté. Le jeune homme s'affranchit peu à peu de l'emprise religieuse et de l'autorité maternelle. Un long périple en Afrique où Gide, atteint par la tuberculose, frôle la mort, constitue l'étape décisive de cette évolution. Il découvre en lui l'empire du désir et se livre à ses premières expériences sexuelles. Comprenant que c'est dans l'homosexualité que sa sensualité trouve son vrai épanouissement, il brave progressivement les interdits de sa conscience puritaine et, sans parvenir tout à fait à faire taire la honte et le remords, il s'adonne au plaisir avec ardeur et bonheur. De retour en France, il a la douleur de perdre sa mère. Peu après, il se fiance avec sa cousine...
An dem flachen Ufer des Tursaflusses, dessen graugrüne Wellen langsam zum heiligen Brahmaputra fließen, stand auf dem schwachen Bodenrücken, der das Riedgelände scharf von den Weizenäckern scheidet, die Hüe Dasas und seiner jungen Gain Udschli. Dasa war ein Rayat von guter Kaste und in der Dorfschä angesehen. Udschli galt ür das schönste Weib der Gegend. Sie trug ihren Namen Udschli bedeutet auf Hindustanisch die Weiße ¿ mit Recht. Sie war von auffallend heller Haut, deren warme Tönung nur schwach ins Gelbe hinüberspielte, wie die äußeren Bläer einer Teerose. Ihr schweres schlichtes Haar, schwarz und glänzend wie gegläeter Gagat, fein wie Seide und duend wie Zimt, war nach der Landesart gescheitelt und mit Korallen- und Schmelzperlensträhnen durchflochten. Ein silbernes Geschmeide, mit vier kleinen Türkisen besetzt, hing in die glae Stirn und ließ sie bernsteinfarben erscheinen. Ihre großen Mandelaugen mit dem kleinen dunkeln Stern im bläulich schimmernden Apfel blickten still und san unter dem Schaen der sehr langen aufgekrümmten Wimpern. Den linken Flügel des wundervoll fein modellierten Näschens schmückte ein Silberplächen. Der edle Mund bezauberte mit seinen frischen tiefroten Lippen, hinter denen beim Sprechen und Lächeln die schönsten Zähne aulitzten. Wenn die Nachbarinnen sie in ihrem rosa und weiß gestreien Baumwollkleide, die Büste von einem Seidennetz modelliert, die silbernen Fußringe bei jedem Schrie leise erklirrend, durch die Dorfstraße dahinschreiten sahen, blickten sie ihrer hohen biegsamen Gestalt nach und flüsterten Segenssprüche ür ihr junges Haupt.Sie war bei groß und klein beliebt. Wegen ihrer Schönheit, wegen ihrer Sanmut, auch wegen ihres Schicksals. Sie war das einzige Kind ihrer Muer Rani, von der die Familie sie in frühem Alter getrennt hae. Denn Rani hae das Unglück, bald nach der Geburt Udschlis am Aussatz zu erkranken. In der ganzen Familie war bis dahin kein einziger Fall dieses schrecklichen Siechtums bekannt.
"Die vorliegende Literatur über Dichtungen legt es nahe, Ausührlichkeit in dergleichen Untersuchungen mehr auf Rechnung eines philologischen als eines kritischen Interesses zu setzen. Leicht könnte daher die folgende, auch im einzelnen eingehende Darlegung der Wahlverwandtschaen über die Absicht irre ühren, in der sie gegeben wird. Sie könnte als Kommentar erscheinen; gemeint jedoch ist sie als Kritik. Die Kritik sucht den Wahrheitsgehalt eines Kunstwerks, der Kommentar seinen Sachgehalt. Das Verhältnis der beiden bestimmt jenes Grundgesetz des Schritums, demzufolge der Wahrheitsgehalt eines Werkes, je bedeutender es ist, desto unscheinbarer und inniger an seinen Sachgehalt gebunden ist. Wenn sich demnach als die dauernden gerade jene Werke erweisen, deren Wahrheit am tiefsten ihrem Sachgehalt eingesenkt ist, so stehen im Verlaufe dieser Dauer die Realien dem Betrachtenden im Werk desto deutlicher vor Augen, je mehr sie in der Welt absterben. Damit aber tri¿ der Erscheinung nach Sachgehalt und Wahrheitsgehalt, in der Frühzeit des Werkes geeint, auseinander mit seiner Dauer, weil der letzte immer gleich verborgen sich hält, wenn der erste hervordringt. Mehr und mehr wird ür jeden späteren Kritiker die Deutung des Auffallenden und Befremdenden, des Sachgehaltes, demnach zur Vorbedingung. Man darf ihn mit dem Paläographen vor einem Pergamente vergleichen, dessen verblichener Text überdeckt wird von den Zügen einer kräigern Schri¿, die auf ihn sich bezieht. Wie der Paläograph mit dem Lesen der letztern beginnen müßte, so der Kritiker mit dem Kommentieren. "
" Descendant des comtes souverains de Toulouse, qui bataillèrent contre le pape Innocent III, contre le roi Louis VIII de France, mieux encore contre le rude sanglier Simon de Montfort, le comte Alphonse de Toulouse- Lautrec-Monfa, aujourd'hui trépassé, chassait à courre, à grand tapage de chiens et de trompes, en la terre de Loury en Loiret, quand sa femme, la comtesse née Adèle Tapié de Celeyran, lui fit discrètement annoncer la naissance de son fils Henri, né le 24 novembre 1864, à Albi, 14, rue de l'Ecole-Mage, dans un vieil hôtel de famille.Le veneur ne se hâta point pour cela de boucler son équipage. Officier de cavalerie, sorti de l'Ecole de Saint-Cyr, démissionnaire, et marié en l'année 1863, il avait tout de suite laissé sa femme à ses religieuses pratiques pour éperonner, lui, la vie libre, nettement excentrique qu'il chérissait. D'ailleurs, cet hoffmannesque gentilhomme avait de qui tenir. Son propre père avait été un rude coureur de bois et de halliers, farouche et autoritaire, qui avait terrorisé son entourage. Excellent cavalier, forcené chasseur, il n'avait presque jamais quitté la terre du Bosc, âpre terre située dans le Rouergue, et qui appartenait à sa femme. Mais ces loups ont tout de même une fin! Un soir, après avoir, durant toute la journée, sonné du cor, à se rompre les veines, il mourut d'une chute de cheval, laissant à son fils Alphonse la forte image d'un vieux veneur monté en couleurs, et dressé sur ses éperons, comme un hargneux coq sur ses ergots..."
Victor de l'Aveyron est un enfant sauvage français, peut-être né dans le Tarn vers 1785, trouvé dans l'Aveyron en 1797, alors qu'il a environ douze ans. Il meurt de pneumonie à Paris en 1828.Une approche clinique montre que ses nombreuses cicatrices atypiques ne relèvent pas de la vie en forêt, mais de maltraitances graves et de tentative d'homicide (longue cicatrice linéaire en regard du larynx, causée par un objet tranchant). Sa désocialisation apparaît mineure (il vient se chauffer près du feu dans les maisons, accepte de manger des aliments cuits et de dormir dans un lit), voire insignifiante si on la compare avec celle de l'autre enfant sauvage Marie-Angélique le Blanc.Victor de l'Aveyron est rétrospectivement décrit comme un enfant autiste, probablement abandonné par sa famille et comme un enfant martyr.
" Dans un monde qui est bien le nôtre, celui que nous connaissons sans diables, ni vampires, il se produit un événement qui ne peut s'expliquer par les lois de ce même monde familier. Le lecteur peut se dire ou bien il s'agit d'une illusion des sens, ou bien l'événement a véritablement eu lieu. Il se caractérise par l'irruption brutale et menaçante du surnaturel. A la différence du récit de science -fiction, le récit fantastique ne donne pas au lecteur la possibilité d'expliquer le phénomène; il se termine par un point d'interrogation qui prolonge le trouble."
" Es war in jener Zeit, als ich in Kristiania umherging und hungerte, in dieser seltsamen Stadt, die keiner verläßt, ehe er von ihr gezeichnet worden ist.........Ich lag wach in meiner Dachstube und hörte eine Uhr unter mir sechs Mal schlagen; es war schon ziemlich hell und die Menschen fingen an, die Treppen auf und nieder zu steigen. Unten bei der Türe, wo mein Zimmer mit alten Nummern des ¿Morgenblaes¿ tapeziert war, konnte ich ganz deutlich eine Bekanntmachung des Leuchtfeuerdirektors sehen, und ein wenig links davon eine fee, geschwollene Anzeige von frischgebackenem Brot des Bäckers Fabian Olsen. Sowie ich die Augen aufschlug, begann ich aus alter Gewohnheit nachzudenken, ob ich heute etwas häe, worauf ich mich freuen könnte. In der letzten Zeit war es mir ziemlich schlecht ergangen; eins nach dem anderen meiner Besitztümer hae ich zum ¿Onkel¿ bringen müssen, ich war nervös und unduldsam geworden; ein paar Mal mußte ich auch wegen Schwindels einen Tag lang im Be¿ bleiben. Hie und da, wenn das Glück mir günstig war, hae ich ünf Kronen ür ein Feuilleton von irgendeinem Blä ergaern können.Es tagte mehr und mehr, und ich begann, die Anzeigen unten bei der Türe zu lesen; ich konnte sogar die mageren grinsenden Buchstaben ¿Leichenwäsche bei Jungfer Andersen, rechts im Torweg¿ unterscheiden. Dies beschäigte mich eine lange Weile, ich hörte die Uhr unter mir acht schlagen, bevor ich aufstand und mich anzog."
" Meine Muer sprach, als davon die Rede war, Herrn von Norpois zum erstenmal einzuladen, ihr Bedauern aus, daß Professor Coard auf Reisen und sie selbst außer allem Verkehr mit Swann sei, denn beide wären ohne Zweifel ür den ehemaligen Botschaer interessant gewesen; mein Vater antwortete, ein Gast von der Bedeutung, ein Gelehrter vom Range Coards sei bei einem Diner immer am Platze, aber Swann mit seinem hochfahrenden Wesen, der aufdringlichen Art, seine belanglosesten gleichgültigsten Beziehungen auszuposaunen, sei ein gewöhnlicher Wichtigtuer, den der Marquis von Norpois, wie er sich ausdrückte, "übel« finden würde. Diese Erwiderung meines Vaters erfordert ein paar erklärende Worte, da sich mancher wohl noch eines recht mielmäßigen Coard und eines Swann entsinnen wird, der in gesellschalichen Dingen zurückhaltend diskret und äußerst taktvoll war. Allein, es war mit diesem alten Freunde meiner Eltern dahin gekommen, daß er "Swann junior« und den Swann vom Jockeyklub um eine neue Persönlichkeit vermehrt hae (und es sollte die letzte nicht sein), um den Gaen Odees. Wenn er den schlichten Ambitionen dieser Frau Instinkt, Begier und Umsicht, wie sie immer ihm geeignet haen, anpaßte, so geschah, es in der Absicht, weit unter seiner alten Stellung eine neue anzulegen, die der Geährtin, die sie mit ihm teilen sollte, entsprach. Er zeigte sich als ganz neuer Mensch."
Erkenntniskritische Vorrede"Da im Wissen sowohl als in der Reflexion kein Ganzes zusammengebracht werden kann, weil jenem das Innre, dieser das Äußere fehlt, so müssen wir uns die Wissenschä notwendig als Kunst denken, wenn wir von ihr irgend eine Art von Ganzheit erwarten. Und zwar haben wir diese nicht im Allgemeinen, im Überschwänglichen zu suchen, sondern, wie die Kunst sich immer ganz in jedem einzelnen Kunstwerk darstellt, so sollte die Wissenschä sich auch jedesmal ganz in jedem einzelnen Behandelten erweisen."
"Schneller als Moskau selber lernt man Berlin von Moskau aus sehen. Für einen, der aus Rußland heimkehrt, ist die Stadt wie frisch gewaschen. Es liegt kein Schmutz, aber es liegt auch kein Schnee. Die Straßen kommen ihm in Wirklichkeit so trostlos sauber und gekehrt vor, wie auf Zeichnungen von Grosz. Und auch die Lebenswahrheit seiner Typen ist ihm evidenter. Es ist mit dem Bilde der Stadt und der Menschen nicht anders als mit dem der geistigen Zustände: die neue Optik, die man auf sie gewinnt, ist der unzweifelhatteste Ertrag eines russischen Aufenthaltes. Mag man auch Rußland noch so wenig kennen was man lernt, ist, Europa mit dem bewußten Wissen von dem, was sich in Rußland abspielt, zu beobachten und zu beurteilen. Das ttällt dem einsichtsvollen Europäer als erstes in Rußland zu. Darum ist andrerseits der Aufenthalt ür Fremde ein so sehr genauer Prüfstein. Jeden nötigt er, seinen Standpunkt zu wählen. Im Grunde freilich ist die einzige Gewähr der rechten Einsicht, Stellung gewählt zu haben, ehe man kommt. Sehen kann gerade in Rußland nur der Entschiedene. An einem Wendepunkt historischen Geschehens, wie ihn das Faktum "Sowjet-Rußland« wenn nicht setzt, so anzeigt, steht gar nicht zur Debatte, welche Wirklichkeit die bessere, noch welcher Wille auf dem besseren Wege sei."
En 1927, Albert Londres embarque pour un périple de quatre mois dans les colonies françaises d'Afrique. Il a déjà écrit quelques articles sur les " petits Blancs " de Dakar, mais s'engage cette fois dans une enquête d'envergure sur les pratiques des colons usagers du " moteur à banane ". Il en rapporte un récit virulent, caustique, dont le lecteur sort tour a tour réjoui et atterré, dénonçant les milliers de morts survenue au nom de l'exploitation des forts et de la mise en valeur du territoire. Par la violence de ses dénonciations, Terre d'ébène suscitera furieuses polémiques et démentis violents. " Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie " écrit Albert Londres.
"Among the persons of the educated classes who follow with any attention all the more important movements of the times, it would now be difficult to find one to whom the word "Zionism" is quite unknown. People are generally aware that it describes an idea and a movement that in the last years has found numerous adherents among the Jews of all countries, but especially among those of the East. Comparatively few, however, both among the Gentiles and the Jews themselves, have a perfectly clear notion of the aims and ways of Zionism; the Gentiles, because they do not care sufficiently for Jewish affairs to take the trouble to inform themselves at first hand as to the particulars; the Jews, because they are intentionally led astray by the enemies of Zionism, by lies and calumnies, or because even among the fervent Zionists there are not many who have probed the whole Zionist idea to the bottom, and are willing or able to present it in a clear and comprehensible fashion, without exaggeration and polemical heat."
" Das achtzehnte Jahrhundert zählt in der Geschichte der Entwicklung der Menschheit zu jenen Perioden, auf denen der Blick des Kulturforschers und Fortschrittsfreundes mit besonderem Interesse ruht. Nach den religiösen, politischen und sozialen Kämpfen des Reformationszeitalters war, wie das stets nach großen Volks- und Massenbewegungen zu geschehen pflegt, eine Art Stillstand und Rückschlag für die Fortentwicklung eingetreten. Die durch die Reformationsbewegungen zur Geltung gekommenen Stände und Interessen suchten sich zu konsolidiren und die daraus hervorgehenden Reibungen führten wieder zu gewaltsamen Kämpfen und Erschütterungen von mehr oder weniger langer Dauer, die alle übrigen Interessen absorbirten, den materiellen wie den geistigen Fortschritt der Massen für lange Zeit hemmten...."
"Pour toute âme bien née, le philistin est la bête noire. Celui qui se sent la moindre génialité, à peine assez pour justifier le port de longs cheveux et le mépris du despotisme du chapeau tuyau-de-poèle, celui-là exerce ses biceps en frappant sur la tète du philistin, au figuré seulement, cela va de soi, car le philistin a d¿ordinaire un garçon de magasin, en supposant qüil n¿en soit pas un lui-même. Cette hostilité est de la basse ingratitude...Max Simon Nordau (Pest, 27 juillet 1849 - Paris 9e, 22 janvier 19231) est un médecin, auteur, critique sociologique et l'un des grands meneurs du sionisme, cofondant l'Organisation sioniste mondiale avec Theodor Herzl. Il fut président ou vice-président de plusieurs congrès sionistes.En tant que critique sociologique, il écrit un certain nombre de livres très controversés, dont Les mensonges conventionnels de notre civilisation (1883), Dégénérescence (1892) et Paradoxes sociologiques (1896). Bien que ce ne soit pas son ¿uvre la plus populaire ni considérée comme la plus réussie, celle dont on se souvient le plus et qui est de nos jours la plus citée et la plus critiquée est Dégénérescence.
" An Essay on Comedy and the Uses of the Comic Spirit is an unchanged, high-quality reprint of the original edition of 1897. Hansebooks is editor of the literature on different topic areas such as research and science, travel and expeditions, cooking and nutrition, medicine, and other genres. As a publisher we focus on the preservation of historical literature. Many works of historical writers and scientists are available today as antiques only. Hansebooks newly publishes these books and contributes to the preservation of literature which has become rare and historical knowledge for the future...."
Die mondklare, sternhelle Juninacht begann auch dem rastlosen Paris ihre Zauberstille anzuschmeicheln. Die eater waren seit einer Stunde geschlossen und der Strom ihrer Besucher in die Häuser versickert. Die hohen Mauern der verödeten Straßen hallten seltsam wider, wenn zwischen ihnen eine seltene Nachtdroschke entlangrumpelte. Rudolf Korte hae den Abend in einem Boulevardtheater verbracht, nach der Vorstellung noch auf der Terrasse eines Bierhauses eine Weile gesessen, um das allmähliche Abklingen und Ersterben des Weltstadtgetöses in seinen erregten Nerven genießend mitzuerleben, und dann den Heimweg durch das Hallenviertel genommen, das auch in der Nacht rege ist. Nun stand er wieder in wunderlicher Einsamkeit an der Steinbrüstung des Pont neuf und nahm das unvergleichliche Bild in Whistlerscher Manier, Silber und Dunkelblau, in sich auf. Der in breiten erlinien glitzernde Strom, der sich in der Ferne durch eine Rechtswendung dem verfolgenden Blick entzog, war vom roten Licht der Brückenlampen und dem Widerschein der Gasflammenzeilen beider Ufer feurig punktiert. Notre Dame zeichnete in den von einer geheimnisvollen Helligkeit überhauchten Himmel ihren ausdrucksvollen Umriß ein. In unabsehbarer Folge schaeten Türme, Kuppeln und Dachfirste auf den sternflimmernden silbern lasierten Grund hin. Es war eine andere Schönheit, als sie das Paris des Tages zeigt, eine Schönheit der Ruhe und des Friedens, die sich in feierlichen Architekturlinien ausdrückt und von der Rudolf Korte den entzückten Blick nicht loslösen konnte.
Dieses Buch erhebt den Anspruch, die Anschauungen der meisten auf der Höhe der zeitgenössischen Bildung stehenden Menschen getreu wiederzugeben. Es sind gewiß Millionen Angehörige der Kulturvölker durch eigenes Nachdenken dahin gelangt, an den bestehenden staatlichen und gesellschalichen Einrichtungen genau dieselbe Kritik zu üben, die in den nachfolgenden Bläern enthalten ist, und die hier ausgesprochene Ansicht zu theilen, daß diese Einrichtungen unvernünig, der naturwissenscha lichen Weltanschauung widersprechend und darum unhaltbar sind. Trotzdem kann es nicht ausbleiben, daß man beim Lesen dieses Buches die Augen verdrehen und die Hände über dem Kopfe zusammenschlagen wird, und wohl nicht am wenigsten eifrig Mancher, der darin seine eigenen geheimsten Meinungen ausgedrückt findet. Das ist es eben, weshalb der Verfasser geglaubt hat, es sei nothwendig, es sei unerläßlich, dieses Buch zu schreiben. Die schwere Krankheit der Zeit ist die Feigheit.
"Das Piepen der Vögel morgens kam Françoise abgeschmackt vor. Bei jedem Wort der "Bonnen« fuhr sie in die Höhe; es war ihr lästig, wenn sie ihre Schrie hörte, und sie fragte sich, was sie nur treiben! Wir waren umgezogen. Gewiß machten die Dienstboten, die sie in dem sechsten Stock über unserer früheren Wohnung hörte, nicht weniger Lärm; aber die kannte sie, mit ihrem Kommen und Gehn hae sie sich angefreundet. Jetzt gab sie gequält sogar auf die Stille acht. Und da unser neues Viertel so still schien wie der Boulevard, an dem wir bisher wohnten, laut war, trieb ¿ schwach, von fern gehört wie ein Orchestermotiv das Lied eines Vorübergehenden der Françoise in ihrem Exil die Tränen in die Augen. Wohl hae ich mich über sie lustig gemacht, als sie bekümmert war, ein Haus verlassen zu müssen, wo man "allerseits so geachtet« war, als sie mit Tränen ihre Koffer nach den Riten von Combray packte und das Haus, das unser Haus war, ür das beste aller denkbaren Häuser erklärte; nun aber ühlte ich, der ich doch so leicht Neues aufnahm und Altes aufgab, mich unserer alten Dienerin näher, als ich sah, wie es sie nahezu krank machte, in einem Hause sich einrichten zu müssen, wo ihr von dem Pörtner, der uns noch nicht kannte, nicht die Achtung bezeigt wurde, die ür ihre gute seelische Ernährung so notwendig war. Sie allein konnte mich verstehn, sicherlich nicht ihr junger Lakai: ür ihn, der eben ganz und gar nicht aus Combray war, bedeutete umziehen und ein neues Viertel bewohnen etwas ähnliches wie Ferien haben; die Neuheit aller Dinge wirkte beruhigend auf ihn wie eine Reise; ihm war zu Mute wie auf dem Lande; ein Schnupfen gab ihm, wie ein Luzug, den man am schlecht schließenden Waggonfenster bekommt, den köstlichen Eindruck, er habe fremdes Land gesehn; jedesmal, wenn er nieste, freute er sich, eine so feine Stellung gefunden zu haben; hae er sich doch immer eine Herrscha gewünscht, die viel reiste. So kümmerte ich mich denn nicht um ihn, sondern wandte mich an Françoise selbst; aber wie ich über ihre Tränen bei einem Umzug, der mich kalt ließ, gelacht hae, blieb nun sie meiner Traurigkeit gegenüber eisig, weil sie sie teilte."
Dans la Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique écrite en 1914, Freud retrace les débuts difficiles de la psychanalyse et les résistances qu'elle rencontra.
"Die Begründung der schönen Künste und die Einsetzung ihrer verschiedenen Typen geht auf eine Zeit zurück, die sich eingreifend von der unsrigen unterschied, und auf Menschen, deren Macht über die Dinge und die Verhältnisse verschwindend im Vergleich zu der unsrigen war. Der erstaunliche Zuwachs aber, den unsere Mi¿el in ihrer Anpassungsähigkeit und ihrer Präzision erfahren haben, stellt uns in naher Zukun die eingreifendsten Veränderungen in der antiken Industrie des Schönen in Aussicht. In allen Künsten gibt es einen physischen Teil, der nicht länger so betrachtet und so behandelt werden kann wie vordem; er kann sich nicht länger den Einwirkungen der modernen Wissenschä und der modernen Praxis entziehen. Weder die Materie, noch der Raum, noch die Zeit sind seit zwanzig Jahren, was sie seit jeher gewesen sind. Man muß sich darauf gefaßt machen, daß so große Neuerungen die gesamte Technik der Künste verändern, dadurch die Invention selbst beeinflussen und schließlich vielleicht dazu gelangen werden, den Begriff der Kunst selbst auf die zauberhäeste Art zu verändern."
"An dem flachen Ufer des Tursaflusses, dessen graugrüne Wellen langsam zum heiligen Brahmaputra fließen, stand auf dem schwachen Bodenrücken, der das Riedgelände scharf von den Weizenäckern scheidet, die Hüe Dasas und seiner jungen Gain Udschli. Dasa war ein Rayat[in englischer Schreibung Ryot, indischer Landwirt] von guter Kaste und in der Dorfscha angesehen.Udschli galt ür das schönste Weib der Gegend. Sie trug ihren Namen Udschli bedeutet auf Hindustanisch die Weiße mit Recht. Sie war von auffallend heller Haut, deren warme Tönung nur schwach ins Gelbe hinüberspielte, wie die äußeren Bläer einer Teerose. Ihr schweres schlichtes Haar, schwarz und glänzend wie gegläeter Gagat, fein wie Seide und duend wie Zimt, war nach der Landesart gescheitelt und mit Korallen- und Schmelzperlensträhnen durchflochten. Ein silbernes Geschmeide, mit vier kleinen Türkisen besetzt, hing in die glae Stirn und ließ sie bernsteinfarben erscheinen. Ihre großen Mandelaugen mit dem kleinen dunkeln Stern im bläulich schimmernden Apfel blickten still und san¿ unter dem Schaen der sehr langen aufgekrümmten Wimpern. Den linken Flügel des wundervoll fein modellierten Näschens schmückte ein Silberplächen. Der edle Mund bezauberte mit seinen frischen tiefroten Lippen, hinter denen beim Sprechen und Lächeln die schönsten Zähne aulitzten. Wenn die Nachbarinnen sie in ihrem rosa und weiß gestreien Baumwollkleide, die Büste von einem Seidennetz modelliert, die silbernen Fußringe bei jedem Schrie leise erklirrend, durch die Dorfstraße dahinschreiten sahen, blickten sie ihrer hohen biegsamen Gestalt nach und flüsterten Segenssprüche ür ihr junges Haupt."
Car on ne le lit plus du tout et il est de ceux que l'on ne connaît que par ce que les professeurs de philosophie en disent dans leurs cours ou en écrivent dans leurs manuels. Il n'est plus que scolaire.La scolarité est d'abord le triomphe, puis le tombeau des auteurs. Elle les consacre d'abord comme étant de ceux qui doivent entrer dans l'entretien et comme dans l'aliment de l'humanité, et c'est la plus illustre et la plus chère récompense qui puisse stimuler l'ambition d'un homme et la satisfaire. Un temps vient ensuite où la scolarité enterre un auteur. Comme il n'est plus qu'à moitié dans les préoccupations intellectuelles du public, chacun n'y prend garde qu'au cours de ses études, et, quittés les bancs, on ne le lit plus parce qu'on croit l'avoir lu et qu'on se tient quitte envers lui. Quand ce moment arrive pour un écrivain, il vaudrait mieux pour lui que les professeurs le laissassent de côté, moyennant quoi, après avoir quitté le collège, le curieux irait à lui comme à quelque chose d'inconnu, de non touché et d'imprévu.
Weshalb "Paradoxe«? Weil dieses Buch an die darin behandelten Probleme in voller Unbefangenheit herantri¿, unbeirrt von einschüchternden Dekreten der Schule und unbekümmert um herkömmliche Anschauungen. Behauptungen, die ür unantastbar gelten, weil man sie nie zur Rede gestellt hat, müssen es sich gefallen lassen, nach ihren Legitimationspapieren gefragt zu werden, und da zeigt es sich ö genug, daß sie keine haben. Gemeinplätze werden gezwungen, den Wahrheitsbeweis anzutreten, und wenn sie ihn nicht ühren können, so behütet sie weder Rang noch Stand vor der Verurteilung. Dieses Buch soll hauptsächlich beweisen, daß auch das Selbstverständlichste noch sehr viele Fragen offen läßt und große Verlegenheiten bereitet, sowie, daß es ür dieselbe atsache die entgegengesetztesten Auffassungen und Erklärungen geben kann, die V orwort zur ersten Auflage. Optimismus o der Pessimismus? Mehrheit und Minderheit. Rückblick alle gleich einleuchtend scheinen und wahrscheinlich alle gleich falsch sind. Der Verfasser wird seine Absicht erreicht haben, wenn er den Leser dazu veranlaßt, allen fertigen Formeln gegenüber mißtrauisch, aber auch allen ehrlichen Meinungen gegenüber nachsichtig zu werden. Der überzeugendste Beweis soll noch einen Zweifel übrig lassen, aber auch das unannehmbarste Argument geduldiger Prüfung gewürdigt werden, vor allem aber soll man niemals auf das Recht eigener Entscheidung verzichten, und wäre es zu Gunsten der größten Autorität. Der Verfasser giebt gerne zu, daß diese Regeln zuerst auf ihn angewandt werden. Er verlangt nicht, daß man seine Meinungen teile, nur daß man sie anhöre. Er schmeichelt sich nicht, Lösungen gebracht zu haben, er möchte nur den Leser anregen, selbst nach solchen auszuschauen. Im Streben nach der Wahrheit ist ja nicht das Finden die Hauptsache, sondern das Suchen. Der hat genug gethan, der ehrlich gesucht hat.Im Mai 1885. Der Verfasser.
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