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Dans ses "Cours sur les Origines de la Vie Religieuse", Émile Durkheim explore les fondements et les origines de la vie religieuse au sein des sociétés humaines. Durant ces cours, Durkheim utilise une approche sociologique pour analyser les formes primordiales de la religion, mettant l'accent sur les concepts de sacré, de profane et de totem. Il examine également le rôle social de la religion et son impact sur la cohésion sociale. Ces cours offrent une perspective pionnière sur l'étude sociologique des phénomènes religieux, soulignant l'importance des croyances collectives dans la structuration des sociétés.
La Logique de la Science" de Charles Sanders Peirce est une ¿uvre majeure dans le domaine de la philosophie de la science et de la logique. Peirce, philosophe, logicien et scientifique américain, développe sa théorie pragmatique de la signification et de la connaissance. Il explore les fondements logiques du processus scientifique, introduisant des concepts tels que la sémiotique et l'abduction. L'ouvrage offre une approche novatrice de la méthode scientifique, mettant en avant l'idée que la vérité et la signification émergent de l'expérience et de l'interaction avec le monde réel. Cette ¿uvre est une contribution majeure à la philosophie de la science et continue d'influencer la pensée contemporaine.
"De la Définition des Phénomènes Religieux" d'Émile Durkheim est une ¿uvre dans laquelle le sociologue français examine et propose une définition des phénomènes religieux. Durkheim, pionnier de la sociologie, s'attache à dépasser les conceptions individualistes de la religion en mettant l'accent sur la dimension sociale et collective de la foi. Il explore les éléments qui définissent une croyance comme religieuse et examine comment ces phénomènes jouent un rôle central dans la cohésion sociale. L'ouvrage constitue une contribution majeure à la sociologie de la religion en introduisant des concepts tels que le sacré et le profane, jetant ainsi les bases de la compréhension sociologique des pratiques religieuses.
Le Sentiment du Beau et le Sentiment Poétique" est un ouvrage qui explore les concepts du sentiment de la beauté et du sentiment poétique, cherchant à comprendre la nature de ces expériences esthétiques.L'ouvrage aborde des questions philosophiques sur la perception de la beauté, les émotions liées à cette perception, et la manière dont la poésie peut être une expression artistique de ces sentiments. Les thèmes de l'esthétique et de la poésie sont souvent explorés de manière philosophique pour comprendre la nature de l'expérience artistique.
Ce livre est une étude approfondie sur les forêts et leur impact sur le climat. Becquerel y examine comment les forêts peuvent avoir un effet positif sur le climat en régulant la température et en réduisant l'érosion du sol. Il explore également les conséquences négatives de la déforestation, telles que l'augmentation de la température, la diminution des précipitations et l'augmentation de l'érosion. Le livre est une source importante pour les scientifiques et les écologistes intéressés par l'impact des forêts.
Herbert Spencer, un philosophe et sociologue britannique du XIXe siècle, a écrit "Introduction à la Science Sociale" dans lequel il développe ses idées sur l'évolution sociale et l'application du concept de darwinisme social aux sociétés humaines. Voici un résumé général :Contexte : Rédigé au XIXe siècle, l'ouvrage s'inscrit dans le contexte de la révolution industrielle et de l'émergence de nouvelles idées scientifiques. Spencer tente d'appliquer les principes de la biologie évolutionniste de Darwin à la société humaine.Darwinisme social : Spencer est connu pour avoir popularisé le concept de darwinisme social, qui s'inspire de l'idée de la sélection naturelle de Darwin pour expliquer l'évolution des sociétés humaines. Il suggère que les sociétés évoluent de manière similaire aux espèces biologiques, avec une sélection naturelle des institutions et des pratiques sociales les mieux adaptées.Évolution sociale : L'auteur examine l'évolution sociale comme un processus naturel, mettant en avant l'idée que les sociétés passent par des stades de développement similaires à ceux observés dans le règne animal. Il propose que les sociétés évoluent de formes simples vers des formes plus complexes.Individualisme : Spencer promeut l'individualisme et la non-intervention de l'État dans les affaires sociales. Il soutient que la société prospère lorsque les individus sont libres de poursuivre leurs intérêts personnels, et que l'intervention gouvernementale entrave ce processus.Critiques : Les idées de Spencer ont été controversées, car elles ont été utilisées pour justifier des politiques sociales et économiques qui ont souvent négligé les aspects éthiques et humains. Ses théories ont été critiquées pour leur application simpliste des principes de la biologie à la société.L'¿uvre d'Herbert Spencer, y compris son "Introduction à la Science Sociale", a eu une influence importante sur le développement ultérieur de la sociologie et de la pensée sociale, bien que certaines de ses idées aient été largement débattues et contestées au fil du temps.
" Frappé de la médiocrité littéraire d¿ un trop grand nombre de recueils poétiques mis entre les mains des enfants, nous avions exprimé, il y a quelques années¿ le souhait de voir composer à , leur usage une anthologie qui comprendrait des poésies vraiment belles, accessibles à de jeunes esprits. Notre v¿u n¿ ayant pas été exaucé, nous avons taché de le réaliser nous même, avec la collaboration d'une jeune mère déjà soucieuse de l'éducation future de son fils."
Maison rustique du xixe siècle est le nom d'une série de cinq tomes d'une encyclopédie, rédigée au début du xixe siècle, vouée à l'agriculture et à la sylviculture, à la vie à la ferme. Ses auteurs veulent produire à la fois un traité exhaustif de l'agriculture au xixe siècle et une « encyclopédie pratique ». L'encyclopédie rencontre rapidement un succès national, et même européen.
Le titre donné à ce volume est peut-être de nature à causer bien des surprises et des déceptions.Le nom de Saint-Thomas évoque invinciblement, pour l'Haïtien, la vie de l'exil, avec ses angoisses, ses tentations et ses suggestions souvent agressives, stimulées, à la fois, par la nostalgie patriotique et le brûlant désir de changer un ordre de choses qu'on juge mauvais. En le voyant, on croirait doncqu'il s'agit, dans les lettres qu'on va lire, des combinaisons plus ou moins compliquées, des plans d'attaque, des projets politiques qui se forgeaient dans l'île danoise, durant le temps que j'y restai, entouré de nombreux concitoyens obligés de fuir la terre haïtienne, d'abandonner leurs foyers pour échapper aux outrages, au martyre de nos prisons et même à l'assassinat prétendument juridique. Mais il n'en est rien. Ces lettres que je présente à l'appréciation et à la médi- tation du lecteur, avec des introductions qui en étendent et en complètent le sens, portent la mention du lieu où elles ont été écrites. Voilà tout.
La fille du Maréchal de Saxe, Aurore, déjà veuve du Comte de Horn, épousa en seconde noce Claude Dupin de Francueil, Fermier Général de la province du Berry et d¿Albret emprisonnée comme noble que grâce au 9 Thermidor. y ayant vécu avec son mari pendant quelque temps, au Château Raoul sa résidence. Elle cherchait à retrouver le calme et le repos dans la solitude, avec son fils Maurice Dupin qui rêvait de s¿ engager dans la carrière militaire comme son grand-père le Maréchal ,Toujours victorieux, Mme Dupin de Francueil acheta donc, au c¿ur du Chateauroux. Elle connaissait le Berry, Berry, le bon domaine de Nohant dont la construction féodale remontait à 1393 ; mais ce château passant par différents propriétaires au cours des siècles, fut définitivement reconstruit sous Louis VI et fut acheté au dernier possesseur, le Seigneur Pearron de Serennes, par Mme Dupin de Francueil.
Marie Louise Vincent est une écrivaine et biographe française qui a consacré plusieurs ouvrages à des personnalités littéraires, dont George Sand.Dans "George Sand et l'amour", Marie Louise Vincent explore la vie amoureuse de George Sand, l'une des figures littéraires les plus importantes du XIXe siècle en France. L'ouvrage examine ses relations, ses passions et son approche de l'amour dans le contexte de son époque.
Dans "La Révolution Française" d'Albert Mathiez, l'auteur examine les principales étapes de cette période historique. Le livre traite de la chute de la royauté, détaillant les circonstances et les forces politiques à l'origine de cet événement. Mathiez analyse également les tensions entre la Gironde et la Montagne, deux factions politiques clés, et explore leur impact sur le cours des événements.Une partie significative du livre est consacrée à la période de la Terreur, où des mesures radicales sont mises en place pour défendre la Révolution. Mathiez explore les motivations derrière ces actions, les acteurs principaux impliqués, et les conséquences sur la société française."La Révolution Française" offre une analyse détaillée de la chute de la royauté, des conflits internes entre la Gironde et la Montagne, ainsi que des événements marquants de la Terreur au cours de la Révolution française.
Dans "Ma Vie" de David Hume, traduit en français par Jean-Baptiste Antoine Suard, l'auteur relate son parcours personnel, intellectuel, et philosophique. Hume, en tant que philosophe écossais majeur du XVIIIe siècle, partage des anecdotes sur sa vie, ses influences, et ses expériences qui ont façonné sa pensée.L'ouvrage contient des réflexions sur ses travaux philosophiques, ses relations avec d'autres penseurs de l'époque, ainsi que sur les événements historiques marquants de son temps. Hume partage ses perspectives sur la nature humaine, la religion, et d'autres sujets qui ont occupé une place importante dans son ¿uvre.extrait : Il est difficile de parler de soi longtemps sans vanité. Je serai donc court. On pourra cependant regarder comme un trait de vanité la fantaisie que j'ai d'écrire ma vie; mais ce récit ne contiendra guère que l'histoire de mes écrits; et en effet, presque toute ma vie s'est consumée en occupations et en travaux littéraires. D'ailleurs, le genre de succès qu'ont eu d'abord la plupart de mes ouvrages n'est pas fait pour être un sujet de vanité.En 1751, je quittai la campagne pour la ville, qui est la véritable résidence d'un homme de lettres. En 1752, je publiai à Edimbourg, où je vivais alors, mes Discours politiques, le seul de mes ouvrages qui ait eu du succès en paraissant. Il fut très bien accueilli et en Angleterre et en Écosse. On publia à Londres dans la même année mes Recherches sur les principes de la morale, celui de tous mes écrits, historiques, philosophiques ou littéraires, qui (s'il m'est permis d'avoir une opinion sur ce sujet) me paraît sans comparaison le meilleur. On n'y fit aucune attention lorsqu'il parut.Je terminerai ceci en historien exact, par la peinture de mon caractère. Je suis, ou plutôt j'étais (car c'est le ton que je dois prendre en parlant de moi, et qui m'enhardit même à dire ce que je pense), j'étais, dis-je, un homme d'un caractère doux, maître de moi-même, d'une humeur ouverte, gaie et sociale, capable d'amitié, mais très peu susceptible de haine, et très modéré dans toutes mes passions. Le désir même de la renommée littéraire, qui a été ma passion dominante, n'a jamais aigri mon caractère, malgré les fréquents revers que j'ai éprouvés. Ma conversation n'était désagréable ni aux jeunes gens, ni aux oisifs, ni aux hommes studieux et instruits; et comme je trouvais un plaisir particulier dans la société des femmes honnêtes, je n'ai pas eu lieu d'être mécontent de la manière dont j'en ai été traité. En un mot, quoiqu'il n'y ait guère eu d'hommes distingués en quelque genre que ce soit qui n'aient eu à se plaindre de la calomnie, je n'ai jamais senti l'atteinte de sa dent envenimée; et quoique je me sois exposé assez légèrement à la rage des factions politiques et religieuses, elles ont paru se dépouiller en ma faveur de leur férocité ordinaire. Mes amis n'ont jamais eu besoin de justifier aucune circonstance de ma conduite ni de mon caractère. Ce n'est pas que les fanatiques n'eussent été disposés, comme on peut bien le croire, à fabriquer et à répandre des fables à mon désavantage, mais ils n'ont jamais pu en inventer une seule qui eût quelque apparence de probabilité. Je ne puis pas dire qu'il n'y ait point de vanité à faire ainsi ma propre oraison funèbre, mais j'espère que du moins, on ne la trouvera pas hors de propos : c'est un point de fait qui va être bientôt éclairci et constaté.
"Les Opinions et les Croyances: Genèse, Évolution" de Gustave Le Bon examine la formation, l'évolution et l'influence des opinions et des croyances dans la société. Le Bon, psychologue social et sociologue, explore les mécanismes psychologiques et sociaux qui sous-tendent la naissance des opinions collectives et des croyances populaires. Il examine également comment ces opinions évoluent au fil du temps et influent sur le comportement individuel et social. L'ouvrage offre une analyse approfondie des processus psychologiques qui façonnent les convictions collectives, tout en mettant en évidence leur impact sur les dynamiques sociales.
"L'Opposition Universelle: Essai d'une Théorie des Contraires" de Gabriel Tarde explore la notion d'opposition dans une perspective universelle. Tarde, sociologue et criminologue, propose une théorie des contraires qui examine comment les forces opposées influent sur les dynamiques sociales, économiques et culturelles. L'auteur explore les tensions et les antagonismes présents dans divers domaines de la vie humaine, offrant une réflexion approfondie sur la nature des oppositions et leur rôle dans la société. L'ouvrage constitue une contribution significative à la compréhension des phénomènes sociaux sous l'angle des relations antagonistes entre les contraires.
"Névrose Obsessionnelle" d'Alfred Adler aborde le concept de névrose obsessionnelle, une condition psychologique caractérisée par des pensées obsessionnelles et des comportements compulsifs. Adler, l'un des fondateurs de la psychologie individuelle, examine les mécanismes sous-jacents de cette névrose, mettant en lumière les facteurs psychologiques qui contribuent à son développement. L'ouvrage propose des perspectives sur la compréhension de la psyché humaine et offre des pistes pour aborder et traiter les troubles obsessionnels. Dans l'ensemble, il constitue une contribution importante à la psychologie clinique et à la compréhension des troubles mentaux.
"De la Nature de la Richesse et de l'Origine de la Valeur" d'Auguste Walras, augmenté de notes inédites de Jean-Baptiste Say, explore les concepts économiques fondamentaux liés à la nature de la richesse et à l'origine de la valeur. L'ouvrage examine les principes qui sous-tendent la création et la distribution de la richesse, offrant des perspectives éclairantes sur l'économie politique. Les notes inédites de Jean-Baptiste Say ajoutent une dimension supplémentaire à l'analyse, enrichissant le texte original de Walras. Dans l'ensemble, cet ouvrage constitue une contribution significative à la pensée économique du XIXe siècle.
"L'¿uvre Économique de David Hume" d'Albert Schatz, docteur en droit et avocat à la Cour d'Appel, explore la contribution de David Hume dans le domaine économique. L'auteur examine les idées économiques de Hume, mettant en lumière sa perspective sur des questions telles que la monnaie, le commerce international et la théorie de la valeur. L'ouvrage offre une analyse approfondie des écrits économiques de Hume, soulignant leur importance dans le contexte de la pensée économique du XVIIIe siècle. Cette étude contribue à une meilleure compréhension de l'influence de Hume sur le développement des théories économiques.
L'Introduction Biographique sur la Vie et les Travaux d'Auguste Walras" par Gaston Leduc offre un aperçu détaillé de la vie et des contributions d'Auguste Walras. En tant que professeur à la Faculté de Droit de Caen, Leduc explore les réalisations professionnelles, intellectuelles et académiques de Walras, mettant en lumière son impact dans le domaine du droit. L'ouvrage fournit également des informations biographiques, permettant aux lecteurs de mieux comprendre la personnalité et l'héritage de ce juriste éminent. L'introduction offre ainsi une perspective approfondie sur la vie d'Auguste Walras et son influence dans le domaine juridique.
Dans le "Manifeste au Service du Personnalisme" d'Emmanuel Mounier, le philosophe français expose les principes fondamentaux du personnalisme. L'ouvrage défend la primauté de la personne humaine dans la société et explore comment le personnalisme peut influencer la politique, l'économie et la culture. Mounier appelle à une réflexion approfondie sur la dignité et la responsabilité individuelles, cherchant à promouvoir une société où chaque personne est reconnue et respectée dans sa singularité. Ce manifeste offre une vision philosophique engagée en faveur de la place centrale de l'individu au sein de la communauté.
"M¿urs et coutumes des basses classes de l¿Inde" du Général George Mac Munn, traduit de l'anglais par Marie-Louise D¿Erlot, offre un regard approfondi sur la vie quotidienne, les traditions et les coutumes des classes inférieures en Inde. L'auteur, avec une approche anthropologique, explore les aspects sociaux, culturels et économiques de ces communautés, fournissant des observations détaillées sur leurs modes de vie. Cet ouvrage offre une contribution précieuse à la compréhension de la diversité culturelle et sociale de l'Inde à travers le prisme des classes moins favorisées.
"Monadologie et sociologie" de Gabriel Tarde propose une exploration approfondie de la relation entre la monadologie, une philosophie métaphysique qui envisage l'existence comme une collection d'entités individuelles distinctes appelées monades, et la sociologie. L'auteur examine comment ces concepts peuvent être appliqués pour comprendre les phénomènes sociaux et les interactions humaines. Tarde explore la manière dont la monadologie peut éclairer notre compréhension des dynamiques sociales, offrant une perspective originale qui fusionne la métaphysique avec l'analyse sociologique.
"Méthode historique et science sociale" (2e partie) de François Simiand se penche sur les principes et applications de la méthode historique dans le contexte plus large des sciences sociales. L'auteur discute des approches spécifiques utilisées dans la recherche historique, soulignant l'importance de la rigueur méthodologique et de l'analyse critique des sources.
"Le Mythe des Guerres de Légitime Défense" de Georges Demartial propose une analyse critique des notions entourant les guerres sous le prétexte de la légitime défense. L'auteur remet en question le concept de légitime défense dans le contexte des conflits internationaux, explorant comment il peut être utilisé comme un prétexte pour justifier des actions militaires. Demartial examine les implications morales, politiques et juridiques de cette notion, offrant une réflexion approfondie sur la manière dont elle peut être manipulée et interprétée dans le paysage géopolitique contemporain.
"La méthode positive en science économique" de François Simiand expose les principes fondamentaux de l'approche positive dans le domaine de la science économique. L'auteur met en lumière l'importance de baser l'analyse économique sur des faits concrets et observables, soulignant la nécessité de développer une méthodologie empirique. Simiand explore comment cette approche peut contribuer à une compréhension plus précise des phénomènes économiques, favorisant ainsi le progrès et la rigueur dans cette discipline.
Dans "Matière et Mémoire" d'Henri Bergson, l'auteur explore la complexe relation entre le corps et l'esprit. L'essai examine la question de la mémoire et son lien avec la matière, offrant une perspective philosophique sur la manière dont le corps et l'esprit interagissent. Bergson analyse comment la mémoire façonne notre compréhension du monde et influence notre expérience subjective. Il aborde également la nature de la perception, la distinction entre la mémoire volontaire et la mémoire involontaire, ainsi que la manière dont ces éléments contribuent à la construction de notre réalité individuelle.En résumé, "Matière et Mémoire" est un essai dans lequel Henri Bergson explore la relation entre le corps et l'esprit à travers le prisme de la mémoire, offrant une réflexion philosophique sur la façon dont ces éléments entrelacés influencent notre perception et notre compréhension du monde.
Le régime féodal de la Chine ancienne est très mal connu. Les documents contemporains sont rares et peu explicites : les inscriptions, difficiles à déchiffrer, et le plus souvent d¿une brièveté qui les rend très obscures, ne sont pas toujours compréhensibles pour nous, lorsqüelles sortent des formules banales et parlent de faits que nous ignorons. Quant aux documents littéraires (101), remontant à l¿époque féodale, Yi-king (Livre de Divination), Che-king (Livre des Odes), Chou-king (Livre des Documents), ils ne mentionnent les institutions qüen passant. Confucius et Mo-tseu ont vu la fin des temps féodaux, mais Confucius n¿a laissé aucun écrit et ses Entretiens (Louen-yu) ont été rédigés par ses disciples un siècle au moins après sa mort ; et quant à Mo-tseu, son ¿uvre a été retouchée par ses disciples pendant les deux siècles suivants. Les textes historiques les plus anciens, Tch¿ouen-ts¿ieou et Tchou-chou ki-nien, sont, au plus tôt des derniers temps de ce régime, alors qüil n¿en subsistait plus guère que quelques formes extérieures ; et d¿ailleurs, ce sont des chroniques très sèches qui ne nous apprennent presque rien. Les livres qui fournissent le plus de renseignements sont les Rituels (Li-ki, Tcheou-li) et les grands ouvrages historiques (Tso-tchouan, Kouo-yu) ; mais ils sont très tardifs (IIIe siècle A. C.) et au temps où ils furent écrits, le régime féodal antique avait entièrement disparu. Le Li-ki (Mémoires sur les Rites) est un recueil d¿opuscules ritualistes confucéens rédigés, les plus anciens, à la fin du IVe siècle, les plus récents, au début du Ier siècle avant notre ère ; les lettrés qui les ont composés ont utilisé les traditions relatives à l¿antiquité pour construire un régime utopique de gouvernement en complétant systématiquement en séries régulières les faits conformes à leurs théories, et en laissant de côté les autres. Le Tcheou-li (Rituel des Tcheou), d¿autre part, est une glorification du pouvoir royal qui lui aussi pousse la systématisation très loin, mais qui a l¿avantage de ne pas avoir fait subir aux faits de déformation confucianiste. Le Tso-tchouan et le Kouo-yu apportent des documents moins travaillés ; ils sont fondés en grande partie sur des ouvrages plus anciens ; et comme ils ne cherchent pas à faire du ritualisme systématique, ils déforment moins les faits que les Rituels. De tous ces ouvrages, le plus facile à consulter est le Li-ki dont certains chapitres, surtout avec leurs Commentaires, sont très clairs et très précis ; aussi est-ce de lui qüon s¿est le plus souvent servi pour décrire les institutions féodales chinoises anciennes. Mais, en dehors des rites et des cérémonies usuels et courants, c¿est la source la moins sûre : s¿il contient certainement des faits vrais, nous n¿avons aucun critérium pour les distinguer des faits d¿imagination. J¿ai donc entièrement laissé de côté ce livre ; je me suis servi avant tout des inscriptions, ainsi que du Che-king, du Chou-king, du Yi-king, documents contemporains des faits étudiés, et même aussi des historiens (y compris le Tso-tchouan, malgré sa date récente), en ne tenant compte que des faits matériels, mais non des interprétations et des explications qüils peuvent donner.
"Aimée Pallière, Bergson et le Judaïsme" est un ouvrage écrit par Aimée Pallière, une écrivaine et mystique française du XXe siècle. Aimée Pallière était également la belle-s¿ur du philosophe Henri Bergson.Dans cet ouvrage, Aimée Pallière explore la relation entre Bergson, un important philosophe français, et sa propre compréhension du judaïsme. Elle examine comment les idées philosophiques de Bergson interagissent avec ses racines juives et comment cela influence sa pensée.
"Bien que nous ayons l¿habitude de ne pas négliger la préface des ouvrages que nous lisons, nous comprenons difficilement celui qui se hisse a la fenêtre sans aller, par la porte, faire connaissance avec le maître du logis, nous aurions volontiers sacrifié cette courte introduction en nous retranchant derrière ce dicton menteur et vieilli, lequel prétend que les préfaces ne se lisent guère.Ma is nous ne pouvons nous dispenser de jeter un Coup d¿¿il sur l¿état actuel de la culture maraîchère dans notre pays, et il nous faut aussi exposer en peu de mots les modifications apportées aux précédentes éditions de ce traité".
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