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Une végétation luxuriante entoure le voyageur. Pervenches d¿azur, campanules de pourpre, feuilles vert tendre aux nervures roses, mousses et dentelures des fougères arborescentes, corolles capricieuses des orchidées, autant de fleurs et de rameaux, autant de couleurs et de formes. Les gouttes de résine dorée suintent sur les troncs rugueux ; des lianes inextricables grimpent aux arbres séculaires, étreignant de leurs spires puissantes l¿écorce lisse ou les fûts noirâtres des arbres. Au-dessus du sentier, s¿élève un dôme de verdure impénétrable au soleil, plein d¿humidité et de fraîcheur. Le relief du sol est très accentué : on monte d¿interminables lacets, on descend des pentes abruptes, on contourne d¿énormes blocs erratiques, on franchit à gué d¿impétueux torrents. Une continuelle pénombre rend le paysage encore plus calme et plus mystérieux. Puis brusquement la voûte s¿éclaire, les arbres deviennent plus petits et plus rares, et le soleil se montre. On a traversé la forêt et descendu la falaise. On n¿est plus qüà 600 mètres d¿altitude.
Avant de commencer la lecture d¿un voyage, on aime généralement à connaître ; par qui il a été entrepris, quels en ont été les motifs et quel but on se proposa en en publiant la relation. Ces notions préliminaires aident à l¿intelligence des faits, donnent aux assertions une autorité proportionnée à l¿opportunité des circonstances dans lesquelles s¿est trouvé l¿observateur, et fixent presque toujours l¿opinion du lecteur.Puissent celles qui suivent créer une prévention qui me soit Favorable ! La passion des voyages, qui m¿avait fait quitter à l¿âge de 20 ans ma patrie et ma famille, et qui m¿avait successivement conduit des côtes de l¿Amérique septentrionale aux rivages de la Méditerranée et dans diverses parties de la mer des Indes, me rendait insupportable la longue inaction où quelques affaires me retenaient dans les deux îles de Maurice et de Bourbon. Je désirais surtout visiter Madagascar, cette grande île sur laquelle on a tant écrit, qui est fréquentée depuis si longtemps par les Européens, qui en est si peu connue encore, et dont l¿intérieur vient enfin d¿être ouvert à la constance britannique.
" J¿ai dit, peut-être même répété, que les peuples attendaient la naissance d¿un organisme nouveau. Où est-il donc, et quel est-il ? Il convient d¿ouvrir ici une large parenthèse. Un phénomène imprévu a fait chanceler le monde, et ceux mêmes qui le dénoncent n¿en soupçonnent pas la portée. C¿est pourquoi ils se désespèrent et maudissent les organes encore mal harmonisés du corps social en formation dont nous prenons péniblement conscience. Le « retour à l¿esprit », avec la variante élégiaque du « retour à la nature », reconnaît tantôt pour cause et tantôt pour conséquence la levée de boucliers à peu près unanime dont la machine est l¿objet. Tous s¿en mêlent, sociologues et philosophes, poètes et romanciers, dramaturges et même cinéastes, Dieu me pardonne. Douglas Fairbanks vit tout nu sur un atoll du Pacifique, dans un bois de cocotiers. Mais c¿est par le truchement de la machine à enregistrer les images qüil nous conte son aventure. Et ce qüil y a de plus curieux, c¿est qüaussitôt qüil doit pourvoir à ses besoins, il construit des machines élémentaires avec des lianes, des épines, des calebasses, des pinces de crabe et des fibres de palmiers. Jusqüà un appareil de T.S.F., je vous le dis en vérité. Douglas Fairbanks, qui est un sympathique naïf, n¿a certainement pas songé à réhabiliter la machine par ces arguments ironiques. Mais Douglas Fairbanks baigne, comme nous baignons tous, dans un monde où la machine nous presse de partout à notre insu, et rythme nos gestes ¿ même et peut-être surtout ¿ réflexes, de plus en plus profondément."
Lawyer and former Union soldier Richard Montgomery is commissioned to infiltrate a clandestine Confederate operation in Canada in 1864 during the U.S. Civil War. On numerous forays across enemy lines as a courier for former Alabama senator Clement C. Clay, one of the leaders of the Rebel conspiracy, Montgomery relays the word to his Yankee superiors regarding several diabolical Confederate campaigns in Union territory. These include a nefarious attempt to burn down much of New York City, guerrilla raids into New England, and ultimately the assassination of President Abraham Lincoln, the last involving early planning in Montreal with Confederate conspirators such as John Wilkes Booth.Posing as a Southern sympathizer named James Thomson in St. Catharines, Canada West, a hotbed of Rebel intrigue, Montgomery reunites with childhood friend Aaron Young, a once enslaved man who escaped the plantation of Montgomery's father and becomes an ally in the secret Union mission. To complicate his life further, Montgomery meets a Southern woman living in St. Catharines and falls in love.Along the way, he also encounters famed Montreal photographer William Notman, as well as various spies and secret agents on both sides of the war in Toronto, Niagara Falls, Montreal, and Halifax, eventually crossing paths with Lincoln's future assassin.
The fourteenth volume of the Correspondance générale contains over 400 letters dating from 1825 and 1826. As the reign of Charles X begins, Constant continues to work on De la religion, while engaging in the political struggles against the reactionary turn of domestic politics, thinking afresh about societal issues and supporting the Greeks in their fight for independence.
"Les principes généraux d¿une science constituent sa philosophie. Lorsque cette science se transforme, sa philosophie se transforme également.L¿Histoire subit cette commune loi. La plupart des idées qui lui servaient de soutien s¿étant évanouies tour à tour, elle cherche à remplacer ses anciennes bases d¿interprétation.Réduite au simple exposé des faits dont le monde a été le théâtre, l¿Histoire semble un chaos d¿invraisemblances issues d¿imprévisibles hasards. Les événements les plus importants s¿y déroulent sans relation apparente. Des causes infiniment petites produisent des effets d¿une prodigieuse grandeur.Cette absence de relation visible entre l¿insignifiance des causes et l¿immensité des effets est l¿un des phénomènes les plus frappants de la vie des peuples. Au fond de l¿Arabie, un obscur chamelier se croyant en communication avec le ciel crée une religion issue de ses rêves et, en peu d¿années, sous l¿influence de la foi nouvelle, un grand empire est fondé. Quelques siècles plus tard, les paroles enflammées de nouveaux illuminés précipitent l¿Occident sur l¿Orient et la vie des peuples se trouve encore bouleversée. De nos jours, un infime état balkanique entre en conflit avec une puissante monarchie et l¿Europe se voit ravagée par la plus sanglante des guerres qüait enregistrées l¿Histoire."
"Fêtes et Chansons Anciennes de la Chine" est un ouvrage de Marcel Granet, un sinologue et ethnologue français, publié en 1945. Cet ouvrage se distingue par son exploration des aspects culturels et sociaux de la Chine ancienne à travers l'étude des fêtes et des chansons.Marcel Granet examine les célébrations rituelles et les festivités traditionnelles chinoises, mettant en lumière leur rôle dans la structuration de la vie sociale et religieuse. Il explore comment ces cérémonies festives reflètent les valeurs, les normes et la cosmologie chinoises, offrant ainsi un aperçu précieux de la mentalité de la société chinoise ancienne.En se penchant également sur les chansons anciennes, Granet propose une analyse des paroles, de la musique et des contextes sociaux de ces compositions. Il explore comment la musique et la poésie étaient intégrées dans les rituels, les fêtes et la vie quotidienne, contribuant ainsi à la compréhension de l'expression culturelle et artistique de la Chine antique.L'¿uvre de Granet, "Fêtes et Chansons Anciennes de la Chine", est reconnue pour sa contribution significative à l'ethnologie chinoise et à la compréhension profonde de la vie culturelle dans la Chine ancienne.
" Ce livre contient un nombre de pièces suffisant pour faire bien connaître le Folk-lore chinois moderne, c¿est-à-dire postérieur à la période k¿¿i-yuan 713-741 (empereur Huân-tsoung des T¿âng). J¿ai réserve le Folk-lore ancien et médiéval (9e siècle avant J.-C. au 7e siècle après J.-C.), pour un autre ouvrage, dans lequel j¿exposerai l¿évolution des idées chinoises.Le système contenu dans le Folk-lore moderne, est le résultat de l¿amalgame du Néo-bouddhisme d¿Amogha (719), avec le Néo-taoïsme de l¿empereur Tch¿nn-tsoung des Sóng (1013), le Néo-confucianisine de Tch¿u-hi (1200), et les superstitions des Ouïgours, Arabes, Tongouses, Mongols, Alains, et autres races, lesquelles conquirent la Chine pour un temps, ou dont les soldats mercenaires séjournèrent dans la capitale de la Chine, par milliers et par myriades, comme gardes de l¿empereur, du 8e au 14e siècle. Ajoutez ce que les marchands étrangers de toute nation, purent importer d¿idées, durant le même temps. La résultante finale du mélange de ces éléments hétérogènes, devenue stationnaire, forme la croyance populaire chinoise moderne."
" Je voudrais présenter, en les groupant sous quelques larges rubriques, des faits qui pourront renseigner sur la féodalité chinoise. Ces faits, peut-être offrent-ils un double intérêt. Ils pourront intéresser et par leur nature et par leur origine. Par son étendue, sa durée, sa masse, la civilisation chinoise est l¿une des plus puissantes créations de l¿humanité : nulle autre n¿est plus riche d¿expérience humaine. Elle est cependant infiniment moins connue du public que les civilisations méditerranéennes. Il est très légitime de vouloir attirer sur elle l¿attention et il serait très utile d¿y réussir. Utile, d¿abord, pour les spécialistes qui s¿en occupent. Si leur travail était contrôlé par un public plus vaste, peut-être seraient-ils plus nombreux au travail et travailleraient-ils plus efficacement. Davantage attirés par les questions qui présentent un large intérêt humain, ils se complairaient moins aux petits problèmes qüon débat entre initiés et qüil ne paraît point nécessaire de discuter en termes accessibles à tout homme cultivé. Pourtant, tout homme cultivé prend aujourd¿hui conscience de l¿étroitesse du monde circonscrit par les humanités classiques. Pourquoi la Chine lui resterait-elle étrangère si rien d¿humain ne doit lui rester étranger ? L¿homme ne se connaîtra que s¿il connaît toutes les manières d¿être de l¿homme. Il faut pour cela qüen se dépaysant, il se retrouve. Il faut qüil s¿observe à travers tous les climats et aussi à travers tous les temps."
" Je passe, dans mon milieu, pour haïr le théâtre. À ce propos on dénonce même, chez moi, un stigmate religieux, une protestation obscure de l¿atavisme confessionnel contre le goût trop répandu d¿un spectacle dit immoral. Peut-être y a-t-il un peu de ça. En tout cas, si je m¿interroge, je ne consens à voir dans cet aspect de ma « haine » pour le théâtre qüun point de départ lointain. Toutes nos opinions ont une origine sentimentale que nous tenons en général de l¿éducation directe, ou d¿une réaction contre elle, et à qui nous nous arrêtons si nous n¿apprenons pas à penser. Au contraire, l¿entraînement à la méditation nous conduit, un jour ou l¿autre, ou bien à modifier radicalement notre sentiment primitif, ou bien ¿ et le cas, il me semble, est de beaucoup le plus fréquent ¿ à chercher et à trouver, par l¿analyse, sa justification. C¿est un moyen de maintenir intact l¿orgueil intime qui constitue notre squelette spirituel et définit notre personne. C¿est ainsi que j¿ai pu parvenir à une explication pour moi très acceptable ¿ de ma « haine » pour le théâtre. Je ne l¿aime pas, il est vrai, au point de ne jamais manquer une pièce nouvelle et d¿y revenir sept fois. Je l¿aime à la façon dont j¿aime, si vous le voulez bien, la peinture, façon particulière, qui ne comporte pas pour moi l¿obligation de visiter tous les salons, toutes les expositions, d¿être de tous les vernissages, et d¿y avaler de la poussière et des sottises tous les soirs de quatre à six. Cela peut signifier, doit signifier que je n¿aime pas la peinture. Cependant j¿aime Véronèse, Rembrandt, Goya, Cézanne, quelques autres. Et si je pousse le mépris pour la littérature jusqüà ne pas songer à m¿abonner à l¿une de ces bibliothèques qui vous servent, à votre tour, tous les romans parus dans la semaine, j¿aime Montaigne, Pascal, Baudelaire, Stendhal. Ainsi, après vous avoir avoué que j¿ai effectivement la « haine » du théâtre, je vous confesserai que j¿aime Racine, que j¿adore Molière et Shakespeare, et qüil me semble que les tragiques grecs ont réalisé, à leur heure, quelque chose de bien grand."
" Dans "Histoire de l'art. L'esprit des formes: L'art antique", Élie Faure entreprend une exploration profonde et passionnée de l'art antique, cherchant à dévoiler les motivations sous-jacentes, les idées et les émotions qui ont façonné les formes artistiques de l'Antiquité. À travers une prose riche et évocatrice, Faure guide le lecteur à travers les époques et les civilisations anciennes, mettant en lumière les ¿uvres marquantes de la Grèce et de Rome, tout en exposant les évolutions stylistiques et philosophiques qui ont caractérisé cette période.L'auteur s'attache à capturer l'essence même de l'art antique, explorant les thèmes récurrents, les techniques distinctives et les influences culturelles qui ont donné naissance à des chefs-d'¿uvre immortels. De l'architecture majestueuse aux sculptures éloquentes, Faure offre une vision holistique de l'art antique, contextualisant chaque ¿uvre dans son époque tout en exprimant son propre engagement passionné envers la beauté et l'émotion que ces créations évoquent."
" Le premier devoir de l'homme sincère est de ne pas influer sur ses propres opinions, de laisser la réalité se refléter en lui comme en la chambre noire du photographe, et d'assister en spectateur aux batailles intérieures que se livrent les idées au fond de sa conscience. On ne doit pas intervenir dans ce travail spontané ; devant les modifications internes de notre rétine intellectuelle, nous devons rester passifs. Non que le résultat de l'évolution inconsciente nous soit indifférent et qu'il ne doive entraîner de graves conséquences ; mais nous n'avons pas le droit d'avoir un désir, quand la raison parle ; nous devons écouter, rien de plus ; prêts à nous laisser traîner pieds et poings liés où les meilleurs arguments nous entraînent. La production de la vérité est un phénomène objectif, étranger au moi, qui se passe en nous sans nous, une sorte de précipité chimique que nous devons nous contenter de regarder avec curiosité. De temps en temps, il est bon de s'arrêter, de se recueillir en quelque sorte, pour voir en quoi la façon dont on envisage le monde a pu se modifier, quelle marche, dans l'échelle de la probabilité à la certitude, ont pu suivre les propositions dont on a fait la base de sa vie."
The rise to power of Napoleon Bonaparte is a riveting saga of ambition, military genius, and political prowess that irrevocably altered the path that European history would take in the future. Napoleon was born in Corsica in 1769, and his rise from obscurity in his Corsican family to the highest levels of power in France is a tale of unyielding resolve and brilliant strategic planning.Napoleon's enrollment in the French Royal Military School in Brienne marked the beginning of his military career, which he began at a young age. During the turbulent time of the French Revolution, he ascended through the ranks thanks to his outstanding skills on the battlefield, which rapidly marked him apart from his peers. In the year 1799, he made the most of the chance to execute a coup d'état, which effectively brought an end to the revolutionary government and ultimately led to his appointment as First Consul.There was more to Napoleon's rise to power than that. In 1804, he proclaimed himself Emperor of France, which was a symbolic act that marked a transition away from revolutionary ideals and toward a more authoritarian form of government. His goal extended beyond the confines of France, as he intended to construct a broad European empire that would be under his rule.Napoleon's military prowess was one of the defining characteristics that contributed to his rise to power. It is said that his campaigns are legendary because they were distinguished by a string of wins that demonstrated his tactical skill and his ability to inspire his soldiery. The Battle of Austerlitz, which took place in 1805, and the Battle of Jena-Auerstedt, which took place in 1806, are two of the most notable examples of his strategic brilliance, which earned him the reputation of one of the most accomplished military commanders in the history of the world.The extent of Napoleon's conquests was unbounded. It was during the Napoleonic Wars, which were a series of wars that lasted from 1803 until 1815, that he was able to expand his sphere of influence throughout Europe. Nations were destroyed by his marching forces, and he redrawn the geography of the continent to accommodate his aspirations to become an imperial power. Furthermore, the Napoleonic Code, which was a comprehensive legal system that was implemented during this time period, further strengthened his influence on the regions that were under his rule.One of the most significant accomplishments of Napoleon's conquests was the establishment of the French Empire, which, at its peak, encompassed the whole region from Spain to Russia. The realization of his dream of a unified Europe ruled by France came to pass, but only for a short period of time. In spite of this, the only thing that could compare to the splendor of his empire was the difficulties it encountered, which included the unrelenting opposition of other European nations who were eager to put a stop to his growth.
Im März 1855, kurz vor seinem 16. Geburtstag, komponierte Josef Gabriel Rheinberger eines seiner erfolgreichsten Stücke, das Abendlied op. 69,3. Erst 18 Jahre später ließ er seinen jugendlichen Geniestreich drucken. Die meisten Werke aus seiner Jugendzeit beließ Rheinberger jedoch in der berühmt-berüchtigten Schublade, darunter sinfonische Werke, Kammermusik, Lieder, Opern und Chorwerke. Der nun vorliegende Band stellt aus diesem großen Fundus eine Auswahl geistlicher Kompositionen zur Verfügung, die für Chor mit Orgel oder a cappella komponiert sind und bereits die besonderen Stärken des Komponisten aufblitzen lassen.Zu entdecken sind kurze liturgische Werke - fein bearbeitet, kanonisch raffiniert, doch zugleich klangvoll, eine Lobkantate sowie eine Frühfassung des Abendlieds. Alle Werke liegen nun erstmals in kritischen Ausgaben vor. Im Zentrum steht die 1856 komponierte vierstimmige Messe in Es-Dur JWV 57. Ergänzt wird der Band um eine Reihe von Werken ohne Opuszahl aus Rheinbergers Zeit als hochangesehener Professor für Kontrapunkt in München, darunter Werke für seinen Unterricht und die königliche Hofkapelle sowie auch leichter ausführbare Werke für Kirchenchöre.Überwiegend lateinische TexteBreite liturgische Verwendung: Messe, Requiem, Advent, Lob und Dank, Marienfeste und allgemeine AnlässeFür drei- (SSA) und überwiegend für vierstimmigen (SATB) Chor a cappella oder mit obligater OrgelAlle Werke auch in Einzelausgaben erhältlichGleichzeitig Supplementband 4 der Rheinberger-Gesamtausgabe
Mal klassisch-romantisch, mal jazzig - das Chorbuch Bruckner. Weltliche Chormusik wartet mit spannenden Entdeckungen und neuen Bearbeitungen in unterschiedlichen Schwierigkeitsgraden auf. Anton Bruckners weltliche Chormusik steht im Schatten der großen Sinfonien und bekannten geistlichen Chorwerke - zu Unrecht, wie die Chorexperten Simon Halsey und Jan Schumacher mit ihrer kleinen aber feinen Auswahl an Chormusik zu weltlichen Texten beweisen. Zwar hat Bruckner nur wenige Sätze für gemischten Chor hinterlassen, dafür aber umso mehr für Männerchöre komponiert. Für diese Sammlung haben renommierte Arrangeur*innen aus Deutschland, England, Dänemark und Italien eigens die schönsten Männerchorsätze für SATB bearbeitet. Damit kann dieses klangvolle Repertoire auch von gemischten Chören aufgeführt werden. Auch zwei originale SATB-Kompositionen sind enthalten. Weiterhin präsentiert das Chorbuch Chorarrangements von ursprünglich klavierbegleiteten Sololiedern, u.a. mit Texten von Heinrich Heine und Emanuel Geibel. Besonders hervorzuheben ist auch eine Bearbeitung des Adagios aus Bruckners Streichquintett WAB 112, das Heribert Breuer für Chor arrangiert und mit einem Text von Georg Trakl versehen hat.
Rome was an empire of images, especially images that bolstered their imperial identity. Visual and material items portraying battles, myths, captives, trophies, and triumphal parades were particularly important across the Roman empire. But where did these images originate and what shaped them? Empire of Images explores the development of the Roman visual language of power in the Republic in Iberian Peninsula, the Gallic provinces, and Greece and Macedonia, centering the development of imperial imagery in overseas conquest. Drawing on a range of material evidence, this book argues that Roman imperial imagery developed through prolonged interaction with and adaptation by subjugated peoples. Despite their starring role in Roman imagery, the populations of Rome's provinces continuously reinterpreted and reimagined Roman images of power to navigate their membership in the new imperial community, and in doing so, contributed to the creation of a universal visual language that continues to shape how Rome is understood.
As the first in a larger series of publications which preserve and make accessible primary sources from various archives and other materials related to the history of Circassia, this volume contains the relevant dispatches of A. A. Challaye, the Consul of France in Odessa for the years 1836 to 1840. It offers a rare glimpse into the way French diplomacy was making sense of events in and around the North Caucasus and the eastern shore of the Black Sea at the time of increased tensions between Russia and Great Britain over the Circassian question - the political status of nations which inhabited the western part of the North Caucasus and of the North Caucasus in general.
A NPR Best Book of the YearThe number one New York Times bestselling authors of Vanderbilt return with another riveting history of a legendary American family, the Astors, and how they built and lavished their fortune.The story of the Astors is a quintessentially American story--of ambition, invention, destruction, and reinvention.From 1783, when German immigrant John Jacob Astor first arrived in the United States, until 2009, when Brooke Astor's son, Anthony Marshall, was convicted of defrauding his elderly mother, the Astor name occupied a unique place in American society.The family fortune, first made by a beaver trapping business that grew into an empire, was then amplified by holdings in Manhattan real estate. Over the ensuing generations, Astors ruled Gilded Age New York society and inserted themselves into political and cultural life, but also suffered the most famous loss on the Titanic, one of many shocking and unexpected twists in the family's story.In this unconventional, page-turning historical biography, featuring black-and-white and color photographs, #1 New York Times bestselling authors Anderson Cooper and Katherine Howe chronicle the lives of the Astors and explore what the Astor name has come to mean in America--offering a window onto the making of America itself.
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