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Nulle force n'est superflue dans la lutte sociale engagée sous nos yeux, et le moment serait mal pris pour ranimer de vieilles querelles. Qu'hier les intérêts matériels, s'assurant en leur propre vitalité, parussent se soucier médiocrement des principes et sourire des théories; que la religion, s'armant de griefs que nous ne jugeons pas, en fût arrivée à traiter d'empiétement la tentative purement humaine d'instruire les esprits, cela pouvait à la rigueur se comprendre. C'est le propre de tous les principes de combattre pour la suprématie aussitôt qu'ils n'ont plus à combattre pour l'indépendance. Aujourd'hui, nous serions fort à plaindre si nous ne sentions l'inopportunité, le danger de tels dédains, de tels débats. Les intérêts, la religion, la pensée même, la pensée surtout, suis-je tenté de dire, toutes les fois qu'elle n'arrive pas aux conclusions obligées du nouvel évangile, sont placés sous le coup de la même menace. La communauté des attaques doit au moins servir à révéler à toutes les âmes honnêtes, à tous les esprits justes, l'union intime d'éléments divers dont le plus grand tort était de se croire ennemis sur la foi d'une vaine apparence. La révolution a eu pour effet salutaire d'affaisser pour ainsi dire les surfaces trompeuses sur lesquelles se dressaient des tentes rivales, et qui cachaient l'abîme sous les pas de la société abusée; elle a eu cela de bon de montrer à nu les trois ou quatre grandes racines entrelacées de la civilisation moderne: ce n'est pas un rameau isolé, c'est l'arbre tout entier qui a frémi au coup de cognée des niveleurs. Si l'industrie souffre, la pensée souffre-t-elle moins ? Si le christianisme se plaint de ses enseignements délaissés, l'esprit libéral de nos pères, l'esprit du cartésianisme et de la révolution française, que les sectes contemporaines prétendent continuer, mais auquel en réalité elles tournent le dos, est-il moins malade ? ...
Le livre ""Etudes De Philosophie Morale Et D�������Economie Politique V2 (1858)"" �����crit par Henri Baudrillart est une collection d'�����tudes sur la philosophie morale et l'�����conomie politique. Dans ce livre, l'auteur explore des sujets tels que la nature de la vertu, les devoirs de l'homme envers la soci�����t�����, la justice et les lois, le r�����le de l'�����tat dans l'�����conomie et les probl�����mes �����conomiques tels que le commerce international et la monnaie. Baudrillart utilise une approche analytique pour examiner ces sujets, en se basant sur des th�����ories �����conomiques et philosophiques pour formuler ses arguments. Ce livre est une ressource pr�����cieuse pour les �����tudiants et les chercheurs en philosophie morale et en �����conomie politique.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
Le livre ""Economie Politique Populaire"" de Henri Baudrillart, publi����� en 1869, est une �����uvre importante dans le domaine de l'�����conomie politique. L'auteur y pr�����sente une analyse de l'�����conomie politique ������ travers une approche populaire. Il aborde les questions �����conomiques essentielles telles que la production, la distribution, la consommation, le commerce et les finances publiques. Baudrillart met �����galement en avant l'importance de l'�����ducation �����conomique pour le peuple, afin de leur permettre de mieux comprendre les enjeux �����conomiques et de participer activement ������ la vie �����conomique de leur pays. Le livre est un essai clair et accessible qui offre une perspective int�����ressante sur l'�����conomie politique de l'�����poque.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
Le public n'avait pu se défendre d'un peu de surprise en voyant, il y a quelques années, l'un des maîtres les plus éminents de la critique contemporaine, délicat entre tous, prendre pour sujet d'une série d'études empreintes de la plus visible sympathie celui de tous les représentants du socialisme qui s'était montré non-seulement le plus radical, mais le plus porté à l'invective et à la menace. Comment s'expliquer ce choix ? Avait-il été déterminé uniquement par le souvenir de quelques relations dont la littérature avait été l'occasion et comme l'intermédiaire ? M. Proudhon, à un certain moment, méditait un ouvrage de critique où il devait passer en revue tous les contemporains. Ce plan, il ne devait pas le réaliser; mais certaines parties s'en trouvent exécutées ou esquissées, particulièrement dans un de ses derniers et plus considérables ouvrages, la Justice et la Révolution, livre qui fit scandale et encourut condamnation...
Aux époques de décadence, quand ceux qui conduisent les peuples paraissent s'assurer dans le mal et marcher aux abîmes avec une insouciante sécurité, souvent une voix retentit qui leur apporte la parole d'avertissement. Les sages conseillers manquent rarement à la veille des grandes catastrophes. Véritables messagers de miséricorde, on dirait que la Providence, suspendant un moment l'ordre inévitable qui tire les effets des causes et fait sortir les résolutions des abus, a voulu les montrer au monde pour prévenir ces nécessités sanglantes qui régénèrent par le châtiment; mais, en ces instants décisifs, les passions et les intérêts laissent-ils place à la prévoyance ? Sont-ils souvent écoutés, les importuns apôtres qui parlent de liberté sous l'empire du despotisme, de réforme dans le triomphe de la licence et de l'iniquité ? En vain la voix de Gerson avertira l'église chrétienne: confiante et aveuglée, l'église ira jusqu'au bord de l'abîme, et elle ne se réveillera qu'à la voix de Luther. Tout parlement, tout est en proie à la confusion; l'ivresse du pouvoir a saisi les maîtres de la nation tandis que celle de l'indépendance commence à gagner les peuples: Turgot paraît alors, il paraît poussé par la noble ambition de rendre la lutte impossible, en lui enlevant tout prétexte; il paraît au nom de la raison et des légitimes besoins du siècle, demandant aux privilèges d'indispensables sacrifices. Inutiles efforts ! il faudra que les choses aient leur cours. Ce que le droit n'a point obtenu, il faudra que la force l'arrache. Turgot se retire, Mirabeau doit paraître. La réforme échoue, la révolution éclate...
L'idée du luxe privé ou public n'a guère coutume d'être associée aux souvenirs que réveille la révolution française. On se demande comment il y aurait eu place alors pour des jouissances qui veulent, à ce qu'il semble, du loisir, de la liberté d'esprit et des ressources surabondantes. C'est pourtant un fait d'expérience que les époques les plus troublées n'ont point toujours pour cela manqué de luxe; il est même arrivé qu'elles aient connu parfois, en ce genre de dépenses dites superflues, des excès dont on s'étonne. Pendant certaines périodes par exemple des guerres avec les Anglais au XVe siècle, le faste et les prodigalités des seigneurs n'eurent point de bornes, - fait étrange que n'explique pas seule la puissance de l'habitude. Il y a dans l'incertitude même du lendemain un puissant aiguillon pour toute espèce de jouissances faciles, rapides. Carpe diem, saisis le jour, jouis de l'heure présente, semble dire la fatalité, qui presse. Assurément cette observation ne s'applique que dans une certaine mesure à la révolution; mais elle s'y vérifie assez pour que cette persistance d'un élément qui paraît réservé aux temps calmes et prospères mérite d'y être signalée. On peut suivre comme à la trace dans la vie privée ce goût, ces satisfactions de plaisir ou d'art, ces jouissances coûteuses, les unes délicates, les autres grossières dans leurs raffinements mêmes...
Après les créateurs dans tous les genres, se placent les esprits qui se montrent habiles à féconder par des applications nouvelles les vérités découvertes et ceux qui réussissent à rapprocher des sciences étrangères les unes aux autres. Ceux-ci ont pour caractères l'étendue, qui les rend opposés à ce qu'il y a d'exclusif dans les spécialités, et la pénétration, qui leur fait découvrir sûrement les points où l'accord peut se faire; leur rôle est de rectifier les vues incomplètes ou fausses qui créent des divergences, d'affirmer l'unité de l'intelligence humaine exposée à se perdre dans la diversité des points de vue, et d'établir entre ces domaines voisins et rivaux des alliances utiles à chacun d'eux...
Les impôts sur les consommations de luxe ne forment pas dans les budgets des différentes nations une catégorie sous cette désignation spéciale. Le nom de luxe n'y est pas prononcé ou ne l'est que très rarement. Peut-être le législateur l'a-t-il jugé vague, peut-être a-t-il voulu éviter de rappeler les anciennes taxes somptuaires, peut-être encore a-t-il craint de présenter comme un point de mire aux instincts démagogiques; mais, si le mot ne se trouve guère, l'idée n'est pas absente. Nul doute que, dans l'établissement de certaines taxes d'un poids exceptionnel, le législateur n'ait été décidé par cette circonstance, qu'elles offrent plus de rapport avec le plaisir qu'avec le besoin, qu'elles atteignent les riches plus que les pauvres. Il n'y a rien à redire, si la mesure est observée, et si les considérants sur lesquels s'appuient de tels impôts ne revêtent pas, comme on l'a vu plus d'une fois, le caractère d'une hostilité systématique contre le luxe et la fortune. Les pays démocratiques comme le nôtre peuvent faire une part à ces taxes; ils doivent se garder de l'exagérer, et de prêter par là des armes à ces écoles et à ces passions pour qui tout est prétexte dans la lutte radicale qu'elles soutiennent contre le capital et les inégalités sociales...
La question du crédit agricole paraît être entrée dans une phase nouvelle qui accroît, si elle ne les assure pas complètement, les chances d'une solution si longtemps retardée. Il ne faudrait pas croire pourtant que les motifs invoqués pour la faire échouer ne se renouvelleront pas, même contre ces nouvelles formes plus praticables. Attendons-nous, lorsqu'elle va reparaître devant les chambres après maint échec, à voir se reproduire les mêmes objections générales, auxquelles s'ajouteront celles qu'on peut opposer à chacune des combinaisons dont le crédit agricole est susceptible. Il n'est donc pas inutile de reprendre et d'examiner à nouveau ces fins de non-recevoir, et de montrer que celles qui reposaient sur une apparence de réalité ont beaucoup perdu de leur force en présence des faits qui se sont modifiés. C'est par là que nous commencerons cette étude, où nous nous proposons non de mettre sous les yeux du lecteur avec détail les institutions de ce genre qui existent à l'étranger, mais de rechercher ce qu'il est possible de faire chez nous, sans négliger ce que nous pouvons nous assimiler de ces institutions, sans imitation servile...
La transformation radicale de l'impôt est un des objets les plus immédiats que poursuit le parti ultra-démocratique. Partout où il s'agite, et où ne s'agite-t-il pas en Europe ? il donne place à cette question à côté des questions de travail, de crédit, d'association. On se propose d'en faire non-seulement un but, mais un moyen, peu d'instruments étant plus propres que l'impôt à battre efficacement en brèche le vieil édifice des inégalités sociales. Le socialisme ne fait pas mystère de cette stratégie; il ne cache pas la manière dont il espère conduire ce siège en règle de la société en prenant l'impôt pour base d'opérations. Tel est le plan que développait tout récemment un orateur dans une réunion tenue à Moscou. Il est vrai qu'un organe révolutionnaire, comme il en existe même en Russie, protestait contre les lenteurs et l'hypocrisie de ces moyens détournés; l'honnête journal demandait que la réforme s'opérât d'une façon non pas oblique, mais perpendiculaire, c'est-à-dire sans doute d'emblée et sans préliminaires. Il s'en faut que tous aient cette décision et cette franchise. Ajoutons qu'il s'en faut que les partisans de cette transformation complète du système des impôts se rattachent tous également au socialisme radical; on compte parmi eux un certain nombre d'économistes et de publicistes qui ont à coeur de s'en séparer...
La plupart des écrivains politiques ont consacré aux rapports de l'état avec le luxe privé et le luxe public des considérations plus ou moins étendues. En outre, il a fallu que les législateurs donnassent une solution à ces questions, qu'on peut placer au nombre des plus difficiles, car il s'agit de fixer des limites toujours indécises et flottantes entre le rôle du gouvernement et l'action individuelle. Pendant un long passé qui comprend presque toute l'antiquité, l'état exerce sur la vie privée un empire à peu près illimité. Le législateur, maître de l'éducation comme de la religion, de la propriété elle-même et de l'industrie, n'éprouve aucun scrupule à régler comme il l'entend le luxe des particuliers. Le vêtement, la table, le train de la vie tout entier, ne sont pas hors de sa compétence. C'est seulement affaire de plus ou de moins, et Solon ne fait qu'user modérément d'un droit que Lycurgue pousse jusqu'à l'anéantissement de la liberté individuelle. De même, dans l'ordre philosophique, Aristote, partisan de la propriété au nom déraisons toutes pratiques, n'en a pas plus la conception théorique comme droit que Platon, qui la détruit dans sa République...
A cette question: quel est l'état de la famille en France ? on ne trouverait peut-être pas deux réponses qui ne présentent des points d'opposition très marqués. Écoutez les uns, la famille est dans une situation plus satisfaisante et à tous égards qu'elle ne l'était dans le passé; les autres ne mettent pas en doute qu'elle ne soit en pleine décadence. Sur ces mots mêmes de décadence et de progrès, combien il s'en faut qu'on s'entende ! On s'accorde encore moins quand il s'agit de remonter aux causes du mal, étant admis qu'il existe. Enfin quelle diversité dans les remèdes qu'on indique ! Voici des esprits que le sort de la famille préoccupe vivement, et qui accusent de la désorganiser notre régime de succession, c'est-à-dire la loi qui oblige le père de famille à partager ses biens, après sa mort, à peu près par égales portions entre ses enfants. Y a-t-il dans ces plaintes quelque chose de fondé ? Le bruit qui s'est fait depuis quelques années autour de cette question, les pétitions adressées aux chambres pour appuyer ces griefs et pour demander une réforme qui serait motivée par de hautes considérations morales, des publications nombreuses, quelques-unes récentes, l'assurance enfin que la discussion sera reprise, donnent à une telle recherche autant d'opportunité qu'elle présente d'importance en elle-même...
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.
L'idée du luxe privé ou public n'a guère coutume d'être associée aux souvenirs que réveille la révolution française. On se demande comment il y aurait eu place alors pour des jouissances qui veulent, à ce qu'il semble, du loisir, de la liberté d'esprit et des ressources surabondantes. C'est pourtant un fait d'expérience que les époques les plus troublées n'ont point toujours pour cela manqué de luxe ; il est même arrivé qu'elles aient connu parfois, en ce genre de dépenses dites superflues, des excès dont on s'étonne.
La question qui se trouve examinée non sous toutes ses faces, mais sous des formes diverses, dans ce volume, peut se poser de la façon suivante La démocratie moderne sera-t-elle une démocratie libérale, une démocratie éclairée, une démocratie assez riche pour assurer à tous une suffisante aisance sous les conditions sévères du travail et de l'épargne, ou bien la verra-t-on tour à tour ou à la fois opprimée et oppressive, ignorante et besogneuse, tendant la main à l'État, comme l'ont été trop souvent les démocraties, comme elles l'ont été toujours dans l'antiquité ? Je cherche à indiquer du moins les conditions économiques desquelles dépend la réponse à cette question, en les rattachant elles-mêmes à des conditions d'ordre supérieur.
L'argent et ses critiques / par H. Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1867Sujet de l'ouvrage: Argent (monnaie)Collection: Conférences populaires faites à l'Asile impérial de VincennesAppartient à l'ensemble documentaire: IledeFr1Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Publicistes modernes (Nouvellle édition) / par M. Henri Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1863Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Les fêtes publiques / par M. Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1873Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La famille et l'éducation en France dans leurs rapports avec l'état de la société / par Henri Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1874Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Publicistes modernes / par M. Henri Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1862Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Pertes éprouvées par les bibliothèques publiques de Paris pendant le siège par les Prussiens en 1870 et pendant la domination de la Commune révolutionnaire en 1871: rapport à M. le Ministre de l'Instruction publique (2e édition revue et corrigée) / par M. Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1872Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Rapport sur les pertes éprouvées par les bibliothèques publiques de Paris en 1870-1871: adressé à M. le ministre de l'Instruction publique / par M. Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1871Sujet de l'ouvrage: Bibliothèques publiques -- Administration -- France -- Paris (France)Paris (France) -- 1871 (Commune)Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Manuel d'économie politique (Cinquième édition) / par M. H. Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1883Sujet de l'ouvrage: Économie politique -- Guides pratiques et mémentosCollection: Bibliothèque des sciences morales et politiquesLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Économie politique populaire... (2e édition) / H. Baudrillart, ...Date de l'édition originale: 1876Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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