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Deux traits distinctifs de cette société d'autrefois qui divinisait le plaisir et tomba dans le gouffre avec une si folle et si gracieuse imprévoyance, c'est d'abord la science de la conversation et du monde, perfectionnée par le sentiment des nuances, facilitée par le loisir des grandes existences, par l'influence de plus en plus prépondérante de la femme; c'est ensuite le goût de la comédie de salon, mis à la mode par quelques princes et seigneurs de haut parage, devenu insensiblement une passion, une fureur universelle, pénétrant tous les ordres de la nation, au point que ce talent fait en quelque sorte partie intégrante de l'éducation, et qu'à certain moment on compte, pour Paris seulement, cent soixante théâtres particuliers. La science de la conversation n'appartient pas en propre au XVIIIe siècle, et le XVIIe siècle nous en fournit les plus excellents modèles; la comédie d'amateurs au premier abord semble un produit spontané, une découverte du siècle dernier, qui s'est conservée à peu près intacte, à travers bien des écroulements, bien des métamorphoses...
Deux traits distinctifs de cette société d'autrefois qui divinisait le plaisir et tomba dans le gouffre avec une si folle et si gracieuse imprévoyance, c'est d'abord la science de la conversation et du monde, perfectionnée par le sentiment des nuances, facilitée par le loisir des grandes existences, par l'influence de plus en plus prépondérante de la femme ; c'est ensuite le goût de la comédie de salon, mis à la mode par quelques princes et seigneurs de haut parage, devenu insensiblement une passion, une fureur universelle, pénétrant tous les ordres de la nation, au point que ce talent fait en quelque sorte partie intégrante de l'éducation, et qu'à certain moment on compte, pour Paris seulement, cent soixante théâtres particuliers. La science de la conversation n'appartient pas en propre au XVIIIe siècle, et le XVIIe siècle nous en fournit les plus excellents modèles ; la comédie d'amateurs au premier abord semble un produit spontané, une découverte du siècle dernier, qui s'est conservée à peu près intacte, à travers bien des écroulements, bien des métamorphoses...
La vie théâtrale des comédiens français sous l'ancien régime, les incapacités civiles et religieuses qui pèsent sur eux, les rivalités des grands théâtres, leurs procès contre les troupes foraines, les querelles des acteurs les uns avec les autres, leurs rapports avec les auteurs, le publie et les gentilshommes de la Chambre, ont fait l'objet de mainte étude : ils remplissent les chroniques du XVIIIe siècle, alimentent les conversations autant au moins que la politique étrangère, que les ouvrages de Voltaire, de Montesquieu, de Diderot ou de Jean-Jacques. Le théâtre alors, est, avec l'amour, le souper et la conversation, le plaisir suprême des gens de loisir, à ce point que, vers 1770, on ne comptait pas moins de cent soixante théâtres d'amateurs pour Paris seulement. Pensionnés par le Roi pour se donner au diable, excommuniés s'ils jouent, emprisonnés s'ils refusent de jouer, les comédiens ne rencontrent de tous côtés qu'arbitraire, caprice et préventions injustes...
... Qu'est-ce alors qu'une patrie ? Tout d'abord elle est une religion, une foi. Et chez les Hébreux, dans l'antiquité égyptienne, grecque et romaine, ailleurs encore, le mot n'est nullement pris au figuré: elle est alors la religion, ou du moins se trouve étroitement liée à celle-ci. Terra patria, la terre des pères, la terre des ancêtres est la partie du sol divinisée par la religion de la famille et celle de la Cité qui groupe dans son enceinte un certain nombre de familles unies par un faisceau de croyances, d'aspirations, de volontés communes. Le terrain au milieu duquel surgissent le foyer domestique et le tombeau des ancêtres, figure la petite patrie ; le prytanée, ses héros, la ville, son territoire consacré par la religion, voilà la grande patrie...
... Parmi nos industries pastorales les plus importantes, figure la fabrication du fromage, et en particulier celle du gruyère, qui prospère surtout en Suisse, en Franche-Comté, dans l'Ain, la Savoie et la Haute-Savoie. Sans remonter au déluge, on me permettra de remarquer que, dans tous les temps, les peuples pasteurs ont fabriqué des fromages. Pline, Columelle, Varron assurent que les gourmets de Rome appréciaient les fromages de l'Helvétie, de la Séquanie; les bergers des Géorgiques vendent les leurs à l'ingrate Mantoue ; et c'est avec un fromage des Alpes qu'Antonin le Pieux se donna l'indigestion qui lui coûta la vie ; peut-être même le fromage de Gruyère nous vient-il des Celtes ou anciens Gaulois rejetés par la persécution religieuse des Césars dans les hautes montagnes de la Suisse, d'où il aurait gagné de proche en proche. D'après les anciens chroniqueurs, au XIe, au XIIe siècle, les couvents d'Engelberg, de Muri avaient des droits sur le fromage doux (seracium)...
Dans tous les temps, dans toute société organisée, on a vu surgir, se succéder une race d'hommes nés satellites, destinés par leur fortune, leur naissance ou leur caractère, à graviter autour des grands et des riches, propres à suivre, à obéir, comme d'autres sont aptes à précéder, à commander ; insinuants et habiles dans le détail des choses, fidèles au patron que le hasard leur a donné ou qu'ils ont choisi comme un paratonnerre contre les surprises de la vie, parfois conseillers excellents et inspirateurs des grandes résolutions, mais contents de demeurer dans la pénombre et désireux de ne pas remplir les rôles éclatants sur la scène du monde. Ils n'ont pas la foi en eux-mêmes, ils n'ont pas la volonté, faculté souveraine qui remplace et souvent annihile toutes les autres ; mais certain penchant vers l'épicuréisme, quelque nonchalance dans l'âme, l'instinct du bonheur, qu'ils savent ne pas devoir rencontrer dans le fracas de la lutte, un scepticisme doux, le scepticisme de Cinéas essayant de dissuader Pyrrhus de conquérir l'univers, tout les détourne des ambitions fortes, les ramène vers un horizon restreint, du moins tranquille...
" Le prince de Ligne a tracé dans ses Mémoires un portrait de ce que l'on appelait en son temps l'homme aimable. L'homme aimable, tel qu'il l'entend, c'est plus que l'honnête homme, c'est l'honnête homme embelli, perfectionné ou achevé par la réunion des dons les plus divers, habile surtout en l'art de se faire valoir, original et un peu précieux, presque aussi rare, si nous l'en voulions croire, qu'un grand général, qu'un grand artiste, ou qu'un homme d'état. On a le droit de supposer qu'en traçant ce portrait le prince de Ligne se regardait lui-même dans son miroir, et ce que l'on peut dire, c'est qu'en tout cas, nul mieux que lui, dans ces années du XVIIIe siècle, où l'ancien régime, avant de disparaître, s'étourdissait de l'éclat de ses dernières élégances. - ne l'a réalisé. C'est sans doute aussi ce qui me permettra d'en reparler..."
Le livre ""Histoire De La Monarchie V1: De Juillet De 1830 A 1848 (1877)"" �����crit par Victor Du Bled est un ouvrage historique qui relate l'histoire de la monarchie de Juillet en France, de 1830 ������ 1848. Le livre est divis����� en plusieurs chapitres qui couvrent les �����v�����nements cl�����s de cette p�����riode, tels que la r�����volution de 1830, la mont�����e du mouvement ouvrier et les r�����volutions de 1848 en Europe.L'auteur offre une analyse d�����taill�����e des personnages cl�����s de cette p�����riode, notamment Louis-Philippe, le dernier roi des Fran�����ais, et les leaders des mouvements r�����volutionnaires. Il examine �����galement les changements sociaux, �����conomiques et politiques qui ont eu lieu pendant cette p�����riode et leur impact sur la France et l'Europe.Le livre est une source pr�����cieuse pour les �����tudiants et les chercheurs en histoire, ainsi que pour toute personne int�����ress�����e par l'histoire de la France et de l'Europe au XIXe si�����cle. Il offre une perspective unique sur une p�����riode importante de l'histoire de la France et de l'Europe, et permet de mieux comprendre les �����v�����nements qui ont fa�����onn����� le monde moderne.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.
" La vie théâtrale des comédiens français sous l'ancien régime, les incapacités civiles et religieuses qui pèsent sur eux, les rivalités des grands théâtres, leurs procès contre les troupes foraines, les querelles des acteurs les uns avec les autres, leurs rapports avec les auteurs, le publie et les gentilshommes de la Chambre, ont fait l'objet de mainte étude: ils remplissent les chroniques du XVIIIe siècle, alimentent les conversations autant au moins que la politique étrangère, que les ouvrages de Voltaire, de Montesquieu, de Diderot ou de Jean-Jacques. Le théâtre alors, est, avec l'amour, le souper et la conversation, le plaisir suprême des gens de loisir, à ce point que, vers 1770, on ne comptait pas moins de cent soixante théâtres d'amateurs pour Paris seulement. Pensionnés par le Roi pour se donner au diable, excommuniés s'ils jouent, emprisonnés s'ils refusent de jouer, les comédiens ne rencontrent de tous côtés qu'arbitraire, caprice et préventions injustes. En même temps, par une piquante contradiction de la loi et des moeurs, celles-ci faisant contrepoids à celle-là , ils ont pour eux les philosophes et la faveur de ce public qui leur crie de ses mille voix: Amuse-moi ou crève ! Ils gagnent de l'argent, ont parfois du crédit, sont prônés par les gazettes, se constituent en syndicats, ou peu s'en faut, se mettent en grève, rivalisent d'insolence et d'indiscipline, abreuvent de dégoûts leurs directeurs et l'Intendant des Menus. Et comme tout est illogique, anormal en ce chapitre de notre histoire sociale, les chanteurs et danseurs de l'Opéra, les comédiens italiens échappent aux anathèmes de l'Eglise..."
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
This is an EXACT reproduction of a book published before 1923. This IS NOT an OCR'd book with strange characters, introduced typographical errors, and jumbled words. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
" Le prince de Ligne a tracé dans ses Mémoires un portrait de ce que l'on appelait en son temps l'homme aimable. L'homme aimable, tel qu'il l'entend, c'est plus que l'honnête homme, c'est l'honnête homme embelli, perfectionné ou achevé par la réunion des dons les plus divers, habile surtout en l'art de se faire valoir, original et un peu précieux, presque aussi rare, si nous l'en voulions croire, qu'un grand général, qu'un grand artiste, ou qu'un homme d'état. On a le droit de supposer qu'en traçant ce portrait le prince de Ligne se regardait lui-même dans son miroir, et ce que l'on peut dire, c'est qu'en tout cas, nul mieux que lui, dans ces années du XVIIIe siècle, où l'ancien régime, avant de disparaître, s'étourdissait de l'éclat de ses dernières élégances. - ne l'a réalisé. C'est sans doute aussi ce qui me permettra d'en reparler..."
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
Dans tous les temps, dans toute société organisée, on a vu surgir, se succéder une race d'hommes nés satellites, destinés par leur fortune, leur naissance ou leur caractère, à graviter autour des grands et des riches, propres à suivre, à obéir, comme d'autres sont aptes à précéder, à commander; insinuants et habiles dans le détail des choses, fidèles au patron que le hasard leur a donné ou qu'ils ont choisi comme un paratonnerre contre les surprises de la vie, parfois conseillers excellents et inspirateurs des grandes résolutions, mais contents de demeurer dans la pénombre et désireux de ne pas remplir les rôles éclatants sur la scène du monde. Ils n'ont pas la foi en eux-mêmes, ils n'ont pas la volonté, faculté souveraine qui remplace et souvent annihile toutes les autres; mais certain penchant vers l'épicuréisme, quelque nonchalance dans l'âme, l'instinct du bonheur, qu'ils savent ne pas devoir rencontrer dans le fracas de la lutte, un scepticisme doux, le scepticisme de Cinéas essayant de dissuader Pyrrhus de conquérir l'univers, tout les détourne des ambitions fortes, les ramène vers un horizon restreint, du moins tranquille. Ne sont-ils pas nés confidents, familiers, amuseurs, comme leurs protecteurs, vers lesquels les attire une sorte d'aimant, auprès desquels ils remplissent aussi l'office de ces papiers de soie dans des caisses d'objets précieux et fragiles, sont nés ministres, princes, dompteurs de peuples ? Et, avec quelques variantes, quelques transformations, ne gardent-ils pas les mêmes traits distinctifs à Athènes, à Rome, dam la France féodale, dans celle de Louis XIV et du XVIIIe siècle ? Qu'il y ait en eux un coin de courtisan, je le veux; mais le courtisan est le genre dont le client est une espèce, espèce à part, plus modeste à la fois et plus noble, moins élevée par le rang, supérieure par le coeur, par l'intimité, l'affection...
... Parmi nos industries pastorales les plus importantes, figure la fabrication du fromage, et en particulier celle du gruyère, qui prospère surtout en Suisse, en Franche-Comté, dans l'Ain, la Savoie et la Haute-Savoie. Sans remonter au déluge, on me permettra de remarquer que, dans tous les temps, les peuples pasteurs ont fabriqué des fromages. Pline, Columelle, Varron assurent que les gourmets de Rome appréciaient les fromages de l'Helvétie, de la Séquanie; les bergers des Géorgiques vendent les leurs à l'ingrate Mantoue; et c'est avec un fromage des Alpes qu'Antonin le Pieux se donna l'indigestion qui lui coûta la vie; peut-être même le fromage de Gruyère nous vient-il des Celtes ou anciens Gaulois rejetés par la persécution religieuse des Césars dans les hautes montagnes de la Suisse, d'où il aurait gagné de proche en proche. D'après les anciens chroniqueurs, au XIe, au XIIe siècle, les couvents d'Engelberg, de Muri avaient des droits sur le fromage doux (seracium). Alors, du reste, chacun produisait selon ses besoins et gardait ses provisions: de là cette coutume de tenir de très vieux fromages en réserve, coutume qu'on retrouve dans les Ormonts, le Gessenay, le Valais, où, lorsqu'on enterre un habitant, on mange le fromage fabriqué en son honneur le jour de sa naissance, de son baptême et de son mariage. En 1628, on voit figurer, dans les inventaires après décès, quatre cents et même huit cents livres de fromages comme provisions de ménage, tous fromages maigres et du poids de dix à vingt livres...
" ...Qu'est-ce alors qu'une patrie ? Tout d'abord elle est une religion, une foi. Et chez les Hébreux, dans l'antiquité égyptienne, grecque et romaine, ailleurs encore, le mot n'est nullement pris au figuré elle est alors la religion, ou du moins se trouve étroitement liée à celle-ci. Terra patria, la terre des pères, la terre des ancêtres est la partie du sol divinisée par la religion de la famille et celle de la Cité qui groupe dans son enceinte un certain nombre de familles unies par un faisceau de croyances, d'aspirations, de volontés communes. Le terrain au milieu duquel surgissent le foyer domestique et le tombeau des ancêtres, figure la petite patrie; le prytanée, ses héros, la ville, son territoire consacré par la religion, voilà la grande patrie. Les dieux du citoyen semblent en quelque sorte la substance même de la patrie, formés à son image, nés des entrailles du sol, ses protecteurs éponymes; ce sont des dieux locaux, exclusifs, ombrageux, sensibles aux hommages, aux sacrifices, durs à l'étranger qui n'a dans la cité aucun droit, tandis que leurs serviteurs sont des élus qui trouvent en eux biens, sécurité, dignités, privilèges civils et politiques. Sont-ils exilés, ceux-ci perdent tout: frappés d'excommunication, ils ne peuvent plus participer aux cérémonies religieuses; le feu des sacrifices, l'eau lustrale, leur sont interdits, ainsi que la fréquentation des autres citoyens; presque toujours, leurs propriétés sont confisquées au profit des dieux ou de la Cité. Tragiques, prosateurs grecs et romains, ont décrit l'horreur sacrée qu'inspirait une telle peine..."
La société française du XVIe siècle au XXe siècle. Les prédicateurs, le cardinal de Retz, la famille de Mazarin, le salon de Mlle de Scudéry, les amis de Mme de Sévigné, modes et costumes / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1900-1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La société française du XVIe siècle au XXe siècle / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1903Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Histoire anecdotique et psychologie des jeux de cartes, des, echecs / par Victor Du BledDate de l'edition originale: 1919Sujet de l'ouvrage: Jeux de cartes -- HistoireJeux de des -- Histoireechecs (jeu) -- HistoireCe livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.frhttp: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k54505410
La société française du XVIe siècle au XXe siècle. premier salon de France: l'Académie française. L'argot / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1900-1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La société française du XVIe siècle au XXe siècle. Les médecins avant et après 1789, l'amour au XVIIIe siècle / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1900-1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La société française du XVIe siècle au XXe siècle. Les magistrats et la société française, une femme premier ministre, le salon de la Mise de Lambert, Mme de Tencin, la cour sous Louis XV et Louis XVI / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1900-1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La société française du XVIe siècle au XXe siècle. La société, les femmes au XVIe siècle, le roman de l'Astrée, la cour de Henri IV, l'hôtel de Rambouillet, les amis du cardinal de Richelieu, la société et Port-Royal / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1900-1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La société française du XVIe siècle au XXe siècle. La société et les sciences occultes, les couvents de femmes avant 1789, les libertins et Saint-Évremond, la Grande Mademoiselle, l'amour platonique au XVIIe siècle / par Victor Du BledDate de l'édition originale: 1900-1913Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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