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Vendre la merde de Montcuq, en boîtes

Bag om Vendre la merde de Montcuq, en boîtes

On peut encore l'envisager, la littérature... à condition de contribuer à la valorisation du patrimoine des grandes fortunes, Gallimard (plus Bernard Arnault), Lagardère (plus Qatar), Esménard, de La Martinière... Comportement correct exigé sourires et encensement de ces bienfaiteurs de la culture... ne pas aborder des sujets déplaisants... Qui parmi ces grandes âmes publierait Céline ? Comme l'a proclamé madame Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, en juin 2012: C'est l'éditeur qui fait la littérature. Entre les éditeurs et les 25 000 points de vente traditionnels, les malins ont su imposer leur maillon essentiel: la distribution, invisible aux béotiens, terriblement efficace (pour le cash et le contrôle des livres médiatisés). Barrière infranchissable pour l'écrivain libre. Le statut d'éditeur indépendant relève de l'usurpation de dénomination ou de la marginalité... Bref, il convient d'agrémenter le catalogue de pitreries, puisque même la bibliothèque de Montcuq (10 ans d'utilisation de l'argent public), celles de Cahors, Figeac... comme la Bibliothèque Départementale de Prêt du Lot, ignorent mes six romans, pièces de théâtre (certaines traduites en anglais, allemand, espagnol), essais... En 2014, aux municipales de Montcuq, au moins deux listes s'affronteront. J'ignore si le futur maire reprendra ce projet de vendre la merde municipale. Quand j'avais proposé un salon du livre, monsieur Daniel Maury (du PRG) avait "poliment décliné l'offre." Il est mort. Que de ressources en perspective, pour la municipalité lotoise comme pour l'éditeur reconverti ! Et nul doute que 80 % de ses 36 000 collègues relayeraient le projet. La France a de la merde, est dans la merde (pourtant elle tient encore !), il lui faut bien des idées merdiques, face à une oligarchie ayant confisqué l'indépendance. Ne pouvant vendre mes livres, j'accepte donc de proposer de la merde; c'est également à monsieur Gérard Amigues, adjoint attelé à la Culture du Lot, que je dédie ce document... Sans oublier monsieur Martin Malvy, président du Conseil Régional, et "sa" réponse sur ma profession libérale d'auteur-éditeur... Jack-Alain Léger (suicidé en 2013) a publié un livre au titre me revenant opportunément: "On en est là." Oui, on en est là, au pays de l'exception culturelle confisquée par l'industrie Kulturelle. Ce document reprend le contenu du succulent "Un livre de merde, de Montcuq." Tout en s'intéressant à la Merde d'Artiste de Piero Manzoni.

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  • Sprog:
  • Fransk
  • ISBN:
  • 9782365415170
  • Indbinding:
  • Paperback
  • Sideantal:
  • 122
  • Udgivet:
  • 29. januar 2014
  • Størrelse:
  • 152x229x8 mm.
  • Vægt:
  • 172 g.
  • BLACK WEEK
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Beskrivelse af Vendre la merde de Montcuq, en boîtes

On peut encore l'envisager, la littérature... à condition de contribuer à la valorisation du patrimoine des grandes fortunes, Gallimard (plus Bernard Arnault), Lagardère (plus Qatar), Esménard, de La Martinière... Comportement correct exigé sourires et encensement de ces bienfaiteurs de la culture... ne pas aborder des sujets déplaisants... Qui parmi ces grandes âmes publierait Céline ?
Comme l'a proclamé madame Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, en juin 2012: C'est l'éditeur qui fait la littérature.
Entre les éditeurs et les 25 000 points de vente traditionnels, les malins ont su imposer leur maillon essentiel: la distribution, invisible aux béotiens, terriblement efficace (pour le cash et le contrôle des livres médiatisés). Barrière infranchissable pour l'écrivain libre. Le statut d'éditeur indépendant relève de l'usurpation de dénomination ou de la marginalité... Bref, il convient d'agrémenter le catalogue de pitreries, puisque même la bibliothèque de Montcuq (10 ans d'utilisation de l'argent public), celles de Cahors, Figeac... comme la Bibliothèque Départementale de Prêt du Lot, ignorent mes six romans, pièces de théâtre (certaines traduites en anglais, allemand, espagnol), essais... En 2014, aux municipales de Montcuq, au moins deux listes s'affronteront. J'ignore si le futur maire reprendra ce projet de vendre la merde municipale. Quand j'avais proposé un salon du livre, monsieur Daniel Maury (du PRG) avait "poliment décliné l'offre." Il est mort.
Que de ressources en perspective, pour la municipalité lotoise comme pour l'éditeur reconverti ! Et nul doute que 80 % de ses 36 000 collègues relayeraient le projet.
La France a de la merde, est dans la merde (pourtant elle tient encore !), il lui faut bien des idées merdiques, face à une oligarchie ayant confisqué l'indépendance. Ne pouvant vendre mes livres, j'accepte donc de proposer de la merde; c'est également à monsieur Gérard Amigues, adjoint attelé à la Culture du Lot, que je dédie ce document... Sans oublier monsieur Martin Malvy, président du Conseil Régional, et "sa" réponse sur ma profession libérale d'auteur-éditeur... Jack-Alain Léger (suicidé en 2013) a publié un livre au titre me revenant opportunément: "On en est là." Oui, on en est là, au pays de l'exception culturelle confisquée par l'industrie Kulturelle. Ce document reprend le contenu du succulent "Un livre de merde, de Montcuq." Tout en s'intéressant à la Merde d'Artiste de Piero Manzoni.

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