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TABLE DES MATIERESI-HISTORIQUE-La guerre de libération-La période post indépendance-A-Ben Bella-B-Boumediene-C-Chadli-D-Boudiaf-E- Zeroual-F-BouteflikaII-SITUATION AU 22 FEVRIER 2019A-La Sécurité MilitaireB-Abdelaziz BouteflikaC-Le Parti FLN et ses démembrements-1- L'UGTA-2- L'ONEC-3- UNJA-4- L'UNFAD-L'ISSABAIII-LES FORCES EN PRESENCE AU LENDEMAIN DU 22 FEVRIER 20191.L'Armée 2.Le HIRAK3.Les islamistes4.Les baathistes5.Les berbéristes6.L'élite francophoneIV-L'INFLUENCE ETRANGERE1-LA France2-LA Russie3- Les USA4-Le Canada5-Israël6-La Tunisie7- Le Maroc8-Les pays arabes 9-l'Iran10-la Turquie11.L'Arabie SaouditeV-SCENARIOS POSSIBLES1-La régénérescence du régime de Boumediene2-Le retour des pros Bouteflika3-La dislocation de l'Etat4-Une issue salutaire-La guerre de libération-La période post indépendanceCette période est marquée par une usurpation de la légitimité révolutionnaire. Elle débuta par un coup de force de l'ANP contre le GPRA et se paracheva par un coup d'état militaire qui ouvrit la voie à une ère d'escamotage, de falsification de l'histoire et à une entreprise de mythification systématique de la guerre de libération nationale par ceux qui n'ont jamais tiré une seule balle contre le colonialisme français. Parallèlement, un travail tendant à amnésier la mémoire collective sera planifie de façon systématique et savamment entrepris pour empêcher que les acteurs de la révolution ne servent d'exemple pour la jeunesse qui aspire à un changement politique. D'autres hommes illustres inconnus de l'histoire sont érigés en héros, dont le colonel Boumediene, théoricien et artisan chef de fil de la mystification de l'histoire. Ce groupe de militaires avec à leur été le colonel Boumediene, va mettre en place toute une organisation d'un Etat à façade populaire et demagogiquement sociale. Le sigle du FLN sera pris en otage par une bande d'opportunistes qui usera et abusera du sentiment nationaliste et révolutionnaire du peuple. C'est grâce à la fraude massive systémique et systématique de ce parti FLN que les présidents de la république sont élus dans une cascade d'élections qualifiées par les fraudeurs eux-mêmes, de libres. Mais il avouer que dans celte grande supercherie, ce n'est pas le parti FLN qui détient réellement le pouvoir, mais bien la Sécurité Militaire(SM) qui actionnera les leviers de commande. Les assembles et réunions du parti, ne seront utilisées que pour entériner des décisions prises par le cabinet noir de cette puissante et omniprésente organisation.-A-Ben Bella.Cet ancien sous officier de l'armée française fera son entrée dans les rangs des chefs de la rébellion des 1949. Il participera au holdup up de la poste d'Oran à cote de Hocine Ait Ahmed. Emprisonné avec ses compagnons de lutte politique dans une prison de France de 1956 jusqu'à l'independance.pendant son séjour en prison Il sera contacté néanmoins par Boumediene, par l'intermédiaire d'un émissaire Abdelaziz Bouteflika qui lui remettra la proposition de devenir le premier président de l'Algérie indépendante.Sachant que l'indépendance de l'Algérie n'était qu'une question de temps, Boumediene se préparait déjà à prendre le pouvoir. C'est dans cette optique qu'il avait pensé à l'un des 5 détenus à la prison en France Pour donner un semblant de légitimité au futur gouvernement algérien post indépendance ne pouvait que conforter son règne qu'il planifiait déjà avec le concours de certains leaders arabes comme Gamal Abdelnacer.Le pouvoir est accaparé par la force des les premiers jours de l'indépendance, par l'armée des frontières qui était restée à l' écart de la guerre. Sous le commandement du colonel Boumediene, elle envahit le territoire algérien par la force, en se heurtant à une résistance de ...
Mouloud Belkissen, Officier de l'ALN raconte la guerre d'Algerie en Kabylie. il parle des Maquisards qu'il a côtoyé tout le long de cette épopée. Amirouche, Amar Ait Cheikh, Mohamedi Said, mais aussi, les autres, nombreux, officiers ou simples soldats avec qui il a partagé la vie de combattant de la Revolution dont il a conservé dans sa mémoire intacte les images et les paroles lapidaires. Cette oeuvre est un témoignage authentique sur la vie dans le Djebel, ce n'est que du vecu. au dela ces récits sur les accrochages et batailles livres aux forces d'occupation, l'officier de l'ALN, et par la suite de l'ANP, l'auteur nous livre ses impressions personnelles sur la guerre et le colonialisme.
Cet ouvrage n'est pas destiné à faire l'apologie des uns ou des autres, mais d'évoquer la suite vitale ou mortelles et les conséquences humaines de la guerre d'Algérie, tout en y entremêlant la mienne, que d'aucuns ignorent. Il y a tant d'auteurs témoins des faits qu'ils ont réellement vécus eux-mêmes, pour que je me mêle de leur guerre d'Algérie.Car d'autre part, dans un monde qui nous apparaît quotidiennement de moins en moins libre, de plus en plus sali et dénaturé par l'industrie, la surconsommation et les êtres inconscients, une seule porte d'or ouverte à tous: la liberté de penser et d'agir. Dans l'exercice de l'intelligence (ou libre arbitre) qui est donnée aux hommes, quelles que soient leur condition sociale et leur race.
La vie matérielle et paranormale n'ont pas de frontières. le cerveau de l'être humain subit sans cesse les traumas du quotidien vécu et les cauchemars et visions surnaturelles du rêve ou du paranormal.Ce témoignage raconte des scènes réellement vécues, mais aussi celles subies par des êtres possédés par des esprits surnaturels mais bien présents autour de nous. Dans ce livre, c'est l'homme de sciences, cartésien, l'imam ou l'ecclésiaste et le commun des mortels qui sont défiés par le conscient et l'inconscient, le matériel et le spirituel, le normal et le paranormal
C'est la suite de l'histoire de mon amie Eliette. Elle avait à peine dix ans, lorsque sa camarade, Josy, à l'école primaire, était déjà petit rat de l'Opéra, à Lyon (Lugdunum du temps des Gaulois et de César). C'est elle qui lui apprenait à faire les pointes et quelques entrechats. Quel bonheur ! Elle qui rêvait aussi d'être Petit Rat de l'Opéra.Manque de chance, sa mère, était fauchée comme les blés au mois de juillet. Donc, impossible de faire donner des cours de danse classique à la plus dégourdie de ses deux filles, celle qui était née au mois de juillet, précisément.Josy invitait souvent Eliette chez elle, pendant que chaque jeudi, leurs mères travaillaient. Elles étaient, d'ailleurs, toutes les deux couturières et divorcées, de surcroît. Ce qui était fort rare à cette époque, et surtout dans une église catholique. Entre les années cinquante et soixante c'était le résultat navrant de la guerre, à laquelle certains avaient échappé. Pas d'étoile jaune sur la veste ou le manteau. Une étoile dans la tête que personne ne voyait. Doués pour la musique, par contre, certains en réchappèrent grâce à leur talent. Un film qui racontait le destin d'un pianiste virtuose, fut ce qui avait ému le plus, mon amie Eliette, il y a quelques années. Elle en parle toujours les larmes aux yeux.Ainsi va la vie et sa multitude de surprises permettant de grandir, de devenir soi, au milieu de beaucoup, beaucoup de différences de goûts et de couleurs, tout en étant accrochées à beaucoup, beaucoup de projets, d'espoirs divers et variés. Et lorsque l'on est qu'une petite fille, innocente et jolie comme un coeur rêvant de devenir "Petit Rat de l'Opéra de Lyon" c'est un empire de rêves....entre autres histoires
ce livre contient les témoignages de maquisards ayant participé aux combats contre l'occupant, en Haute Kabylie, entre 1954 et 1962. Ce n'est que du vécu. Certains combattants ont sacrifié leur vie, d'autres sont sortis de cette guerre, mutilé a vie, mais leur combat n'a pas été une vaine entreprise. Ils sont les combattants de la liberté et de la dignité retrouvée des enfants D'Algerie.
Ces femmes si belles, si intelligentes et si discrètes. Elles ne sont pas dans les rangs des manifestants des droits des femmes, ni PDG ou assistantes du titre du même nom ou encore secrétaires de ministres ou actrices séduisantes. Elles sont pourtant si belles et si intelligentes. Si sensibles, et qui s'occupent dans la discrétion totale de missions autrement plus humanitaires, et infiniment pénibles. Elles ne sont ni ouvrières dans des usines ou infirmières ou encore institutrices ou accoucheuses dans des cliniques, Elles sont pourtant présentes, dans des moments les plus pénibles que puissent connaitre des hommes souffrants, des rescapés et estropiés de la guerre d'Algérie. Voila des années qu'elle s'occupe d'un grand invalide de guerre, arraché in-extremis a la mort qu'une salve de chevrotine tirée par un fellagha dans les maquis de la Haute Kabylie aura raison de la joie de vivre de ce chasseur alpin. Depuis, il vit dans un enfer, un cauchemar, entre la vie et la mort sur son fauteuil roulant, mais accroché a la vie que cette femme brave, chaque jour et chaque nuit, pour l'accompagner dans ses souffrances physiques et mentales, aura en plus temps de mettre sur papier blanc, ses sentiments, ses souffrances en attendant la mort. C'est cette philosophie de la souffrance de l'homme, de la femme, vécue en silence que Michèle, l'épouse d'un mutilé de cette guerre qui n'a pas encore tout dit, tente de nous transmettre dans ces lignes qu'elles égrènent au jour le jour, le temps d'un moment de répit, de repos moral qui se fait chaque jour de plus en plus court. Et rare C'est la philosophie de la vie du siècle moderne que cette femme nous prodigue pour que nos souffrances deviennent quelque peu clémentes, et les tyrannies contenues dans le coeur de ceux qui décorent de toutes sortes de médailles factices, dans l'armée pour la comptabilité macabre commise, s'en rendent compte; que le chemin emprunté par les dirigeants du monde ne peut conduire qu'a plus de morts, plus de souffrances, plus d'injustices.
Ils se nomment Marzouk Boukhoulaf, Mezine Lounis dit Si Boudjemaa, Belaid Amejtouh ou Belbey Ahmed ou encore Asma Mokrane. Ils sont originaires de Michelet, d'Azazga, de Draa El Mizan, de Makouda ou de Tizi Ozou. Ils sont peu nombreux dans la région de la Wilaya 3 historique mais déterminés à affronter l'ennemi surarmé, grâce a leur courage, leur conviction et leur rage de vaincreIls s'appellent Krim Rabah, ou Mehanna Izemraken ou Ahmed Dekli, Hocine Mostefaoui, Belaid Tirourda, Aroua Mohand Oussalem que la propagande coloniale affublait de terroristes. qu'ils soient Si Hadj Mohand Cherif, ou Si Hadj Mohand Ouahmed, ou encore Hocini Djaffar, Hocini Abdellah, Amar Ait Cheikh ou Ali Bennour, ou M'hand Yakouren, Belkissen Mouloud, Amirouche ou Mohand Oulhadj, ils sont ces bêtes noires que le colonialisme français a rencontrés sur son chemin escarpé de la Haute Kabylie ou dans les plaines de la Kabylie maritime, non pas pour un simple Salem, mais l'affronter dans un combat sans concessions Ni les ratissages quotidiens ni même l'opération jumelles n'ont pu venir à bout de cette force tranquille des Maquisards kabyles engagés corps et âmes dans cette incroyable machine de guerre: l'ALNLes récits contenus dans ce livre sont authentiques, ils ne sont que du vécu de la période allant de 1954 à 1962.La Femme Kabyle occupent une place dans ce combat sans merci, la place une place qui va déterminer l'issue de cette guerre.La France l'a perdue, cette guerre On ne veut pour preuve que la capitulation du Général De Gaulle devant ce peuple vaillant, autochtone, qui vit dans ce pays depuis la nuit des temps: l'Algérie.
Elles sont nombreuses à se joindre aux Maquisards pour lutter contre le colonialisme français. Dans l'anonymat total, mais cela ne réduit en rien leur héroïsme. Elles se joignent à leurs illustres compatriotes dans des actions héroïques, comme Djamila Bouhired, Hassiba Ben Bouali, Ourida Meddad et beaucoup d'autres. Elles s'appellent Ouiza Guenif, épouse Fellak dite "Nouara Michelet", ou encore Aroua Tourkia, ou Si Hadj Mohand Aini, Asma Ouerdia, Belkadi Zahra... elles ont contribué dans la clandestinité totale qui par les missions de renseignement, de liaisons, qui par leur engagement dans les rangs de l'ALN, pour des travaux de ménage quotidiens, de soins médicaux, ou encore par la collecte de fonds et l'approvisionnement en produits alimentaires des Refuges et abris des Moudjahidines. Cet ouvrage a pour but de témoigner pour la postérité des actions de soutiens et de logistique aux combattants de l'ALN, mais également pour sortir de l'anonymat ces valeureuses épouses et soeurs de nos intrépides Moudjahidines.
Le temps est venu de transmettre les meilleurs sentiments de nos coeurs, alliant le matériel au spirituel, dualité indispensable à la continuité de l'Humanité, à travers la réalisation d'êtres divins qui manifestent librement leur participation à la grande transformation du monde actuel. En ce qui me concerne, je n'ai pas la prétention de donner des conseils, car je suis seulement canal dans un contexte d'enseignement, mais aussi de plein Amour pour mon prochain. Nous sommes tous, ou pratiquement tous, semblables dans un but de transformation de nos consciences, et nous nous heurtons tous à des difficultés et des épreuves qui ont, au premier degré, l'occasion de nous faire réfléchir, au lieu de juger. De plein droit, nous usons de notre intelligence, mais aussi de notre faculté d'imaginaire et de réceptivité d'informations qui viennent d'une autre dimension, sans bien nous en apercevoir.Il m'est apparu clairement qu'en transmettant du mieux possible la pensée rétroactive d'une soeur spirituelle et d'élection, branchée totalement sur les codes d'un passé très, très lointain, que j'étais également dans la transformation profonde de mon être, petit grain de poussière dans l'Univers que je comprends. Ainsi: Article I: C'est un élan jubilatoire qui m'a poussées à écrire le présent ouvrage, car je pense que les fondements de toute l'Humanité, depuis la Création, se résument en une longue et impitoyable guerre entre le règne Animal et le Divin, au tout premier Plan; puis entre le règne Barbare et l'Homme, au second Plan (depuis que l'Homme s'est développé sur la Terre, tel qu'il est); enfin, depuis des millénaires, entre les forces de la haine et de l'obscurité qui sévissent sans cesse nous mettant face à face avec les plus puissants pouvoirs de l'Amour et de la Lumière, qui nous ont engendrés.Article II: Tout ce que nous évoquons est offert tels des signes et des indices totalement chargés de la plus grande sincérité d'intention, dans une humble mais farouche volonté de retour à la Source Divine.Article III: Il appartient alors aux lecteurs et lectrices d'en retirer l'élixir de leur personnelle interprétation, sans vouloir absolument trouver un quelconque pouvoir magique occulte, mais le but primordial d'une purification d'intentions et d'actes qui ne seraient dus qu'à une apparence uniquement terrestre, cependant. Article IV: Nous ne dénigrons aucun grand mouvement scientifique général au sujet de la compréhension de l'Univers d'où nous venons et où nous retournons. Nous avons parfaitement compris et appris que nos plus grands astrophysiciens et philosophes contemporains savent ce qu'il en est de l'évolution des mondes autres que le nôtre, sans en avoir pour l'instant la preuve irréfutable. Notamment en ce qui concerne la rencontre d'êtres qui nous ressembleraient. Tous les mondes ne sont pas tels que nous les imaginons. Ils sont nombreux, divers et variés.Article V: Nous ne dénigrons pas non plus quel que mouvement religieux que ce soit, et qui connaît depuis la base, l'origine, sa part de Vérité. Nous ne sommes qu'un relai avec le potentiel Divin de la Lumière primordiale. Ayant expérimenté la souffrance, c'est en toute humilité et Amour que nous dresserons un mur, pierre après pierre de bonne qualité, entre l'Ombre (le Mal) et la Lumière (l'Amour).Article VI: Ainsi je postule à l'agrandissement lumineux d'un mouvement de pensées et d'actes positifs, sans dogme, religion, pensée imposés. Nous ne rejetons pas tout non plus. Mais sommes vigoureusement contre tout mouvement extrémiste et fanatique assassin. Nous sommes des témoins d'une autre manière d'agir et réagir, sans imposer une quelconque souffrance à nos frères humains. Bien au contraire. Et si, certains nous font souffrir, c'est à eux-mêmes qu'ils imposent cette souffrance.
This work is the result of authentic testimonies of Maquisards, and Maquisardes of the Revolution of November 1, 1954.The facts are authentic. The characters are real, some fallen on the field of honor, and some even rare are still alive.Even if they do not have a logical link between them, the events constitute as a whole a repertoire of acts whose summation could, if they are associated with other testimonies gathered on the national territory, help to engrave the memories in the history books of the Algerian people.The photos attached to this collection are also from the time incriminated, and correspond to events narrated. They are unpublished and are the property of the author of this story.
On the aftermath of the war, hope has been built and love has sprung up like a sheaf of flowers that crosses the seas and flies over the mountains. The trauma of the war could only meet its remedy in the escape of the spirit through an unreal, imaginary, but comforting world. The characters are real even if their names are invented for ethical reasons. Do not look too far, even if the feelings are authentic, they are none the less the result of Parisian spleen. Many suffer at the moment because of the Algero-French war which, however, is well behind us. More than 60 years separate us from its trigger. . To forget the traumas, but without erasing the painful history of the two peoples, we have chosen the best remedy: love. This book is an exorcism of the evil buried in the hearts, following the tragic events that physically and psychically disabled many actors and simple victims of the deadly conflict.
Zedjiga, la femme de Kader est fouineuse de nature. Aigrie par sa silhouette cadavérique et la pâleur de son teint, sa mine d'enfant effrayé, ses yeux menaçant ressemblent à deux balles d'un revolver prêt à vous transpercer. Le visage décharné, les traits tirés et les muscles tendus, nous renvoient un portrait d'un personnage curieux et plein de malice. Pourtant, derrière ce cadavre ambulant se dissimule une jalousie maladive qui la consume secrètement, à petit feu. Elle fait partie de ces individus qui vivent intérieurement une douleur insoutenable et qui s'efforcent constamment de faire bonne mine contre mauvaise fortune.Cette femme, au fond, ressemble à un volcan prêt à tout moment à entrer en irruption. La moindre parole mal interprétée peut mettre le feu aux poudres et provoquer une explosion aux conséquences incontrôlables. Elle est belliqueuse sans pour autant aller jusqu'à agresser son interlocuteur. Elle est du genre colérique. Il suffit pour cela, d'un prétexte aussi fallacieux pour qu'elle ait maille à partir avec n'importe qui y compris des personnes étrangères .C'est du reste, à cet instant précis que l'on peut se rendre compte de la complexité du personnage, de son caractère grincheux, belliqueux, évasif à la limite du désordre psychologique. Renfermée, elle l'est, malgré l'apparence affichée d'une personne extravertie. Elle est plutôt d'un genre très réservé dans son expression, même s'il lui arrivait souvent d'entrer dans une logorrhée interminable. Cette dame, en un mot, cache très mal son complexe de femme grossièrement façonnée par la génétique. Elle en est même frustrée au plus haut niveau. En un mot elle est moche et pourrait même illustrer la couverture d'un livre traitant de la déformation psychologique conséquence d'une malformation physique. En fait, dans la réalité, en l'observant jour après jour dans ses occupations et actes quotidiens, on se rendrait compte de la nature de la stratégie qui l'anime intérieurement. A la longue, on finit par découvrir avec une évidence frappante que dans ce menu corps fragile et derrière ce regard d'enfant apeuré se cache le diable en personne.Et pour cause rien ne pouvait lui échapper ! Elle avait remarqué que ces trois derniers mois, sa belle soeur Ourida n'a pas eu ses règles et qui plus est, elle ne s'est même pas plainte de ses douleurs au ventre comme elle avait l'habitude de le faire presque de façon ostentatoire pour satisfaire un peu son besoin refoulé d'extériorisation. Zedjiga est mariée mais elle n'a pas encore d'enfants. Elle passait son temps à épier Ourida au moindre écart. Elle en avait fait son passe-temps favori. Une occupation qui lui permettait de surmonter ses moments d'isolement spirituel, de stress et de monotonie. Un déviatif lénifiant pour cette femme dont les loisirs se réduisent aux actes d'accouplement routiniers nocturnes et dont le destin a fait au même titre que ces femmes des montagnes kabyles des machines à procréer. Voilà une occasion inespérée, se dit-elle au fond d'elle-même, pour aller la dénoncer à sa belle même. Elle en était mortellement jalouse, une occasion d'or pour elle de mettre toute la verve et la joie dans son entreprise de dénonciation contre son ennemie intime . Une occasion aussi de prendre le dessus sur cette rivale invétérée qui ne lui avait laissé aucune chance d'être regardée encore moins admirée dans son entourage familial. Elle lui faisait de l'ombre comme on dit. Quant à espérer élargir son horizon dans cet environnement humain des Agroum, des quartiers de villages kabyles, autant dire que cela était du domaine de l'impossible. La rue, dans ces villages perdus dans l'histoire était, est, et sans doute demeurera encore pendant des siècles la chasse gardée du sexe fort. Elle ne pouvait donc attendre un regard ou un sourire provenant d'un inconnu dans cette foule dont elle
Des informations font état de l'arrivée de quantités importantes d'armement et de munitions en provenance de Tunisie et qui seraient dissimulées dans une des plus vastes grottes du Djurdjura qui surplombe le village d'Ait Aissa Ouyahia, fiel de la rébellion dans le douar Illilten. Les officiers de l'Armée française, s'appuyant sur quelque indicateur, préparent une vaste opération de destruction des OPA (organisations politico administratives) de cette tribu guerrière. Ils se fixent un double objectif: 1.Saisir l'occasion pour détruire l'organisation politico militaire fortement structurée et composée d'hommes ayant, pour certains d'entre eux, déjà effectué leurs classes dans les rangs de l'armée française, mais aussi grâce à la présence très fréquente dans de cette région des plus redoutables chefs de l'ALN: Amirouche, Krim Belkacem, Mohamedi Said.2.Mettre la main sur cet important stock d'armes avant qu'il ne soit reparti pour tomber entre les mains de ces redoutables baroudeurs aguerris. l'opération s'étalera du 7 au 14 Aout 1957, mais ne parviendra pas à atteindre les pleins objectifs que s'étaient fixés les chefs militaires français, même si cette opération devait finir dans un bain de sang pour les Mousseblines chargés de la garde de cet arsenal, découverts, ils seront forcés, grâce aux moyens énormes et sophistiquées mis en oeuvre par la puissance coloniale, de se livrer à leur ennemi après des tractations. Les gaz, les roquettes, les bombes fumigènes, les fusées SS 11 ne leur auront laissé aucune chance de s'en tirer. Au final, Les rapports officiels des services français feront état, de façon laconique, de 26 terroristes tués à l'intérieur de la grotte, mais d'autres témoins dignes de foi n'hésitent pas à affirmer qu'ils avaient été froidement passés par les armes. Ni la presse, ni la justice n'ont eu le mot à dire, puisque c'était la guerre, une guerre a huis clos. Dans cette affaire de corvée de bois a grande échelle. Il reste à l'histoire de dire son dernier mot. C'est ce que cet ouvrage tente, 62 ans après ce massacre, de déterrer, et de mettre sous le feu de la rampe, pour le devoir de mémoire.
L'injustice et la discrimination post indépendance.Les maquisards qui ont vécu la réalité des faits, les difficultés 7 ans et demi durant la lutte acharnée, ceux frappés au napalm, les blessés, les veuves de chouhadas, dans les pays qui se respectent sont vénérés et honorés, car, l'invasion que le peuple avait subi, est une épopée mémorable et honorable. ils ont combattu l'ennemi avec courage et engagement et ce n'est donc pas celui qui était resté en dehors des frontières du pays, qui n'a connu aucunement la révolution qui peut se targuer d'être un zain, un héros. Aujourd'hui, force est de constater une amère et honteuse situation: Celui qui n'a vécu ni de prés de ni de loin la révolution, s'est retrouvé du jour au lendemain le détenteur de pouvoir, celui-là même qui n'a connu ni de près ni de loin la révolution, reçoit un salaire de 600 000 dinars par mois, pendant que l'authentique maquisard ne reçoit guère pas plus de 50 000 dinars. C'est peu dire que ce maquisard a vécu les pires situations: affame, traqué, bombardé au napalm, il passe ses nuits dans les maquis, hiver comme été, jour et nuit, affrontant un ennemi surarmé, avec un fusil de chasse et quelques cartouches de chevrotines. Cette situation de fait renseigne sur l'injustice qui règne et qui plus est sur la trahison des usurpateurs de la révolution au nom du FLN. Un fait inédit dans l'histoire des nations. Pire! Des zones interdites ont été créées, dans l'Algérie indépendante, comme ce fut durant la guerre de libertin ou des millions d'enfants et de femmes ont été déplacées, privées de subsistances et de libertés et de soins. Moretti restera dans l'histoire post dépendance, le symbole des centres de concentrations de privilégies dotée d'avantages pour le moins insultants pour l'humanité démunie. Un lieu, une base de vie pour enfants d'un système injuste, discriminatoire ou l'argent, alcool, et la drogue coulent à flot.L'Algérie aux algériens, de Tamanrasset à Alger, d'Oran Souk Ahras, ainsi pourtant l'avait proclamée le congrées de la Soummam, la justice sociale.Aujourd'hui, la situation est d'autant plus grave, les dirigeants s'approprient des salaires mirobolants, et bénéficient d'avantages en nature des plus faramineux: résidences familiales et touristiques, à titre gratuit, qui empêchent l'Etat et le peuple de faire fructifier les infrastructures et une répartition équitable de ces rentes.Un députe ou un ministre ne doit pas squatter un bien du peuple.Il ne peut y avoir de lutte révolutionnaire pour un objectif d'esclavage, et de la gabegie.Une fille de chahid touche 500 dinars par mois, la veuve de chahid perçoit 40 à 50 000 dinars. Il est insensé d'admettre une telle répartition des richesses du pays.Dans ce système inique instaurée par les indus occupants, il y a ceux qui vivent au ciel, protégée comme les nages, et ceux qui vivent dans les caves exposées à la misère et à l'insanité.Les uns sont perchés au sommet, les autres entendus par terre livrés à la souffrance, à la faim et les maladies.Notre révolution a combattu par le passée tous ces maux, car elle est sur la voie juste. Un responsable se doit d'être propre, Un responsable se doit d'être propre, et serviable La guerre est déclenchée à cause de la hogra, histoire de l'Algérie doit être dite et écrite de façon honnête. Il y eut des chefs de la révolution qui ont été assassinées, après à guerre. Ils ne sont pas tombés au champ d'honneur. Des erreurs ont été faites, il faut le reconnaître, des héros de la révolution ont été assassinés, on ne faut pas tromper la jeunesse algérienne ne falsifiant l'histoire.Mouloud Belkissen a vécu cette guerre dans sa chair, la vérité doit être dite. Comment poser cette question de la mort des héros, post indépendance. Si l'histoire doit choquer, que chacun prenne ses responsabilités et reconnaisse ses
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