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  • af Richard O'Monroy
    198,95 kr.

    Extrait UNE PAGE D'AMOUR I La deuxième colonne du 30e dragons, colonne dans laquelle se trouvait l'escadron du beau Pouraille, venait, trompettes en tête, d'entrer à Marlotte. Direction: les grandes manoeuvres. On était encore dans tout le tohu-bohu de l'arrivée. Sur la grande place, éclairée par un beau soleil, le capitaine chargé du logement expliquait au colonel ravi tous les agréments du petit village de Marlotte, endroit ravissant entouré de sites pittoresques, rempli de peintres ayant amené avec eux joyeuse société. Ce qui permettait d'espérer bon souper, bon gîte... et peut-être le reste. Le colonel, du haut de son cheval, écoutait avec un air de satisfaction profonde, et jetait un regard distrait sur le papier où était consigné le prix du lard. Pendant ce temps les fourriers affairés, leurs billets de logement à la main, couraient de l'un à l'autre ne pouvant répondre à la fois à toutes les questions: Suis-je bien logé? Mes chevaux sont-ils avec moi? Combien ai-je d'écuries pour mon peloton? Toujours chez le curé! Chez monsieur le maire! - Que le diable vous emporte! etc., etc. Enfin l'éparpillement se fit graduellement; les dragons mirent pied à terre avec un grand bruit de bottes, d'éperons et de sabres traînant sur le pavé, puis chacun, d'un pas alourdi, se dirigea vers son gîte en tenant son cheval par la bride. Devant la grande porte de l'hôtel il ne resta bientôt plus que le colonel et le capitaine Pouraille donnant des ordres à son maréchal des logis chef. L'hôtel était très pittoresque avec son enseigne du Lapin qui se rebiffe, tableau bizarre représentant un lapin tenant en respect un gros cuisinier très pâle. Aux fenêtres mi-closes, derrière les persiennes vertes, apparaissaient de petites têtes ébouriffées, vu l'heure matinale, et qui devaient sans aucun doute appartenir aux compagnes plus ou moins légitimes de MM, les peintres.

  • af Richard O'Monroy
    183,95 kr.

    CHÂTEAU ET CHAUMIÈRE Il eût été assez difficile de dire si Nita préférait le sous-lieutenant Larmejane au capitaine Pouraille. Larmejane était très gentil avec ses cheveux drus, son teint rose et ses petites moustaches blondes retroussées en chat; mais Pouraille, celui qu'on appelait le beau Pouraille aux Cent-Gardes, était encore fort bien avec son torse d'Hercule, sa voix sonore, son teint pâle, ses majestueuses moustaches noires. La vérité m'oblige à dire que Nita accordait ses faveurs alternativement aux deux officiers avec une impartialité touchante. C'est même cette impartialité qui désarmait Pouraille, assez sceptique de sa nature, et, ma foi, pourvu que la blonde enfant le reçut toujours à bras ouverts lorsqu'il venait la voir rue Murillo, pourvu que l'on ne fit pas attendre plus du temps moralement nécessaire à l'ouverture lente d'une porte, il voulait bien fermer les yeux sur les incartades de sa protégée vis-à-vis d'un inférieur. - Au moins, ça ne sort pas de l'arme, disait-il en souriant; bien mieux, ça ne sort pas de l'escadron! Larmejane avait en effet l'honneur d'appartenir au 3e escadron du 15e cuirassiers, escadron commandé par le beau Pouraille. Cependant les grandes manoeuvres approchaient, et, une fois détaché dans un petit village, il était bien évident que le partage allait devenir impossible. À Paris, l'on peut être censé tout ignorer, mais à Gallardon, village de huit cents âmes où l'escadron devait cantonner, on ne pouvait plus admettre une promiscuité absolument nuisible au prestige du commandement.

  • af Richard O'Monroy
    153,95 kr.

    PRÉFACE Ce petit livre n'est pas une oeuvre de pure imagination. Les Braconniers ont réellement existé. Pendant plus d'une année, une bande de Parisiens de race, présidés par un gentleman qui s'est fait une place à part dans la haute vie, se sont réunis presque tous les soirs, ayant réalisé le grand problème si difficile de s'amuser entre gens bien élevés et comme il faut. Quoi qu'on en ait dit, ils n'étaient pas des oisifs, et ne se faisaient pas une auréole de leur inutilité. La plupart d'entre eux, au contraire, occupaient une fonction importante soit dans l'administration, soit dans les affaires, soit dans l'armée, soit dans la diplomatie. Loin d'être des inutiles, ils achetaient le droit au plaisir par un travail quotidien sérieux; de là, sans doute, cet entrain, cette camaraderie, ce goût pour les causeries spirituelles, cette gaieté de bon aloi, cet appétit de fête qui faisait du Club des Braconniers une réunion tout à fait à part. Hélas, ce club a vécu ce que vivent les associations de ce genre. Le comité s'est dispersé. Parmi les membres, les uns se sont mariés, les autres ont été déplacés par suite de leur carrière, d'autres sont morts; bref les Braconniers ont disparu, mais après avoir brillé d'un vif éclat dans le firmament parisien. Nous avons pensé que ces délibérations, ces discussions galantes, ces fêtes catapultueuses méritaient de laisser une trace. À notre époque morne et terne, il n'est pas mauvais que les petits jeunes gens d'aujourd'hui sachent qu'ils ont eu des devanciers ayant essayé loyalement de ressusciter la vieille gaieté française. Le sporting, le racing, le footing, et autres exercices aussi chastes qu'hygiéniques ont peut-être un peu trop remplacé la vie nocturne, en supprimant toute velléité de bals et de soupers, et en conduisant fatalement aux moeurs campagnardes et au couvre-feu de onze heures. Nous réunissons donc ces pages, comme un souvenir attendri d'une glorieuse époque, afin qu'elles servent d'exemple - de très mauvais exemple - aux nouvelles générations. N'oublions pas que nous sommes une race de guerriers - non de bourgeois - et que la bonne humeur est une vertu militaire. Richard O'Monroy.

  • af Richard O'Monroy
    183,95 kr.

    Extrait UNE NUIT D'ORGIE À LA TOUR Grande dame ou courtisane? (la Tour de Nesle). I Suivant sa vieille habitude, le vicomte de Pignerolles avait quitté, au mois de mai, son château de la Châtaigneraie - par Saint-Maixent (Deux-Sèvres) - pour venir passer, à Paris, un mois plein de folles ivresses, et, comme toujours, il avait chargé son ami Brionne de le piloter et de le faire inviter partout. Aussi, lorsqu'il apprit que Périclès donnait une nouvelle fête vénitienne, il n'eut cesse que Brionne ne lui eût obtenu une invitation. Ce fut donc avec une véritable joie qu'il reçut un vélin parfumé, orné d'une troublante silhouette de flamme, sphinx mystérieux et charmant aux grands yeux de velours noir, divinité masquée donnant le désir fou de chevaucher sur sa croupe polie comme celle des Chimères antiques. Il y avait écrit au-dessous, en caractères gothiques: Monsieur Périclès prie le vicomte de Pignerolles de lui faire le plaisir de venir passer la soirée chez lui le vendredi 7 mai. La beauté sous le masque est de rigueur. Et immédiatement, enthousiasmé, le bon Pignerolles se rappela ces fêtes merveilleuses, ces redoutes dont on avait tant parlé vers la fin de l'empire, où mondaines, comédiennes et demi-mondaines se trouvaient réunies, où dans des buen retiros mystérieux, on chantait tout bas à l'oreille des versets du Cantique des Cantiques, où le mot d'ordre courant de bouche en bouche était: Volupté!... Après avoir bien cherché dans sa tête de bon gentilhomme vendéen, comme l'invitation demandait une réponse, Pignerolles prit une carte et écrivit: - Oui, Lucullus! Oui, Sardanapale! Oui, intendant Fouquet! Puis il songea à son costume et consulta son ami Brionne. - Si tu m'en crois, lui dit ce dernier, tu te dispenseras du manteau vénitien. Il est très difficile à porter; au moindre geste, il tourne sur l'épaule et, ainsi affublé, il faut très peu de chose à un honnête châtelain pour avoir l'air ridicule. Revêts plutôt l'habit rouge avec le gilet blanc, la culotte noire, les bas de soie noirs; sous le bras, le bicorne à ganse noire; ainsi vêtu, bâti comme tu l'es, tu peux espérer un de ces succès qui marquent dans la vie d'un joyeux viveur.

  • af Richard O'Monroy
    173,95 kr.

    Extrait LA VENGEANCE DE PARDAILLAN LE RÉVEILLON Ils étaient quatre qui ne voulaient pas se battre, - bien qu'à certains jours ils en eussent de furieuses envies, - mais qui désiraient ardemment Rinalba, la fantasque ballerine: Pardaillan, un peu avare; Grangeneuve, un peu toqué; Fontenoye, un peu bruyant, et Chambreuil, un peu fatigué; mais tous quatre très élégants, très jolis garçons et très riches... ce qui n'a jamais rien gâté. Assis côte à côte dans les fauteuils réservés au cercle des Truffes, ils ne manquaient jamais une représentation du ballet où la danseuse, dans le pas de la toque, faisait courir tout Paris, accompagnant du bruit des castagnettes les déhanchements de son corps flexible. Il y avait surtout un certain moment!... Son buste cambré se renversait en des poses adorables, avec des yeux pâmés et des lèvres entrouvertes par un sourire bizarre, - et la salle entière était emportée dans un rêve aphrodisiaque, un pays féerique traversé de gazes, de tutus et de maillots roses. À ce petit jeu-là, nos clubmen devenaient littéralement fous. Ils étaient reçus non seulement dans la loge de l'artiste, où ils se grisaient de la lourde odeur des fards, du parfum des jupes dans une flambée crue du gaz, mais aux petits cinq heures, à celle audience quotidienne où, dans son hôtel de la rue Fortuny, la Rinalba, étendue sur une peau de tigre, daignait donner la réplique à des députés, à des sénateurs, à des ministres, à des ambassadeurs, et même à un maréchal de France.

  • - Scènes de la Vie Joyeuse...
    af Richard O'Monroy
    247,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ Le Club Ddes Braconniers: Scènes De La Vie Joyeuse Richard O'Monroy C. Lévy, 1887

  • af Richard O'Monroy
    168,95 kr.

    Prologue À Ludovic Halévy Mon cher maître, Permettez-moi de vous présenter madame Manchaballe, très proche parente assurément de votre ancienne amie, madame Cardinal. Qui sait, une de ses filles, peut-être, Pauline ou Virginie? En effet, vous nous avez conté l'histoire des Petites Cardinal, alors que j'envoyais à notre pauvre ami Marcelin, pour la Vie Parisienne, mes premiers essais littéraires de sous-lieutenant alors que MM. de Saint-Pierre, Davilliers, de Caux, Massa, Magnan, de Varannes, etc., faisaient les beaux jours de l'Opéra de la rue Le Peletier. Évidemment, c'était moins grand, moins luxueux, moins éclairé qu'aujourd'hui, mais c'était plus chaud, plus capitonné, avec un tas de petits coins propices aux douces causeries. Au lieu de monter comme maintenant au foyer de la danse, on y descendait par quelques marches toujours encombrées par les coryphées. C'était le quartier général des Fiocre, des Villeroy, des Trois Valets, des Volta, des Léontine Rousseau... et des petites Cardinal. Où sont les neiges d'antan! Le foyer n'est plus tout à fait ce qu'il était alors, malgré les séductions de mesdames Chabot, Invernizzi, Torri, Tremblay, Violat, Lecouvey, Roumier, et toujours des mères de danseuses, et madame Cardinal a certainement passé son cabas et son parapluie à madame Manchaballe. Aujourd'hui, mon cher maître, devenu immortel, vous sacrifiez à des dieux plus sérieux, et, en dehors des premières, l'on ne vous aperçoit plus guère dans les coulisses de l'Opéra; mais si vous y veniez quelque soir, je suis sûr que vous éprouveriez le même plaisir que jadis à écouter les petits potins de ces dames, les aventures de Judith, de Rébecca, de Caroline Manchaballe, de ces nouvelles qui sont entrées dans la carrière quand leurs anciennes n'y étaient plus, et qui y ont trouvé, avec leur poussière, sinon les traces de leurs vertus, du moins les souvenirs de votre esprit. Permettez-moi donc de vous dédier très humblement ce petit livre qui vous revient de droit, et pour que madame Manchaballe soit aussi joyeuse qu'aimable, Nous vous prions d'en être le parrain. Veuillez agréer mon cher maître, la nouvelle assurance de ma bien sincère admiration et de ma profonde sympathie. Richard O'Monroy. 1er Août 1892

  • af Richard O'Monroy
    213,95 kr.

    Extrait LE DOMINO BLANC ...Et grâce à mon domino noir, Je passe sans m'apercevoir... (Eugène Scribe). I Maxence ne pouvait se consoler du mariage de Bélantroy, son meilleur camarade; un beau jour, il avait subitement disparu, puis il s'était marié, lâchant tous les joyeux viveurs et donnant ainsi le plus fâcheux exemple. Maxence lui en avait tellement voulu qu'il n'avait jamais consenti à assister au mariage, ni même à aller voir sa femme. Ce soir d'Opéra surtout, Maxence regrettait son gai compagnon et il se dirigeait avec assez peu d'enthousiasme vers le bal. - C'est bête! les habitudes! se disait-il. On voit affiché sur les murs: Bal masqué à l'Opéra; on sait qu'on s'ennuiera, mais on y va tout de même, sans trop savoir pourquoi. Autrefois c'était amusant parce que nous formions une bande: Tournecourt, Précy-Bussac, Boisonfort, Taradel. Ils sont tous devenus lugubres. Il n'y a que Tosté qui lutte, et encore je ne lui donne pas deux ans pour être comme les autres. Mais celui que je regrette le plus, c'est mon Bélantroy. Une bonne humeur intarissable et une imagination! Impossible de se fâcher quand, après quelque farce de sa façon, il vous disait avec sa grosse voix: Elle est toujours bien bonne! Aujourd'hui, c'est un homme fini! Et tout en faisant ces réflexions, Maxence gravissait lentement le grand escalier de l'Opéra, tandis qu'à sa droite et à sa gauche, des messieurs en habit noir étaient rangés sur deux files. Il arriva à l'étage des loges et jeta un regard mélancolique sur ces grands corridors de marbre, si nus, si froids à l'oeil, se rappelant les petits coins capitonnés des couloirs de la rue Le Peletier. À ce moment, Tosté, pimpant, frisé au petit fer, le chapeau sur l'oreille, sortait radieux d'une loge.

  • af Richard O'Monroy
    183,95 kr.

    Extrait POUR GARDER SES CHEVEUX! L'autre jour, je contemplais avec émotion sur les boulevards les nouveaux sortis de Saint-Cyr. Entre tous, je remarquai un jeune officier de dragons, qui, certainement, étrennait sa tenue de sous-lieutenant et devait être de la promotion d'octobre. Il allait fièrement la tête haute, le jarret tendu, la main gauche appuyée sur le pommeau de l'épée à dragonne d'or, tout en rendant avec ravissement le salut que lui faisaient les Pitous passant à droite et à gauche. La tunique ne faisait pas un pli, le pantalon garance avait des miroitements de satin; et les épaulettes sortaient de leurs boîtes; le képi, crânement incliné sur l'oreille laissait voir une chevelure blonde encore très courte sur laquelle on avait voulu risquer une raie par-derrière. Cet essai de raie avec des cheveux insuffisants réveilla en moi tout un monde de souvenirs datant de sept ou huit ans déjà; je revis le vieux bahut de 1869, les brimades d'antan, le corps de pompe de Saint-Cyr, et surtout, surtout mon camarade Maxime de L..., si gai, si exubérant d'entrain et de jeunesse. C'était un grand Breton, magnifique, fort comme un Turc, velu comme un faune, et frisé naturellement comme un mouton. Lui seul savait égayer les soirées d'hiver par les processions dites d'un seul homme, les feux d'artifices improvisés avec des cartouches voracées au tir à la cible, et surtout par les raouts au Turc où il organisait des concerts vocaux. Quand, de sa belle voix vibrante, il entonnait: Noble galette que ton nom Soit immortel en notre histoire, ou encore la chanson de l'Ohio oh, oh, oh!! les adjudants éperdus ceignaient leur épée et se précipitaient dans la cour Wagram pour rétablir l'ordre. Ah! le joyeux garçon, comme nous l'aimions et comme il aimait son métier! Il n'avait qu'un seul regret, c'était d'être tondu, tondu comme vous tondait le père Jousse, c'est-à-dire à deux millimètres de la racine des cheveux. Semblable à ses ancêtres de la vieille Armorique, il attachait, en effet, à sa chevelure une importance étrange. Il trouvait que de faire voir ainsi ses oreilles constituait une espèce d'infériorité et de dégradation, et puis, peut-être bien qu'au fond il y avait aussi une certaine cousine Yolande de Précy-Bussac à laquelle on ne tenait pas à se montrer défiguré. En vain, avait-il trouvé un coiffeur artiste qui, le dimanche, lui faisait au petit fer avec ses deux millimètres de cheveux une espèce de tête à la Bressant; il était honteux de lui-même, et ce fut avec une vraie joie qu'il vit arriver la fin de la deuxième année, époque où la sévérité se relâche un peu vis-à-vis de l'ancien et où l'on tolère parfois quelques mèches pourvu que les tempes soient bien dégagées.

  • af Richard O'Monroy
    198,95 kr.

    VERSET Ier, CHAPITRE II Au fait, pourquoi la petite marquise de Castel-Chambord - Suzette, comme l'appelaient ses amies - était-elle en froid avec son mari, le placide Gaston? Est-ce qu'on sait jamais! Madame avait trouvé très ennuyeuse Monsieur Betsy, la dernière pièce des Variétés; monsieur l'avait trouvée désopilante et avait ri d'un rire absurde pendant tout le deuxième acte. Il n'en fallait pas plus pour que madame insinuât avec aigreur que l'indulgence du monsieur était sans doute motivée par son admiration pour l'artiste - Thérèse Brincard - qui jouait la grande coquette. Gaston, fort de son innocence, s'était rebiffé; -je vous, demande un peu, Thérèse Brincard! - un mot en avait amené un autre; bref, depuis huit jours, huit grands jours, la porte de Suzette était restée fermée au verrou, et je dois ajouter, à l'honneur du sexe fort, que le marquis, de son côté, n'avait fait aucune lâche tentative pour franchir le seuil interdit. Et le soir, dans la grande chambre élégante suggérant l'amour, madame se déshabillait pensive; elle relevait ses bras merveilleux pour dénouer sa noire et touffue chevelure, et après avoir donné dans la psyché un coup d'oeil à son torse, merveilleux de vie, de jeunesse et de perfection, elle s'étendait toute frissonnante dans le grand lit de milieu jadis témoin de tant de caresses folles, dans te grand lit où les nuits avaient été si heureuses et si douces, aujourd'hui désert, froid, abandonné. Non, elle ne céderait pas, non elle ne ferait pas amende honorable! C'est Gaston qui avait eu tous les torts, et, d'ailleurs, eût-il raison, un homme doit toujours se soumettre à une femme! Or, le marquis, de son côté, s'obstinait; la situation était devenue intolérable et était d'autant plus absurde qu'au fond Suzette se l'avouait bien parfois avec un sourire, dans cette querelle puérile, il n'y avait pas de quoi fouetter un pauvre petit chat. Plus désolée qu'elle ne voulait le paraître, elle alla confier ses chagrins au vénérable abbé Maubuée, premier vicaire de Saint-Augustin, directeur spirituel de toutes les âmes féminines du boulevard Malesherbes, abbé mondain, tolérant, très moderne, très fin de siècle, connaissant tous les dessous de la vie et sachant donner au besoin l'avertissement qui arrête ou le conseil qui sauve. D'ailleurs, homme d'un tact parfait, avec une pointe de philosophie sceptique et de tendresse paternelle et attendrie pour cet être tout nerfs, tout sentiment, pour cette nature exquise, mais un peu détraquée, que l'on nomme la Parisienne....

  • af Richard O'Monroy
    163,95 - 168,95 kr.

    Extrait OÙ CELA MÈNE La voilà bien, la vanité humaine! Ah! que la voilà bien! Shakespeare. C'était l'autre soir au café Anglais - un dîner un peu triste, car il s'agissait de faire nous adieux à Isidore Boujard, ruiné en un rien de temps par Sylvia de Frosnes, après avoir été pendant près de deux années un de nos plus joyeux compagnons de fête. - Alors, demanda l'un de nous c'est décidé, vous partez pour San Francisco? - Oui, mon bon. Je vais essayer là-bas je ne sais quel commerce de vente de boeufs et de chevaux avec les quelques billets de mille francs - une dizaine pas plus - qui restent des six millions laissés par papa Boujard. Ah! ça a vite filé. - Mais, objecta Berthecourt, expliquez-nous un peu ce coup de folie. Sylvia est agréable sans doute... cependant, saperlipopette, six millions, c'est une somme. - Ah! mes amis, c'est que vous ne connaissez pas la puissance de l'amour-propre, de la vanité chatouillée au bon endroit. Je pourrais commencer mon histoire par la phrase classique: Né d'une naissance obscure, et ces quatre mots seraient l'explication de tout mon roman. - Explique-toi. - Oh! c'est bien simple. Vous autres vous avez eu la chance de naître avec un nom, un titre, ou tout au moins une excellente position sociale. Moi, j'étais simplement Boujard, Isidore Boujard, fils et successeur de François Boujard, inventeur du sommier automatique - une invention merveilleuse qui avait permis au papa de me laisser une fortune considérable. Aussi, dès que j'atteignis vingt et un ans, je n'eus rien de plus pressé que de vendre la boîte à papa, ce qui était une grosse faute, de réaliser mon avoir, et de me lancer dans ce qui s'appelle la grande vie. Que voulez-vous? À cet âge-là, tout le monde ne peut pas se faire fourrer à la Conciergerie.

  • - Scenes De La Vie Joyeuse (1887)
    af Richard O'Monroy
    302,95 kr.

    Le Club Des Braconniers: Scenes De La Vie Joyeuse (1887) est un livre �����crit par O'Monroy, Richard. Ce livre raconte l'histoire d'un groupe de braconniers qui se r�����unissent r�����guli�����rement pour partager des histoires et des aventures. Les personnages principaux sont des hommes qui aiment la nature et la chasse, mais qui sont souvent confront�����s ������ des probl�����mes avec la loi. Le livre est rempli d'humour et de situations comiques, mais il aborde �����galement des th�����mes plus s�����rieux tels que la justice et la moralit�����. Le style d'�����criture est tr�����s vivant et plein de vie, ce qui rend la lecture tr�����s agr�����able. Ce livre est un classique de la litt�����rature fran�����aise et est recommand����� pour tous ceux qui aiment les histoires d'aventure et d'humour.This Book Is In French.This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the old original and may contain some imperfections such as library marks and notations. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions, that are true to their original work.

  • af Richard O'Monroy
    301,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Richard O'Monroy
    223,95 kr.

    Extrait du 1 er chapitre A BON CHAT, BONS RATS I Ce dimanche-là, le retour de Bougival avait été très gai. Derrière le grand Destignac portant une lanterne vénitienne au bout de sa canne s'était formé un joyeux monôme, composé de Blanche Dartois, Altesse, Hélène Sillery, Thérèse Brunet, Ravaschoff, escortées de Larmejane, La Pescherie, Comfort, d'Éparvin et Maugiron. Le monôme, avec une irrégularité parfaite, monta l'escalier du pont et se dirigea vers le petit tramway, joujou qui conduit à Rueil. De Bougival à Rueil il y eut représentation complète du ballet d'Excelsior. Tandis que La Percherie et Maugiron chantaient à tue-tête l'air des petits négrillons, les camarades montaient avec ces dames sur les banquettes an agitant les bras comme la Cornalba - même mieux - puis ils disparaissaient sous les banquettes, pour reparaître ensuite plus agités que jamais. Tout le train était en émoi. Les voyageurs des autres compartiments assistaient stupéfaits à cet accès d'épilepsie; quant au conducteur ahuri, il oubliait complètement la halte de la Malmaison. Arrivé sur le quai de Rueil, ce fut encore bien pis. Destignac, toujours orné de sa lanterne plus vénitienne que jamais, était devenu le centre d'une ronde folle exécutée autour de lui. La lanterne ayant fini par prendre feu, la joie ne connut plus de bornes. Le gendarme de planton à la gare s'était avancé pour s'emparer de la lanterne, toutes ces dames se précipitèrent vers lui et l'embrassèrent à qui mieux mieux. Le brave gendarme, le tricorne de travers, éperdu sous cette grêle de baisers et de caresses féminines données par des femmes belles et sentant bon, riait comme chatouillé par une sensation route nouvelle et se défendait mollement en disant: - Mesdames, voyons, Mesdames... Sacrebleu! je vous en prie!

  • af Richard O'Monroy
    208,95 kr.

    Extrait MARSEILLE OU TARASCON I Connaissez-vous Tarascon? Tarascon, où l'on grille en été, où l'on gèle en hiver, où les pavés pointus semblent les ennemis jurés des chevaux et des cavaliers; Tarascon, où l'on se couche à huit heures, où les pensions sont excellentes, où les femmes sont prudes. Il y avait déjà pas mal d'années que le 27e dragons, établi dans cet agréable endroit, se berçait du fol espoir de changer avec l'autre régiment de la brigade, le 28e, qui tenait garnison à Marseille. Au mois d'avril et au mois d'octobre surtout, ces espérances revenaient plus vives; on entrevoyait tous les plaisirs de la grande ville, ses théâtres, ses cercles; on songeait à la proximité de Nice, à Monte-Carlo, à la roulette! Mais les automnes succédaient aux printemps, et le 27e restait toujours, toujours à Tarascon! Le sous-lieutenant Larmejane était navré. À quoi bon, je vous le demande, être tout frais émoulu de Saumur, être grand, svelte, joli garçon, porter comme pas un le nouveau dolman à soutaches d'argent et la botte Chantilly, pour n'avoir d'autre distraction que de parcourir chaque jour le triangle ayant pour trois sommets: le quartier, le mess et le logement?... Et pas de femmes! Aussi, quelle ne fut pas la joie de Larmejane quand, un matin que, le stick sous le bras, il fumait mélancoliquement sa cigarette sur le chemin de la gare, il aperçut deux femmes causant sur un banc: une blonde et une brune. Habituellement, à cette heure surtout, le boulevard de la Gare était absolument désert. Était-ce coquetterie, ou simple sécurité d'une femme qui se croit seule? mais la blonde, tout en causant avec son amie, leva sa robe tout naturellement, rajusta sa jarretière de sa main finement gantée, puis laissa retomber sa jupe. Le tout n'avait pas duré une seconde: mais Larmejane, émerveillé, avait aperçu un bas de soie bleu moulant une jambe exquise, un véritable éblouissement! Cristi, la jolie jambe! s'écria-t-il d'une voix vibrante. La blonde se retourna toute confuse, tandis que son amie cherchait à étouffer un formidable éclat de rire. C'est qu'elle était vraiment fort jolie, avec ses cheveux ondés sous la petite capote de velours bleu, son tout-pareil anglais en drap bleu-roi, sa mine qui essayait d'être sévère en dépit de la situation et, avec cela, un air absolument comme il faut, si comme il faut que, sans la radieuse apparition du bas de soie bleu, jamais Larmejane n'eût osé entamer la conversation. Mais bast! quand on ne veut pas connaître les gens, on ne rajuste pas sa jarretière à leur nez, et notre sous-lieutenant n'était pas homme à laisser passer pareille aubaine. Il vint s'asseoir carrément à côté des deux femmes et, après avoir salué le plus respectueusement du monde, il commença:

  • af Richard O'Monroy
    148,95 kr.

    Extrait LE LOUIS L'autre jour, je rencontrai sur les boulevards mon excellent ami le docteur Tavernost. Très moderne, Tavernost; plus rien du médecin vieux jeu qu'on voit encore au théâtre avec la figure glabre, la chevelure longue, la cravate blanche et la canne à pomme d'ébène. Il a, lui, les cheveux en racine droite, la barbiche en pointe, la moustache sarcastique, et sur sa redingote de coupe impeccable brille un ruban de la Légion d'honneur, modeste, à peine perceptible. Bref, était-ce le docteur, était-ce l'homme qui plaisait? Je ne sais; mais il n'en était plus à compter ses bonnes fortunes, et volontiers il eût dit en montrant ses dents blanches et en riant, comme Geoffroy dans le Homard: Quel joli métier que celui de docteur! Et si facile!... Ce jour-là, cependant, il avait l'air absolument ahuri et ses yeux hypnotisés ne quittaient pas un louis d'or sur sa main largement ouverte. - Ah ça! lui dis-je, qu'est-ce que tu fais ainsi campé immobile en plein boulevard, et pourquoi t'amuses-tu à contempler cette pièce de vingt francs? - Pourquoi? me dit-il d'un air sombre. Parce que ce louis que tu vois est le prix du déshonneur. - Allons donc! - C'est-à-dire qu'il me semble sentir pousser sur mes tempes les rouflaquettes de rigueur et que je crains à chaque instant de voir mon chapeau haut de forme se transformer en casquette à trois ponts. Oui, mon ami, depuis cinq minutes, ton ami le docteur Tavernost, professeur agrégé à la Faculté de médecine, membre du conseil général de l'Orne, chevalier de la Légion d'honneur... est un simple Alphonse....

  • af Richard O'Monroy
    168,95 kr.

    Richard de L'Isle de Falcon de Saint-Geniès, dit Richard O'Monroy, né en 1849 à Paris où il est mort en 1916, est un romancier et nouvelliste français. Avec Gyp et Ludovic Halévy, il est l'un des conteurs de la vie parisienne dans le dernier quart du XIXe siècle. Sorti de l'école de Saint-Cyr en 1870, il est capitaine de cavalerie lorsqu'il est acculé à la démission en 1891, ce qui lui permet de se consacrer pleinement à l'écriture. Il contribue à La Vie parisienne et au Gil Blas des saynètes de la vie d'officier, des croquis parisiens, des romans et des nouvelles réunis par la suite en une cinquantaine de volumes. Il est également l'auteur de quelques vaudevilles et comédies en un acte. Son style d'allure vive et sa gaieté sentimentale ont su plaire pendant un temps à un certain public. EXTRAIT: LA DERNIÈRE ESCORTE Au lieutenant-colonel Watrin L'autre soir, je revenais de la Renaissance, et tout en descendant les boulevards, je philosophais sur les vicissitudes auxquelles sont exposées les Rois, en cette fin de siècle lorsqu'à la hauteur du café de la Paix, je rencontrai le lieutenant-colonel Watrin, sous les ordres duquel j'avais eu l'honneur de servir au 10e cuirassiers. Toujours le superbe cent-garde d'autrefois à la mine fière, à la moustache retroussée, à la stature athlétique, un mètre quatre-vingt-six centimètres, s'il vous plaît; il me héla de sa bonne grosse voix, me fit asseoir à côté de lui, puis il me dit: - Devinez d'où je viens? Du Boeuf à la Mode, où j'ai assisté à notre banquet annuel des cent-gardes. Savez-vous que nous sommes encore une soixantaine, tous blanchis sous le harnais, mais ayant encore bon pied, bon oeil. Ah! nous en avons remué, ce soir, des souvenirs!... - Vous rappelez-vous, mon colonel? Vous m'avez jadis conté à Versailles que vous aviez commandé le peloton d'escorte qui avait accompagné le Prince Impérial jusqu'à la frontière... - Parfaitement. - Voulez-vous me redire à nouveau ce fait de votre vie militaire?

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    Extrait LE SERMENT DE LÉO Ce n'était pas sans une certaine mélancolie que notre ami Bertrand de Comfort errait sur les planches de Trouville. Arrivé depuis trois jours sur cette plage renommée pour ses aventures faciles, il n'avait pas encore trouvé l'âme soeur de la sienne, et dame! pour Bertrand, trois jours d'abstinence était un grand maximum que sa constitution et sa conscience l'empêchaient de dépasser. Où étaient-elles les belles élégantes de jadis: Raumesnil, Serka, Mignoret, Dubarry, Malabarre? À Aix peut-être, ou simplement à l'Exposition de Paris. Cependant, une semaine des courses, une grande semaine, c'est sacré, on n'a pas le droit de déserter la pelouse de Deauville-les-Bains. Il en était là de ses réflexions lorsque, devant le kiosque des journaux, il se heurta à une petite femme, vêtue de cachemire blanc, avec un chapeau canotier campé drôlement en arrière sur sa tête blonde et toute frisotée. - Léontine Thiron! - Bertrand! - Toi! Ah! si je m'attendais... Non, si je m'attendais! Il s'arrêta, se rappelant que la phrase était de Dupuis dans les Brigands, - c'est étonnant comme les onomatopées de cet acteur sont entrées dans le langage courant - mais il tendit ses deux mains à Léontine avec une vraie joie. Léo à Trouville! Mais alors on était sauvé. Et il revoyait un printemps charmant passé en compagnie de cette jolie fille, avec promenades à cheval, déjeuner à Armenonville, excursions dans la rue du Caire et dîners sur la tour Eiffel; un tas de rendez-vous très gais, très pimpants, dans un cadre très ensoleillé et qui lui avaient laissé de bons souvenirs.

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    273,95 kr.

    This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.

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    Extrait PARTIE ET REVANCHE I Certes, on ne s'ennuyait pas sur la passerelle réservée de l'Éclair, bateau à vapeur qui fait le service entre Trouville et le Havre. D'abord le temps était magnifique; la mer, sans être bien méchante, moutonnait par coquetterie, et semblait frisée au petit fer, avec des boucles d'un blanc d'argent. Le bateau était encombré d'une foule nombreuse se rendant aux courses de Deauville; à l'avant surtout, le public était des plus élégants, et plusieurs petites femmes, en costume de foulard jaune et rouge, à grands dessins, assises sur des pliants, s'étaient accotées, pour plus de sûreté, contre le dos de complaisants voisins. On venait à peine de sortir du port, et tout le monde était très gai; du haut de la passerelle réservée, Maxence, Boisonfort et plusieurs amis du Cercle regardaient au-dessous d'eux ce spectacle si parisien; déjà ils avaient aperçu Juliette de Montlhéry, Petrola, de la Renaissance, entourées de nombreux amis; puis, accoudée prés de la proue, la grande Alice Beauvoir qui, chose extraordinaire, n'était pas accompagnée de son inséparable Palamède.

  • af Richard O'Monroy
    338,95 kr.

  • af Richard O'Monroy
    311,95 - 313,95 kr.

    This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.

  • af Richard O'Monroy
    303,95 kr.

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    Curieuses d'amour / Richard O'MonroyDate de l'édition originale: 1901Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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    Monsieur Mars et Madame Vénus (4e édition) / par le Vicomte Richard (O'Monroy)Date de l'édition originale: 1878Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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    Les femmes des autres / par le Vte Richard (O'Monroy)Date de l'édition originale: 1879Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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    Feux de paille / par le Vicomte Richard (O'Monroy)Date de l'édition originale: 1881Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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    Coups de soleil / par Richard O'MonroyDate de l'édition originale: 1882Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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    Gloriette / Richard O'MonroyDate de l'édition originale: 1905Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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    L'institutrice: comédie en 1 acte / Richard O'Monroy et Robert VallierDate de l'édition originale: 1900Collection: Bibliothèque spéciale de la Société des auteurs et compositeurs dramatiquesLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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